atscaf cyclo 69 . Club FFCT n° 07061

 

LA LETTRE n° 422

Lyon, le 25 Juillet 2010

6 = 2 X 3

I/ LA SORTIE CLUB DE SAMEDI

Raymond CHATENAY, Jacques DELMAS, Patricia JOHANNES, Evelyne LEFRANCOIS, Daniel ROTHWILLER et votre serviteur ont roulé samedi.

Martine SILBERSTEIN qui aurait dû venir a finalement fait savoir qu’elle participait ce jour à un baptême de l’air en planeur.

Certes cela ne fait pas beaucoup de monde sur les routes mais nous sommes en pleine période de congés.

Mais cela fait encore moins quand vous saurez que seuls Raymond et ses dames se sont rendus à Saint Chamond, lieu officiel de départ de la sortie du club.

En effet, quand il a vu le profil du circuit tracé par Florian CABAJ, Bernard CHAREYRON s’est rendu compte qu’avec son fémur convalescent il ne pouvait participer à cette partie de montagne.

De son côté Jacques avait décidé de réaliser pour la première fois une grande distance (supérieure à 100 km) sans se trouver fracassé à l‘arrivée comme cela avait été le cas lors de la première étape du Voyage Itinérant du club en septembre dernier dans le Velay.

Daniel accepte d’être son entraîneur et de tracer pour ce faire un parcours dans la Dombes.

Et c’est ainsi que samedi un trio officiel d’atscafiens affrontait les pentes du Pilat tandis qu’un trio fractionniste arpentait les routes de l’Ain.

A/ RECIT DU PILAT PAR RAYMOND

 Environ 7h50, le train arrive en gare dans son grincement de ferraille habituel. Je suis assez loin sur le parking mais je vois quand même 2 roues qui sautillent au-dessus des toits des voitures.

Coucou, voilà Evelyne et Patricia et…. c’est tout ! L’ATSCAF est en vacances. Deux fois plus de femmes que d’homme sur une sortie club, c’est très rare et embarrassant! Mais où ai-je mis mon petit manuel des bêtises à ne pas dire ?

Evelyne nous apprend que Bernard, ne pouvant encore s’offrir l’effort d’une grimpette, est parti assouplir ses muscles dans la Dombes , accompagnés par quelques membres du club moins attirés par les pentes du Pilat que par le relief plat de ce plateau de la Dombes.

Le train de 7h 59 n’apportant pas de nouveaux courageux et ne voyant pas arriver Michel Girard, à vélo depuis Lyon, nous décidons de lever le camp en laissant quelques plans sur la vitre arrière du véhicule pour les retardataires.

Une température de 17° seulement et de gros nuages noirs se bousculant au dessus du Pilat nous incitent à enfiler un coupe vent.

On se décide pour le 66 km et les 1.481 m de dénivelé.

On ne voit rien du Pilat, mais on reste confiant puisque la météo a prévu un ciel dégagé.

Les 6 premiers km jusqu’au barrage de la Rive sont faciles et propices à un échauffement en douceur. Quelques cyclos nous doublent alors que nous en doublons d’autres, mais disons pour être corrects que ces derniers étaient à l’arrêt.

A partir du barrage la pente se raidit mais reste raisonnable jusqu’en haut, 5 à 7 % sauf quelques passages assez courts à 8/9 %. Une pancarte nous annonce qu’il y a 10 km jusqu’à la Croix de Chaubouret. La pente nous sépare. Je double un vélo couché avec 2 roues à l’arrière et une suspension. Nous échangeons quelques mots. Je m’aperçois qu’il n’a l’usage que d’un seul bras mais sa bonne humeur et son plaisir font vite disparaître ce handicap.

Quelques temps après, c’est un cycliste de Saint Etienne qui me rattrape et qui se met à bavarder. Du coup je suis obligé d’accélérer pour essayer de comprendre ce qu’il me dit et cet exercice m’épuise. Je lui dis que je ne peux pas suivre et lui souhaite une bonne journée. Il me dit être aussi épuisé et vouloir ralentir. Il continue à bavarder et se remet à accélérer. Finalement je suis resté avec lui à grands coups de respiration et de « Ah, oui, ..voui, ……voui, …euh, …….pfuit-pfuit, j’en peux plus.. »

2 ou 3 km avant le sommet, nous entrons dans un nuage noir super-humide et froid de surcroît. La température descend à 11°C. A la Croix de Chaubouret un fort vent nous glace ce qui était encore tiède. Sympa la balade ! Je remets fissa mon coupe vent quand je vois Patricia qui arrive. « On ne peut pas rester ici » crie-t-elle d’un dernier souffle à la recherche d’une chaude parole. Mais à part « gla-gla-gla » point de chaudes paroles.

