atscaf cyclo 69 . Club FFCT n° 07061

 

LA LETTRE n° 419

Lyon, le 13 Juin 2010

RIEN SUR LE « DAUPHINE LIBERE » !

Nous sommes cyclotouristes, non mais !

I/ LA SORTIE CLUB DE SAMEDI DERNIER

A/ Le premier récit est rédigé par Evelyne :

« 10 Atscafiens se retrouvent sur le parking derrière la gare de l’Arbresle : Raymond CHATENAY, Françoise CHENAIS, Jacques DELMAS, Alain DERRAC qui est venu à vélo de Belmont, Michel FEYX, Patricia JOHANNES, Christophe LABAUNE, Serge LODIER, Daniel ROTHWILER et celle qui se refuse à signer votre « servante », c’est à dire moi-même Evelyne LEFRANCOIS.

Il fait frisquet et le brouillard rencontré sur la route pour venir n’est guère encourageant. Mais « Météo Farce » ne nous jouera aucun tour et le temps se maintiendra au beau. Pas le grand beau, mais juste ce qu’il faut pour apprécier les montées et supporter les descentes. Je profite de la distribution des parcours pour « racketter » les copains de 2 €, en échange de quoi ils ont droit à un billet de tombola de l’ATSCAF départementale. Que les absents ne se réjouissent pas trop vite, j’ai encore des billets  que je me ferai un plaisir de leur vendre lors des prochaines sorties. Prévoyez donc votre monnaie (chèque accepté !!!).

Le peloton s’ébranle avec quelques minutes de retard sur l’horaire. Nous décidons de rouler ensemble jusqu’à Mullin où nous constituerons les groupes. Peu de temps d’échauffement avant la grimpée sur Savigny mais ça va, le peloton assure sans problème. A Mullin arrêt. Ces messieurs en profitent pour se mettre en rang d’oignon sur le bas-côté de la route et payer leur tribut à dame nature. Deux groupes se forment : Raymond, Christophe, Michel, Patricia décident de faire au minimum le 88 km.

Jacques, même si il n’avait voulu faire que  le 50, n’aurait pas pu. En effet Daniel a décidé de le prendre en main et de lui prouver qu’il est capable de faire autre chose que des petits parcours. Donc volontaire désigné d’office le voilà lancé sur le 74  avec Serge, Françoise, Daniel, Alain et moi.

Chaque groupe s’élance donc et dès les premiers kilomètres nous perdons Serge. Nous ne le retrouverons pas. Nous continuerons alors notre route à 5, toujours groupés, en nous attendant au sommet des côtes. Est-ce parce que nous passons « aux Auberges » ? Toujours est-il que nous profiterons de ces arrêts pour parler cuisine et vanter les mérites respectifs de l’aligot, de la crique et d’un plat (honte à moi, j’ai oublié le nom !) qui fait les délices de Jacques et qui nous a fait venir l’eau à la bouche. Des plans s’ébauchent pour des sorties cyclo-culinaires !

A la Croix de Signy nous faisons un arrêt plus important, non pas pour parler cuisine mais parce que Françoise reçoit un coup de fil d’une amie parisienne qui veut acheter un vélo toutes affaires cessantes mais qui, n’ayant aucune idée de la chose, a besoin de conseils éclairés. C’est Daniel qui va jouer les conseillers téléphoniques et lui délivrer les précieux renseignements.

