atscaf cyclo 69 . Club FFCT n° 07061

 

LA LETTRE n° 412

Lyon, le 2 mai 2010

LA PLUIE EN TROUBLE FETE !

I/ LA SORTIE CLUB DE SAMEDI DERNIER : PLOUF !

Ø Comme il pleuvait, même Evelyne LEFRANCOIS, chargée d’apporter les circuits, ne s’est pas déplacée à Simandres.

Nul écho d’atscafien par courriel, téléphone ou sur le forum. On peut donc légitimement penser que la balade est tombée à l’eau ! Rien d’anormal à cela, le vélo doit rester un plaisir !

Ø C’est l’occasion de rappeler pour les nouveaux atscafiens une des règles du club : s’il pleut une heure avant le moment du départ prévu, la balade est annulée. Vous pouvez certes vous rendre au rendez-vous car il n’est pas question d’interdire de rouler à quiconque. Mais dans ces conditions vous n’êtes pas sûr de trouver des collègues, ni des trajets. Bref dans ces circonstances vous pouvez vous préparer mentalement à rouler seul ou seulement à quelques-uns.

II/ NOUVELLES DU DIMANCHE

Ø Evelyne LEFRANCOIS et Christophe RIGOLET sont allés pédaler le matin dans la Dombes. Comme un méchant magnin (1) le laissait prévoir, ils se sont bien sûr ramassés la pluie. Malgré tout ils ont couvert 67 km .

Ø Philippe DESIRE, Magali MAILLOL et Daniel ROTHWILLER ont projeté sur le forum de rouler l’après midi. Mais devant la pluie qui s’est invitée ils ont décidé de rester à la maison où, c’est bien connu, il y a toujours quelque chose à faire.

Ø Alain DERRAC, plus courageux, est allé jusqu’aux Avenières pour représenter le club au rallye des « Trois départements ».

Le glossaire lyonnais-français

(1) Bamban. N.m et adj. = Lent, paresseux.

 (2) Méquier n.m : Métier à tisser.

III/ SAMEDI PROCHAIN AVEC LE CLUB

Philippe DESIRE avait tracé l’an dernier les circuits que le club empruntera samedi prochain.

En raison de la période des congés estivaux ces routes n’avaient finalement pas été parcourues par l’ATSCAF si ce n’est par deux copains, Clément BONITEAU et Michel FEYX,  le 8 août.

Donc, comme disent les canuts, on remet l’ouvrage sur le méquier (2) !

Samedi 8 mai 2010

A

Saint Genis Laval (cimetière, rue de l’Egalité)

RV à 7h 45 H pour un départ à 8H

Notes pratiques : Saint Genis-Laval est une commune de la banlieue sud-ouest de Lyon. Quand on vient d’Oullins et qu’on remonte sa Grande Rue, on emprunte à Saint Genis, dans le prolongement, l’avenue Georges Clémenceau. Après être passé devant l’hôpital Sainte Eugénie (à votre gauche) vous prenez à droite au rond point l’avenue de Gadagne. La rue de l’Egalité est alors la deuxième rue à droite. Vous vous garez vers le cimetière conseille Philippe.

IV/ PAQUES EN PROVENCE (suite)

Après les exploits des cyclos voyons maintenant le VI (voyage Itinérant) du côté des soutiers, c’est à dire à bord de la voiture suiveuse conduite par Rodolphe MALESKI et où avaient pris place Yvette BLAISE sa compagne et votre serviteur privé de vélo pour cause de fémur convalescent.

Le véhicule en question est un minibus de location ce qui change du traditionnel tagazou. Ce dernier rend certes d’éminents services au club (Cf le WE dans le Jura) mais il ne peut pas transporter 9 personnes et les bagages de toute une équipe. En outre, à une époque où la situation grecque est à la une, osons dire que le confort du vieux Toyota est très spartiate.

Mais, quelque soit le véhicule, le travail des accompagnateurs est toujours le même. Pour une fois tirons-les de l’ombre et parlons de leur travail ingrat qui rend pourtant bien plus agréable la balade des cyclos.

Le jeudi 1° avril au matin, Rodolphe amène le minibus équipé de sa remorque devant le domicile présidentiel où se sont donnés rendez-vous les cyclos en partance pour la Provence.