Nous décidons d’aller à la rencontre d’Evelyne que nous retrouvons bien après la sortie de Saint Chamond malgré notre crainte, et même tout près du col, pas plus d’un km d’ailleurs.

Retour à la Croix où nous ne nous attardons pas à la recherche du soleil qui semble percer les nuages plus loin en contrebas.

Une grande descente avec quelques jolis points de vue sur la partie sud du Pilat nous amène jusqu’à Colombier où quelques rayons de soleil nous réchauffent timidement.

En voulant repartir, Patricia trébuche et se télescope le tibia avec la pédale, laquelle devint bleue. Non,..pas la pédale, mais Patricia ; ah, vous n’êtes pas finauds, ça alors !

Il nous faut remonter maintenant jusqu’au Crêt de l’Oeillon. La route est belle, le soleil toujours rare.

La nature n’a cependant pas fini de s’en prendre à notre nouvelle venue ; en effet un objet volant non identifié a choisi de venir planter son dard à l’intérieur de sa cuisse, mais ce fut la cuisse opposée au tibia maintenant tout bleu, ce qui valut à Patricia d’exclamer à nouveau sa contrariété à juste titre. Evidemment le côté rendement pédalage a été diminué par la suite, de part égale pour chaque jambe. Evelyne qui sait remonter le moral des personnes en situation difficile pensa tout de suite à la mésaventure de Jacques lors du week-end mythique, ce qui nous fit blêmir tous les trois, vu qu’on était au milieu de nulle-part sans trousse de secours et sans carré vert sur le portable. Quelques minutes pour constater l’absence d’enflure nous rassura sans toutefois soulager le désagrément douloureux de la cyclote perfusée au venin régional et au tibia bleu enflé.

Nous repartîmes avec l’objectif urgent d’aller nous reposer à l’auberge du col, 2 ou 3 km au-dessus de nous, avec un bon café. Mais notre plan tomba à l’eau, l’établissement était fermé.

Cela ne démonta pas Evelyne qui nous proposa à titre de supplément au programme, la grimpette du col jusqu’au Crêt de l’Oeillon à 1.370 m où se trouve la tour de télécommunication de TDF. Aussitôt dit, aussitôt fait, les 2 km (environ) à 9% sont mis dans la musette sans difficulté, l’éclopée en tête. Au sommet je surprends le regard gourmand d’Evelyne sur une petite route démarrant du col mais menant à une tour carrée (bâtiment militaire) au sommet du crêt nous faisant face, le crêt de la Botte (1.387 m). Mais cette fois-ci, Patricia prend les devants et fonce (on est en descente) vers la Croix du Collet et son auberge ouverte. Nous nous précipitons à l’intérieur pour y déguster un chocolat très chaud et nous refaire une santé.

La fin de la balade est plus facile, une grande descente avant la dernière rampe qui mène au Crêt de Baronnette pour redescendre ensuite jusqu’à Saint Paul en Jarez.

Des touristes en voiture, nous voyant arrêter à un croisement nous demandent si nous connaissons la région ?

« Pas en détail lui répondons nous, mais nous avons une carte »

« Ah bon ! nous recherchons une grande ferme, un grand bâtiment assez étalé » voyez-vous, nous dit la conductrice d’un âge avancé tout en dessinant une arabesque avec la main en appui de ces explications.

Elle insiste devant notre air surpris « Un genre couvent » voyez-vous répète-t-elle ?

« C’est pour m’y mettre » intervient alors son mari !

Nous faisons ce que nous pouvons pour les aider et leur proposons entre autre La Jasserie , éloigné tout de même de plusieurs dizaines de km. Ce nom a l’air de leur convenir et Evelyne leur fait don de sa carte stabilotée accompagnée d’explications détaillées. On se quitte tous ravis de s’être rencontrés.