Nous repartons sur Affoux par une très jolie route. Dans la descente sur Tarare nous faisons bien attention de ne pas rater l’embranchement qui doit nous mener à Saint Forgeux. C’est une route que j’aime bien, d’abord parce que c’est tout en descente mais surtout parce que c’est beau. D’ailleurs je l’aime aussi dans l’autre sens, c’est dire ! Daniel et moi nous nous sommes  rappelés que nous l’avions faite un jour tous les deux, seuls, car Jacques -dont c’était la première sortie avec le club- avait coupé avec Bernard pour rentrer au  plus court (cf « Lettre » n° 327 du 27/07/2008). Nous nous rappelons surtout avec une certaine appréhension que la remontée après Saint Forgeux et un passage de gué  était un raidard plus que coton. Encore une surprise dont votre serviteur à le secret ! Nous avons donc commencé à préparer les copains à affronter ce mur mais, heureuse surprise, le parcours nous a emmenés à Ancy par une autre route à pente plus douce. Ouf ! Bernard a cette fois échappé à la lapidation ! Une dernière petite bosse (à 8/ 9 % quand même) puis descente sur Saint Romain de Popey. Emporté par l’élan Daniel ne prend pas à droite en direction de Savigny. Alain se lance à la recherche de la brebis égarée et la ramène dans le peloton. Ensuite comme il est d’usage de le dire, ce n’est que du bonheur : il suffit de se laisser glisser jusqu’à l’Arbresle. Nous prenons la décision d’aller directement au bistrot en centre-ville.

Attablés devant une bière nous passons un coup de fil aux copains pour leur signaler notre position. La conversation s’engage sur les travaux de jardinage et les difficultés éprouvées par Françoise pour l’entretien de  ses arbustes. Daniel  propose son aide et aussitôt Jacques se découvrant des talents de « tailleur de haies » s’engage à venir encourager Daniel dans ce travail pénible contre des avantages en nature tels que foie gras ou nougat glacé maison préparés par Françoise. Me voyant très alléchée, Françoise me propose de venir pour surveiller les deux loustics ! Accepté.

Jacques à qui cette discussion a ouvert l’appétit nous quitte pour rentrer chez lui manger un morceau. Alain fait de même car pour lui qui est venu à vélo la sortie n’est pas finie. Il doit maintenant remonter à Belmont : une dernière petite vacherie pour le « plaisir » !

Sur ces entrefaites, nous voyons arriver Patricia et Raymond. Ils ont bouclé le 100 km avec Christophe. Mais ce dernier est reparti de suite car il était pressé. Nous apprenons alors que Serge avait rejoint leur peloton mais qu’avec Michel ils avaient décidé de nous attendre à l’intersection des parcours. Comme nous ne les avons pas vus, j’en conclus que, lassés de nous attendre, ils ont préféré finir le parcours à deux.

Raymond nous apprend aussi qu’il souffre d’un problème au genou suite à un mach de foot. Comme son toubib lui avait  prescrit 3 mois d’arrêt de vélo il a voulu vérifier le bien fondé du diagnostic en faisant le 100 km. Résultat : la souffrance est là et bien là. Nous espérons tous qu’il va très vite s’en remettre et remonter sur le vélo.

Et si je puis me permettre un conseil, laisse le foot à l’autre Raymond !!!!!

Le parcours était très beau, les routes tranquilles, les paysages superbes. Nous étions dans le pays des cerisiers qui étaient cafis de cerises. Hélas pour les gourmands, celles qui étaient mures étaient soit inaccessibles car au sommet de l’arbre, soit trop près des habitations. Pourtant Jacques et Alain en ont  trouvé et  mangé quand même quelques unes. Dire que je ne les ai pas vues !

Au final :  73 km, 1.132 m de dénivelée, 28 km de montée, pente moyenne 5%, pente maximum 9% . 28 km de descente. »

B/ Le second récit est rédigé par Christophe pour le groupe des véloces sur le 100 km.

Le récit commence à l‘endroit où les circuits se sont séparés.

« A la Croix de Signy, nouvelle séparation dans le groupe des cinq qui voulait profiter un peu plus des petites routes tranquilles de ce joli circuit.

Au départ Patricia voulait faire le grand tour. Pour ma part, ça n’était pas les bonnes raisons qui manquaient pour l’accompagner : je voulais rentrer tôt ; je rêvais de faire un col mythique de la Nationale 7 ; et surtout, je ne me suis jamais trompé pour suivre un circuit sur une carte….Elle pouvait compter sur moi.