La veille notre vétéran est allé chercher, conduit par sa femme, l’engin à l’agence de location à Caluire. Puis il avait foncé à Chassieu pour récupérer la remorque du CODEP entreposée chez Sylvie MARIN. Yves DUBOST et Rodolphe avaient déjà effectué auparavant le déplacement à Chassieu pour vérifier l’état de la remorque et essayer de remédier aux problèmes de fixation des vélos.

Jeudi matin donc, aux aurores, les bagages sont chargés dans le mini-bus. Il est en revanche assez compliqué de fixer les vélos sur la remorque mais on y arrive tant bien que mal. Ce sera durant tout le séjour le point faible du VI et une source d’énervement.

Les cyclos s’entassent dans le véhicule et Rodolphe les emmène jusqu’à Péage de Roussillon, là où commence le voyage à vélo. Signalons que Michel FEYX et Michel GIRARD sont descendus à Péage à vélo. Signalons aussi qu’Yvette, retenue à Lyon par le départ à la retraite d’une amie et que Bernard qui avait RV chez son chirurgien ne sont pas du voyage. Ils descendront le soir même ensemble en train à Valence.

Les cyclos commencent à rouler. Rodolphe rejoint nos amis au café à Hauterives. Il les retrouve de nouveau à Saint Donat sur l’Herbasse où ils ont obtenu le droit de casse-croûter à midi. Les pique-niques sont sortis du véhicule. Le bistrotier est surpris de l’abondance du casse-croûte. Quand les repas sont transportés en voiture on n’est pas obligés de se contenter de barres de céréales !

Durant l’après midi Rodolphe suivra le cortège tantôt de près, tantôt de loin. Cela exige une certaine habileté de dépasser les cyclos avec la remorque, ou ne pas rester collé derrière eux et de gêner ainsi les autres utilisateurs de la route.

Avant que le peloton n’arrive à Crest, au couvent des Clarisses, terme de la première étape, Yves installe son vélo sur la remorque et monte avec Rodolphe. Les deux amis filent à l‘hébergement, débarrassent les bagages, puis reprennent dare-dare la direction de Valence situé à une trentaine de km pour aller quérir à la gare Yvette et Bernard. Les deux piétons sont réceptionnés et conduits à Crest où ils partageront le repas vespéral avec les autres atscafiens.

Le lendemain débute une magnifique journée de vélo avec en particulier la traversée de la forêt du Saou. Au départ le mini-bus fait halte à Crest où Bernard effectue quelques courses et retire les fiches de loto pour le groupe qui, aujourd’hui, a envie de gagner des millions. Mais hélas Bernard qui n’y connaît rien ramène des fiches de jeu à gratter. Pendant que les cyclos grimpent le Pas de Lauzens puis assistent Evelyne qui a scié son pneu, le trio des accompagnateurs leur réserve un bistrot à Saou et prend le café en terrasse en les attendant. Plus tard ils visiteront le village de Pont de Barret. Mais il faut faire vite pour s’installer sur l’aire de pique-nique à la Bégude de Mézenc. Il était temps, les cyclos arrivent déjà. Heureusement que nous avons réservé les tables dans ce jardin public car des touristes avaient bien envie de s’y installer. Le repas est tout sauf frugal sous un beau soleil.

L’après-midi commence par la visite par les cyclos du vieux village pittoresque du Poët-Laval. Les accompagnateurs ne se risquent pas à emprunter ces ruelles étroites avec le camion et la remorque. Yves qui a des ennuis mécaniques avec son vélo (un plateau tordu lors d’un choc sur la remorque) est monté dans le camion. Nous n’avons pas trop le temps de faire du tourisme car nous avons besoin d’un vélociste. Après avoir beaucoup cherché nous en trouvons un à Dieulefit. La réparation est effectuée en quelques minutes. On en profite même pour acheter un pneu neuf à Evelyne.

Yves soulagé est reparti sur son vélo. Les accompagnateurs peuvent souffler et visiter le très beau village de Rousset les Vignes. Rodolphe s’émerveille de découvrir la Drôme authentique, lui qui ne la connaissait que par les grands axes routiers.