Nous faisons à peine 2 ou 3 km quand Evelyne nous fait remarquer à l’entrée de Saint Paul en Jarez un énorme bâtiment répondant tout à fait à la description faite ! Un petit sentiment de confusion nous envahit tous trois sachant ces braves gens partis à l’aventure dans les brumes inhospitalières du Pilat.

Plus que quelques km de faux plat le long du Gier, vallée toujours étrangement surpeuplée, pour rejoindre St Chamond.

Il doit être environ 14h30, je ne sais plus bien, en tout cas nous avons faim. Nous avons effectué 77 km pour 1.850 mètres de dénivelée à 5% de pente moyenne. Mes compagnes me laissent pour reprendre leur train pour Lyon. Je vais les regretter.

Je leur avais, en effet, fait savoir mon envie de prolonger ma sortie par le petit circuit de 55 km mais à l’envers en commençant de nouveau par la montée de la Croix de Chaubouret.

J’ai peu roulé cette année, mais l’envie revient, alors pourquoi s’en priver d’autant plus que le soleil apparaît enfin. L’envie c’est comme les yeux souvent plus gros que le ventre. J’ai fait le circuit sans m’arrêter, mais à la force de la volonté car je souffrais de partout sur les 5 derniers km de montée jusqu’à un point où curieusement je n’ai presque plus rien senti si ce n’est une grande fatigue mais sans douleur aiguë. Cette fatigue a même fini par se dissiper à la longue. Curieux corps humain aux limites floues et plus lointaines que ce que l’on veut croire.

Toujours du mauvais temps en haut avec un vent d’enfer cette fois-ci. La descente sur le versant surplombant la Loire vaut la balade. Puis une petite route serpentant dans un vallon rocailleux et très boisé me ramène de Rochetaillée dans la banlieue de St Etienne. Là, par chance, une personne m’a correctement aiguillée sur la route indiquée sur plan pour rejoindre St Chamond. Cette route n’est pas facile à trouver sur place ; aucun panneau, dans un milieu urbain c’est mission impossible.

Me voilà tout de même de retour à la gare de St Chamond avec 121 km au compteur, 2.789 m de dénivelé et une soif de bière démoniaque.

Vivement samedi prochain.

B/ NON, LA DOMBES N ’EST PAS PLATE !

Pendant que certains grimpent les dombistes partent de Rillieux La Pape à 7H30 et se dirigent vers Tramoyes. Entre  Monthieux et Saint Jean de Thurigneux un secteur non revêtu les attend. Après Rancé ils admirent le château de Juis et font un détour à Ars pour que Jacques, qui est méchamment avanglé (1) puisse assouvir une faim de loup. Du coup le trio en profite pour prendre le café et jouir du spectacle des pèlerins tchèques, polonais et italiens envahissant la cité du saint curé. Les petites routes charmantes les mènent ensuite à travers les étangs jusqu’à Saint Trivier sur Moignans. Votre serviteur donne des signes évidents de fatigue. Depuis le départ il a l’impression que la route monte sans cesse, que les freins sont coincés sur la jante et que le vent est contraire. Sur ce dernier point il a raison, du moins pour l’aller. Le retour est un délice avec Eole qui s’est renforcé mais qui les pousse sympathiquement. Malgré tout Bernard est de plus en plus fatigué. Daniel passe son temps à se retourner, à ralentir, à l‘attendre et à supprimer des kilomètres superflus. Ouf la  ligne d’arrivée est finalement franchie sans trop de casse.

A noter sur la fin du parcours la crevaison lente de Daniel qui avait déjà crevé franchement en début de circuit. Cette fois-ci il n’a pas envie de réparer. Tous les kilomètres  il s’arrête donc, se fait dépasser par ses compagnons, regonfle, repart, double ses acolytes, s’arrête de nouveau...ce manège se répète 10 fois. C’est cela une course avec handicap ?

Au final Jacques est très content d’avoir atteint 108 km sans fatigue et Bernard très satisfait d’avoir, après 5 mois d’inactivité forcée, pu renouer avec une longue distance. La bière offerte par Daniel chez lui clôture une sortie marquée par l’amitié et la solidarité.

Le glossaire lyonnais-français

 (1) Avanglé (adj) : Affamé.