La dénivelée n’est pas très importante sur cette partie du trajet. Nous roulons sur de petites routes en balcon qui nous font profiter du joli paysage. Quelques nuages dans le ciel bleu, une température idéale pour le vélo, tout va bien.

A Violay, première erreur de parcours. Une gentille jardinière ( femme du jardinier ) nous remet alors dans le droit chemin. Là, nous croisons Raymond. C’est normal, me dis-je, il est sur le 88, il suffit juste qu’il tourne son vélo dans l’autre sens pour être dans la bonne direction.

Nous évitons sagement Saint Cyr de Valorges ( Ah bon ? nous avons raté la route ??) et nous attaquons avec émotion le kilomètre de N7 qui nous amène au célèbre Col du Pain Bouchain. Il ne manquait que les camions….Vite nous tournons à gauche (trop tôt) et c’est un sympathique facteur qui nous indique la bonne direction.

Arrivés aux Sauvages, Raymond nous rejoint. Il avait décidé lui aussi de faire le grand parcours, malgré un genou qui le faisait souffrir. Il nous demandera plusieurs fois de le laisser au bord de la route, mais rien à faire, nous n’avons pas réussi à nous en débarrasser.

Après une longue descente sur Tarare et les conseils avisés d’un papy du coin, qui nous croyait perdus, nous remontons vers Saint Marcel l’Eclairé puis bifurquons vers Saint Forgeux où nous retrouvons le même itinéraire que les copains.

Malgré la forme olympique de Patricia et le courage de l’inoxydable Raymond, nous tombons d’accord pour éviter le Mont Popey et retrouvons l’Arbresle où, par simple précaution, nous demandons notre chemin une dernière fois à de charmantes jeunes filles.

Muni d’une bonne bière pour rédiger ce rapport, tout en encourageant les coureurs du Dauphiné Libéré qui arrivent à L’Alpe d’Huez, je me dis que pour eux, c’est facile de ne pas se tromper de chemin : il suffit de rester entre les deux rangées de spectateurs. »

II/ NOUVELLES DU DIMANCHE

Ø Christophe BOURNAC a accompli son brevet de 600 km. Il a mis 34h 25 pour boucler cette distance qui comportait 5.600 m de dénivelée.

Enorme ! Bravo à notre champion !

Ø La « Beaujolaise » avait lieu à Villefranche. Monique et Jean-Jacques PECH ainsi qu‘Alain DERRAC ont représenté notre club au milieu des 620 participants. Ils n‘ont vu personne d’autre du club bien que Patricia JOHANNES ait prévu d’y aller. Les MAILLOL n’ont pu s’y rendre pour cause d’anniversaire de Bruno.

Ajoutons, comme nous le verrons plus loin, Pierre GALLAND qui a participé la veille à « l‘Etape Beaujolaise » qui est une épreuve cyclosportive.

Jean-Jacques a trouvé les parcours très intéressants mais exigeants. Cela constituait un bon entraînement pour le WE mythique. Avec sa fenotte il a pédalé sur le circuit de 100 km (1.800m de dénivelée). Le parcours était très beau, avec des routes inédites mais givordant (1) entre les cols du Beaujolais. Les pentes n’étaient pas trop raides mais incessantes.

A l'arrivée les participants ont eu droit à un super repas, à un sac cadeau avec 2 bidons et une bouteille de Beaujolais (geste fort apprécié par JJP !).  Ah, quand on bénéficie d’annonceurs nombreux et importants ! 

Alain a également effectué le 100 km.

« Randonnée à recommander à tous les Atscafiens pour 2011 »  conclut notre président départemental.

Le glossaire lyonnais-français

(1) BOYON. n.m : Veau

III/ SAMEDI PROCHAIN AVEC LE CLUB

Ø Une partie du club ira à la « Cyclo-Montagnarde des Aravis » qui démarrera d’Annecy.