A Nyons, le mini-bus est englué dans un embouteillage carabiné. On se débat entre la vogue, la sortie du collège, les sens interdits, les touristes de transit. Enfer et crise de nerfs ! On appelle vite les cyclos pour qu’ils évitent le coin. Ce qu’ils feront en passant par Vinsobres. Nous repérons un endroit pour les attendre à Mirabel aux Baronnies mais le coin est trop passant. Finalement nouveau coup de fil : on se retrouvera directement au terme de l’étape, à Vaison la Romaine.

En y arrivant avant les cyclistes, on peut trouver le gîte, guider par téléphone les cyclos, discuter avec le gérant, se faire expliquer les lieux, sortir les bagages. Cette dernière opération est dantesque. En effet la porte arrière du mini-bus ne s’ouvre pas de l‘extérieur. Il faut donc  se jeter à plat ventre depuis l’intérieur sur la montagnes de bagages pour l’ouvrir. Dans cette opération acrobatique Yvette perd les clés de la chambre qui viennent de lui être remises. Bonjour l‘angoisse !

Le repas du soir, la nuit, le petit déjeuner, tout est parfait dans ce village de vacances, l’Escapade, qui appartient au mouvement « A Cœur Joie ».

Le lendemain matin, samedi, les cyclos décident de faire un petit circuit dans la région. Ils ont déjà pas mal de km dans les pattes. Parcourir une centaine de km aller-retour pour ensuite accomplir les circuits mis au point par la FFCT à partir de Sault, lieu de la Concentration pascale, est inimaginable. En plus il y a du vent. Seuls Benoît et Christophe LABAUNE et Michel GIRARD feront le tour du massif du Ventoux.

Pendant que les autres cyclos vont découvrir les villages pittoresques de la région comme Rasteau, les accompagnateurs effectuent les courses pour le repas de midi. En effet nous allons pique-niquer chez la sœur et le beau-frère de Daniel CASTEAU. Ce dernier nous a rejoints hier à La Bégude de Mazenc. Comme il y a des supermarchés à Vaison ce n’est pas trop compliqué de faire les emplettes. On en profite pour mettre du gazole. Puis, pour se récompenser, le trio visite les superbes villages de Séguret et de Gigondas. C’est merveilleux ! Bernard en oublie qu’il peine avec ses cannes dans les ruelles en pente. En plus il n’y a pas encore de touristes. Et il fait beau ...mais avec un vent qui doit faire souffrir les cyclos ! Yvette et Rodolphe sont ravis.

Vélos et auto arrivent en même temps chez les Guigue à Violès.

Ces gens-là sont d’une hospitalité et d’une gentillesse confondantes. Ils nous font manger dans un garage qu’ils ont aménagé pour que nous soyons abrités du vent. Chez des viticulteurs on peut deviner que nous « n’avons pas taraudé à sec ». Avant de repartir, nombreux sont ceux qui achètent du Côte du Rhône. Ca tombe bien le mini-bus peut transporter les acquisitions !

En fin d’après midi, les copains se remettent de la fatigue du jour et visitent à pied Vaison. Bernard reçoit un coup de fil. Florian qui se trouve sur la Trace annonce qu’en raison du vent contraire ils ont 2 heures de retard et qu’ils ne pourront jamais être au gîte pour le repas. En outre il va pleuvoir et Philippe souffre beaucoup de son genou. Ni une, ni deux, on se fixe RV à Salles sous Bois. Rodolphe remonte donc dans le mini-bus et, guidé par votre serviteur, va chercher nos compagnons 36 km plus au nord. Ils font monter dans le camion Jean-Jacques PECH, Florian CABAJ et Philippe DESIRE comme cela a déjà été raconté dans la « Lettre » et les ramène, eux et leurs vélos à Vaison où ils pourront manger avec tout le groupe. Alain SAVEY et Anass BEZZAZZ quant à eux arriveront à bon port à vélo !

Lendemain dimanche : c’est le jour où nous allons à Brantes au lieu de la Concentration pascale en souvenir de Vélocio.