II/ LA SORTIE DU 3 JUILLET

Le 3 juillet le rallye « L’estival » au Col de la Luère était annoncé par la « Lettre » sur la foi du calendrier de la Ligue Régionale. Daniel ROTHWILLER y est allé. Il était le seul du club. Le problème c’est qu’il semble avoir été également un des seuls participants ! En effet à son arrivée à 8H, heure des inscriptions, il n’y avait personne. Il lui a même semblé qu’il sortait l’organisateur ( camping du Col de la Luère ) de son lit.

On lui dit que le départ aura lieu à 9H 30 ! Ne voulant pas rouler avec la canicule dans les cols des Monts du Lyonnais Daniel s’élance de suite et sans compagnons. Il n’aura pas droit non plus à un fléchage. Et naturellement ne verra pas l’ombre d’un ravitaillement. A son retour seules 4 voitures stationnaient vers la ligne d’arrivée.

Il ne comprend pas (et nous non plus) comment un tel rallye peut figurer au programme de la Ligue.  Bien évidemment nous ne mentionnerons plus cette initiative dans notre « Lettre ».

III/ SORTIE CLUB DE SAMEDI 10 JUILLET A BOURGOIN

Le résumé de cette sortie est du à  Philippe DESIRE.

 « Et 2 de chutes !!

Ce matin je pars de la maison vers 7h10 pour Bourgoin et la sortie club du jour. Je me demande si il y aura du monde mais j'en doute, seul Daniel ayant répondu sur le forum. J'arrive sur place et me gare en face du Décathlon car les grilles sont fermées pour l'instant. Je me prépare tranquillement en attendant une hypothétique arrivée des Atscafiens. Finalement les grilles s'ouvrent. J'en profite donc pour aller garer la voiture. L'heure avance et je suis seul. Il est 8h et alors que je m'apprête à partir seul le portable sonne. C'est Daniel qui m'appelle. Il est un peu perdu et après explications le voilà qui arrive. Je mets les plans derrière la voiture au cas où arriveraient des retardataires, mais je n'y crois pas vraiment.

Nous voilà partis et déjà la première côte du jour vers Saint Alban de Roche après Domarin. Ensuite on passe à Four et on se retrouve sur des petites routes tranquilles. Mais ça monte et ça descend ce qui fait dire à Daniel que ça ressemble aux montagnes russes. Il n'a pas tort. Il y a souvent des tergiversations pour trouver la bonne route. Ils sont radins en terme de panneaux dans le secteur ! C’est ensuite un peu de plat pour aller à Beauvoir de Marc puis Mépin où la route monte à nouveau pour redescendre sur Villeneuve de Marc où nous faisons une pause-bar, histoire de prendre une boisson fraîche ou un café. La chaleur commence à être bien présente. Le patron du bar nous propose des glaçons ; c'est bien gentil à lui.

Nous repartons et j'explique qu’ici en 2007, avant de rencontrer l'ATSCAF, j'avais fait ma première randonnée de l'année avec Mattias et Ellinor et que j'avais beaucoup souffert. Mais les temps changent et là je monte vraiment bien la côte. Une belle descente s’ensuit. Là un cyclo qui vient de la gauche fait un gros écart et je suis obligé de freiner et de raser le bord de la route. Certains sont dangereux !

Il commence vraiment à faire chaud car il est près de 11h et ça devient difficile. Mais le paysage aide à garder le moral. Nous traversons la D 1085, ex N85, et arrivons sur une petite route à fort pourcentage. J'attends Daniel en haut. Il m'explique qu'il a eu un moment d’inattention et qu'il est tombé sans gravité sur le côté et d'une (d'où le titre ). Puis nous passons à Flachère où je refais le plein d'eau fraîche au bar du village. Les pochetrons du coin me demandent si je me suis échappé du  Tour de France. Je leurs réponds qu'ils ne vont pas assez vite pour moi.

Nous reprenons à nouveau une belle descente puis nous remontons. Ca n'en finit pas et en étant proche de Sérézin la Tour , une nouvelle côte avec du pourcentage se présente devant nous. Je me mets en danseuse et la chaîne saute, se coince et hop par terre ! Je tombe sur le coude qui ce soir me fait un peu mal. On verra demain. Nous finissons notre périple, en nous perdant dans les rues de Bourgoin et avec une crevaison lente pour Daniel. Décidément pas facile cette sortie !

On se ravitaille au Décathlon puis nous nous quittons vers 13h 20.

Bilan de la sortie : 84,5 km et 970 m de dénivelée.»