C’est Florian CABAJ qui gère le groupe comme il l’a fait pour le Jura il y a quinze jours.

Ø Pour ceux qui restent à Lyon, la sortie club a été tracée par Bruno MAILLOL. Donc le Pilat est à l‘ordre du jour. Prévoyez votre petit plateau et votre 28 dents à l’arrière !

Ceux qui peuvent récupérer les circuits chez Bruno pour les apporter à Givors se font vite connaître !

Samedi 19 Juin 2010

A Givors

Gare SNCF de Givors-Ville

RV à 7H 45 pour un départ à 8H

Note pratique : On se donne RV sur le parc de stationnement de la gare SNCF.

Prévoir qui rédigera le compte-rendu pour la « Lettre ».

Comment y aller ? En venant de Lyon par l’autoroute, sortir à Givors après le pont sur le Rhône. Au carrefour (feux) tourner à gauche, emprunter la grande rue commerçante (Rue Victor Hugo) et, sitôt traversé le canal, prendre au feu à droite. La gare est située après le pont de chemin de fer.

Mais en train c’est mieux ! Départ du TER à 7h06 de Perrache pour arriver à 7h 22 à Givors.

Départ d’un autre TER à 7h 19 de La Part-Dieu pour arriver à 7h 37 à Givors.

IV/ DIMANCHE PROCHAIN

Ø Vous ne pouvez pas rouler samedi ? La balade de samedi ne vous suffit pas ? Vous voulez que votre club obtienne des points au Challenge de France ou au Challenge régional ? Une solution : participez aux rallyes organisés le dimanche par d’autres clubs FFCT comme ceux qui suivent.

Ø Dimanche 20 Juin vous avez à votre disposition la « Savoyarde » organisée par le club FFCT de Montmélian (73). Départ dès 6H 30.

Parcours route de :       41 km et 515 m de dénivelée ;

                                   74 km et 1.240 m de dénivelée ;

                                   100 km et 2.030 m de dénivelée.

Ø Dimanche 20 Juin a également lieu la « Randonnée du Reblochon » à Thônes (74).

La « Lettre » n° 417 traitait déjà de cette initiative. Merci de vous y référer.

V/  ET POUR APRES ?

Alain DERRAC mène à lui tout seul un véritable travail de groupe de pression pour entraîner du monde sur  « l’étape Sanfloraine » qui a lieu le dimanche 15 août à Saint Flour. La « Lettre » n° 418 s’en faisait déjà l‘écho.

Le formulaire d’engagement à cette randonnée cyclotouriste se trouve sur le site : http://www.etape-sanfloraine.fr/.

Pierre DUMAS a déjà fait savoir qu’il viendrait.

Alain propose le programme suivant. Arrivée à Saint Flour le samedi 14 avec visite de la ville. Samedi soir barbecue chez le père d’Alain avec sa petite famille. Il propose une chambre pour deux. Autorisation du patron de planter des tentes sur la pelouse. Il y a aussi un emplacement pour une auto-caravane.

Pour ceux qui préfèrent l’hôtel voici quelques liens dans l’ordre de préférence d’Alain.

http://www.maison-des-planchettes.com/fr,1,8490.html
http://www.hotel-leboutdumonde.com/fr,1,5634.html
http://fr.federal-hotel.com/hotel_balla ... 100094.htm

VI/  LES POTINS DU PELOTON

Ø Comme vous avez été nombreux à vous inquiéter au sujet de Raymond BUCHALIN suite à sa défaillance de samedi dernier, voilà son récit des évènements et des suites médicales.