IV / LA CYCLO-MONTAGNARDE DU MASSIF CENTRAL

Les 3 et 4 juillet a eu lieu la Cyclo-Montagnarde du Cantal. Florian CABAJ, Michel GIRARD, Patricia JOHANNES, Magali et Bruno MAILLOL y ont représenté l’ATSCAF. Ils ont roulé avec l’ami Fred des Dombes. Avec 900 participants ils ont franchi 215 km et 3.900 m de dénivelée en deux jours.

Ils en sont revenus absolument enchantés. C’était la meilleure organisation depuis celle du Vercors il y a 2 ans : ravitaillements généreux (du cantal, du vrai !!), bénévoles efficaces et dévoués, de l’eau fraîche et des repas chauds. Le calme des routes, les paysages superbes et le temps qui n’a pas dégénéré en orage ont été également les grands facteurs de cette réussite qui doit aller droit au cœur d’Alain DERRAC.

V/ SAMEDI PROCHAIN AVEC LE CLUB

Yves DUBOST nous a conçu un circuit touristique à partir de Saint Quentin-Fallavier.

Vous trouverez en pièce jointe la carte des trajets.

Pour mieux profiter de la balade, une halte est prévue au restaurant à midi dans le joli village de Montsévéroux.

Au cours de la semaine un message a été envoyé aux atscafiens pour savoir qui venait samedi prochain afin que soit réservé le nombre de repas. Sept personnes ont répondu pour l’instant. Si vous voulez vous joindre à nous, faites-le vite savoir par retour de courriel.

Mais même si vous voulez venir sans commander un menu, Yves a négocié la possibilité de prendre votre pique-nique à notre table moyennant une consommation.

Attention trois cyclos belges qui sont en vacances dans la région, un père et ses deux enfants, viendront se joindre à nous ! Les échanges se sont faits grâce à l‘internet qui permet à notre renommée de franchir les frontières.

Soyons à la hauteur, venez nombreux pour rencontrer nos nouveaux amis ! 

Samedi 31 Juillet 2010

A

RV à 7h 45 H à la gare de SAINT-QUENTIN-FALLAVIER

Pour un départ à 8H

Comment y aller ?

ØEn voiture : venir de Lyon par l’A43, l’autoroute de Chambéry. Au bout de 19 km prendre la sortie n°5. Continuer sur la D 311 (boulevard de la Tharabie ) sur 1,5 km. Au rond-point prendre la D 75 sur 1 km. Au carrefour de la Madone , prendre à gauche la rue de la Scierie. La gare est en vue.

On se donne RV sur le parc de stationnement de la gare SNCF.

Ø En train : un TER part de Perrache à 6H 45, fait une halte à Jean Macé à 6H 50 et arrive à Saint Quentin-Fallavier à 7H 10.

VI/  LES POTINS DU PELOTON

Ø  Du 8 au 22 juillet Martine SILBERSTEIN est toute heureuse d’annoncer qu’elle a fait 438 km avec son vélo de rando rien qu’en allant (et revenant) au travail à vélo c’est à dire de Grigny à Gerland. Bravo, il faut continuer !

Elle a également roulé en tandem le 4 juillet en pilotant un aveugle. Son engagement aux côtés du club Handisport de Vienne est important. Toute la troupe est partie de Saint Clair et est allée à Saint Julien-Mollin-Molette soit 80 km.

Martine lance un appel pour trouver des volontaires parmi les cyclos valides pour aider à piloter des mal-voyants.

Elle conclut avec humour en disant que le tandem lui permet de toujours avoir quelqu’un avec qui papoter à vélo et qu’elle ne se fait pas doubler par celui-ci.

Ø La semaine dernière la « Lettre » annonçait que Patricia JOHANNES avait participé à la « Vélocio Ventoux » à partir de Carpentras. Il faut ajouter que Pierre DUMAS a lui aussi participé à cette initiative cyclotouriste. 

Ø Philippe DESIRE a terminé le 22 juillet son Tour du Beaujolais. Il s’agit d’une «Randonnée Permanente » portant le label 98 et organisée par le club FFCT des  « CT Caladois. »

Cette RP de 198 km comporte 16 cols et 3.100 m dénivelée. Comme toutes les RP on peut effectuer ce trajet en un jour ou en plusieurs fois. Philippe avait déjà accompli une première partie en avril.