« Samedi dernier, la sortie a commencé avec un pneu dégonflé, (mauvais signe puisque cela s'est produit dans la voiture). En remontant la roue, un petit gravier s'est furtivement intercalé entre la jante et le pneu ce qui m'a obligé à faire un arrêt (deuxième mauvais signe) avec plusieurs compagnons de route.
Tout est bien alors jusqu'au raidillon situé au pied de la Croix du Banc à Pollionnay. Là, j'ai mal géré mon effort et je suis arrivé en haut au seuil de l'asphyxie : plus de souffle, douleurs et surtout plus de force. La montée de la Croix du Banc n'est pas difficile aussi je suis arrivé au sommet aidé par Christophe avec l'histoire du "remorqueur" (pas drôle). A Chevinay j'aurais dû profiter de la fraîcheur de l'eau de la fontaine pour m'arroser la nuque et peut être me ragaillardir, mais non.  J'attaque sans enthousiasme la montée du col de La Luère en compagnie de Noëlle et Jean-Michel lesquels deviennent mes anges gardiens. Un arrêt au milieu de la montée mais finalement le sommet est atteint. Curieusement et pour épater mes accompagnateurs, le col de Malval est franchi correctement. Nous arrivons à Châteauvieux sous une chaleur intense et, bien que protégé par la Chapelle et son contenu, c'est la fin des haricots. Un étourdissement relativement fort impressionne Noëlle et son mari lesquels spontanément décident de venir me chercher en voiture : "on ne rigole pas avec le cœur". Fin du parcours.

Une autre souffrance nous attend à Chaponost, il n'y a pas de café ouvert : nous sommes obligés de nous séparer dans la douleur.

Un autre parcours est alors engagé. Lundi RV chez le médecin traitant lequel ne trouve pas d'anomalie grave avec l'électrocardiogramme mais me dirige chez le cardiologue. Celui-ci constate une calcification près d'une artère coronaire et associe ce phénomène à la précédente intervention chirurgicale de la cuisse en novembre 2009 et conclut : « patient à haut risque ». La fin programmée est située le 8 juillet à l'hôpital Cardiologique pour glisser un petit ressort qui maintiendra l'artère ouverte et me permettra de reprendre le vélo "comme avant". L'intervention est très courte puisque entrée le matin à 7 heurs 30, et sortie l'après midi vers 15 heures.

Un point optimiste : grâce à la pratique de ce sport, j'ai certes eu un malaise mais qui n'a pas la gravité de l'infarctus et ses conséquences. Les signes avant-coureurs se sont déclarés en pédalant.

En attendant, calme plat, vélo sans côte et sans efforts (beurk !). Bon courage et bonnes vacances à tous. »

Soigne toi bien Raymond car effectivement on ne badine pas avec le cœur !

Ø Vous n’avez pas vu Marie-Christine JOLY et Michel RODRIGUEZ depuis longtemps. On se demandait ce qu’ils devenaient tout en sachant qu’ils profitaient d’une certaine disponibilité pour multiplier les balades avec leur auto-caravane (ou camping-car si vous êtes habitués au franglais).

Les dernières nouvelles recueillies ne sont guère réjouissantes. Alors qu’ils revenaient de la frontière espagnole ils ont eu un accident de la circulation. Un crétin venant en face a franchi la ligne blanche dans un virage pour doubler une file de voitures. Michel qui roulait doucement n’a pu l’éviter et le chauffard s’est encastré sous son véhicule. De manière miraculeuse et grâce à leur position surélevée nos amis n‘ont pas été blessés. Et le délinquant routier quasiment pas. Michel l’a empêché de prendre la poudre d’escampette. Il lui a paru sous l’emprise de la drogue. Le choc a été tel que l’auto-caravane où Michel a mis tant d’argent et d’huile de coude pour l’aménager est absolument irréparable. Les gendarmes ont d‘ailleurs saisi la carte grise. S’il n’y a pas de blessures physiques, Marie-Christine est très choquée psychologiquement.

Nous espérons que nos amis se remettront de cet épisode qui aurait pu être dramatique. Et nous nous tenons à leur disposition s’ils ont besoin d’aide.

Ø Magali MAILLOL a fait sonner le réveil plus tard que d’ordinaire ce samedi. Elle n’est donc pas allée à la sortie club mais a roulé en solo 75 km du côté de Serpaize où elle a trouvé des routes charmantes et un soleil qui l‘a relaxée. Comme dirait Michel GIRARD  "c'était une sortie de décrassage" après la cyclo-montagnarde du week end dernier.

Ø Michel GIRARD est allé ce week end dans le Vercors (en TER puis à vélo). Il a conquis deux nouveaux cols au dessus de Rancurel, le col du Pra de l'Etang (FR 38-1267) sur une route forestière et le col du Mont Noir (FR 38-1421) également sur une RF étonnamment bien bitumée. Descente d'enfer sur Cognin par les gorges du Nan, magnifique ! Comment a-t-on pu tailler une route pareille?
Au total ce WE il a franchi 245 km dont 170 dimanche.

Ø Samedi Pierre GALLAND a participé à « l‘Etape Beaujolaise », épreuve cyclosportive. Ca s’est très bien passé pour lui. Il a même été intronisé Chevalier dans le Grand Ordre du Morgon à l'issue de la course. Il a aussi pu longuement échanger avec Luc Leblanc. Cette « Étape » clôturait la première partie de son raid dont parlait la « Lettre » la semaine dernière : 450 km en 4 jours avec notamment 3.000 m de dénivelée en Ardèche le premier jour, le col de la République et le Pilat le lendemain. Il retrouvera Aix en Provence par les étapes suivantes : Valence - Villard de Lans, puis Villard de Lans –Dieulefit  et enfin Dieulefit - Bedoin en passant par Le Ventoux ! 

Ø « Frère Benoît », autrement dit Benoît LABAUNE, a envoyé une petite carte au club pour regretter d’habiter si loin de Lyon. Il préférerait tant grimper avec nous plutôt que de longer en solo des autoroutes en région parisienne. Du coup il ne pédale presque plus ! Il nous « embrasse tous »

 

Ø Marie-Aline CHAMBON, l’épouse de Roger, est une adhérente du club depuis octobre dernier. Nous ne l’avons pas encore vue aux sorties du club mais nous devions faire sa connaissance au week end mythique. Hélas nous venons d’apprendre –dans la série des mauvaises nouvelles- qu’elle s'est cassé le poignet. Bon rétablissement à elle et nous espérons la voir avant le week end mythique de l’année prochaine !

Ø Corinne DAMERON, fidèle lectrice de la « Lettre », vient de nous écrire. Elle est très contente de ses progrès à vélo. Il faut dire qu’elle a acheté un nouveau vélo qui fait 3 kg de moins. Et elle même a perdu 6 kg en un an. Du coup elle avance plus vite ! 

La semaine passée, avec son mari elle a effectué 6 sorties dans les Pyrénées où elle a conquis 75 nouveaux cols en 600 km et 12.305 m de dénivelée !!! Sur sa lancée elle veut s’aligner au départ de la Marmotte début juillet.

Elle conclut son message en espérant un jour rouler avec nous. Ca serait avec plaisir.

VII/  LE COIN VELOCIO

Ø Vous trouverez en pièce jointe le récit de Martine SILBERSTEIN qui a effectué un circuit de 3 jours dans le Vercors lors du week-end de Pentecôte. Cette semaine vous lirez le compte-rendu de la première journée. La suite sera annexée aux deux prochains numéros de la « Lettre ».

Merci à Martine de nous avoir fait partager de manière aussi prolixe cette expérience de cyclo-randonneuse en autonomie complète.

Le trajet a été tracé par votre serviteur ce qu’elle a parfois regretté vu les difficultés rencontrées sur sa route. Mais il est vrai que le Vercors n‘est pas plat et que le format imposé était limité à 3 jours.

Bernard CHAREYRON