Le 22 il a fait 84 km et franchi 11 cols (dont 10 nouveaux pour lui !) soit 1.580 m de dénivelée.

Il est parti à 6H30 de Chamelet pour bénéficier de la fraîcheur. « C'était calme et tranquille,  vraiment je me suis régalé. J'ai pointé à Ranchal » écrit-il.

Les prochains projets cyclos de Philippe ? Il part à la « Semaine Fédérale » qui a lieu du 1° au 7 août à Verdun. Puis dans la foulée il va en congés comme souvent en Norvège d’où est originaire sa femme.

Ø Yves DUBOST a fait un séjour danois de 15 jours. Mais en raison de la présence de ses petits-enfants il n’a pu consacrer qu’une journée au vélo !

Il s’est rattrapé par la suite et a bien fait du vélo du côté de Romorantin comme l‘affirmait la « Lettre » n°421. Plus précisément notre homme a effectué le trajet de Vichy à Romorantin via Bourbon-L’Archambault. Cela représente 350 km accomplis en 3 jours. Comme Yves privilégie le tourisme il a visité force châteaux et chapelles romanes. Il a aussi été étonné par une exposition à Romorantin présentant le projet royal confié à Léonard de Vinci consistant à relier l’Atlantique à la Méditerranée en utilisant la Sauldre et en faisant communiquer la Loire et la Saône.

Ø Chrystel BERTRAND ira également à la « Semaine Fédérale » avec sa petite famille dont Eliott dans sa petite remorque comme vous avez pu l’admirer sur le forum. .

Nous espérons avoir des comptes-rendus et des photos de cette SF.

Pour les nouveaux signalons que la « Semaine Fédérale » constitue une concentration annuelle de plusieurs milliers de cyclotouristes de toute  la France , de tous les niveaux et de toutes les pratiques. 

Ø Jean-Jacques PECH est toujours aussi occupé par ses activités de président régional et départemental de la FFCT.

Ainsi il vient de participer à la semaine nationale des Jeunes à Saint Paul Trois Châteaux (Drôme) où le club était allé lors d’une précédente Concentration « Pâques en Provence ».

Depuis, sur ses jours de congé, il encadre une animation vélo pour les centres aérés au Parc de Parilly.  Cette initiative du département du Rhône est assurée par le CODEP (Comité Départemental du Cyclotourisme).

VII/  LE COIN VELOCIO

Ø  Michel GIRARD a rédigé le récit de son voyage cyclo en Grande-Bretagne. Vous trouverez la deuxième partie en annexe de la présente « Lettre ».  Il s’agit de trois jours de randonnée. Et n’oubliez pas de cliquer sur le lien qui y figure pour regarder les photos que Migi a prises.

ØA propos de photos voilà celles –magnifiques- prises par Pierre DUMAS lors de la sortie longue du club à partir du Col des Echarmeaux, dimanche dernier.

http://picasaweb.google.fr/pier0355/ColDesEcharmeaux#

Michel GIRARD avait également publié sur son site un compte-rendu de cette belle journée.

VIII/  LA VIE DU CLUB

Ø Philippe DESIRE s’est livré à un travail considérable. Il a récupéré la vieille remorque porte-vélo du CODEP que connaissent ceux qui ont participé au Voyage Itinérant du club en Provence ce printemps. Le moins que l’on puisse dire c‘est que nous avions transpiré pour y arrimer les vélos.

Baraque a refait complètement le châssis et il a soudé des supports à vélo etc.

Un seul détail est à régler : il lui faut des petites sangles pour fixer les vélos. Très précisément il en faut 3 par vélo soit 30 en tout. Des lanières de cale-pied feraient l’affaire. Si vous avez de ces courroies, pourriez-vous en faire cadeau au club pour que les participants au Voyage Itinérant de septembre en Auvergne puissent étrenner dignement cette nouvelle remorque ?

Merci d’avance pour votre aide.

Ø Une nouvelle cyclote a pris contact avec le club par l’intermédiaire de la messagerie électronique.. Elle s’appelle Véronique GRESLE. Votre serviteur lui a donc téléphoné pour la renseigner. Elle semble avoir apprécié l’état d’esprit du club et viendra nous rencontrer lors d’une sortie début septembre. En attendant elle recevra la « Lettre » pour mieux nous connaître.

Bernard CHAREYRON