Pendant que les cyclos s’élancent, les accompagnateurs partent de nouveau faire les courses pour le repas de midi. C’est dimanche. Votre serviteur, qui milite habituellement contre le travail dominical est particulièrement culpabilisé de rentrer dans un supermarché ce jour-là. La vie est faite de contradictions et puis on ne peut pas laisser les copains mourir de faim !

Une fois la corvée achevée la voiture emprunte la vallée du Toulourenc. C’est superbe cette route qui longe la face Nord du Ventoux enneigé. Dans la voiture on devine sans peine les efforts mais surtout le plaisir que doivent ressentir les cyclos dans ce paysage. Il y a de l’envie dans l’air ! Nous approchons de Brantes. Mais la route est bloquée à la circulation automobile. Vu le petitesse de ce village accroché à la pente face au Ventoux la décision est normale. Oui mais pour les accompagnateurs ça va être compliqué. Il y a un km de montée. C’est rien en temps normal mais pour votre serviteur et ses béquilles ça dure une éternité. Quant au couple Rodolphe-Yvette, ils doivent porter à dos d’homme (et de femme) les victuailles pour tout le groupe (y compris les flûtes de pain et le cubi de 5 litres !). Ah ! on s’en souviendra de Brantes !

La jonction se fait avec les cyclos. On pique-nique, on salue des connaissances diverses et variées, le président fédéral, Obélix, le père de Philippe DESIRE, des gars de clubs du Rhône. Cette ambiance bon enfant est plaisante.

Les cyclos repartent. Certains vont conquérir un maximum de cols sur les petites routes. Rodolphe descend rechercher la voiture. Nous essayons de nous faire servir un café dans un cani où la pauvre dame est complètement débordée par l’afflux de cyclos. Là se sont surtout des tandems qui se sont donnés rendez-vous. Yvette n’en avait jamais tant vu de sa vie. Puis nous rentrons en faisant la route buissonnière.

Dernière nuit à Vaison. Le lendemain matin c’est le retour. De nouveau il faut accumuler les bagages dans le mini-bus. Les cyclos décident de remonter jusqu’à Valence malgré un fort vent contraire. Pierre DUMAS, Yves DUBOST et  Françoise CHENAIS, eux, préfèrent la voiture. Du coup le trio se sentira moins seul. La présence du mini-bus rassure les autres. S’il y a une défaillance on peut toujours monter dedans. En réalité personne n’y grimpera ! Devant ou derrière le peloton, le véhicule se tient toujours prêt à intervenir. Mais son équipage se contentera de faire les courses, d’encourager sur le bord de la route à La Bégude par exemple, de repérer et aménager un lieu de pique-nique à midi dans un joli cadre. Ainsi dès que les copains arrivent, fatigués, au col du Devès, ils n’ont plus qu’à descendre du vélo et à se « mettre les pieds sous la table ».

Aller à Valence après ce repas ne présente désormais plus de difficultés particulières si ce n’est ce fichu vent. Les accompagnateurs attendent les cyclos à un pied humide du Champ de Mars puis boivent avec eux au succès de leur Voyage Itinérant.

Le mini-bus aura une dernière utilité en remontant sur Lyon ceux qui ne prennent pas le train ainsi que  leurs bagages.

Une fois les bagages déchargés le travail n’est pas fini puisque Rodolphe le lendemain doit rendre la remorque à Chassieu, puis remettre le camion à Caluire et enfin avoir recours à sa femme pour rentrer à Villette d’Anthon et souffler un peu.

Un grand merci à lui ! On ne s’en rend pas bien compte mais c’est un sacré travail que d’accompagner un peloton. Sans lui ce type de voyage est tout bonnement  impossible.

V/ DIMANCHE PROCHAIN

Ø Vous ne pouvez pas rouler samedi ? La balade de samedi ne vous suffit pas ? Vous voulez que votre club obtienne des points au Challenge de France ou au Challenge régional ? Une solution : participez aux rallyes organisés le dimanche par d’autres clubs FFCT comme celui qui suit.

Ø Dimanche 9 Mai vous avez à votre disposition l’Octocôte organisée par le club FFCT « AC3F » pour la 14ème année consécutive à partir de Fontaines Saint Martin. Les circuits de l’an passé sont reconduits dans leurs grandes lignes.

4 circuits route :

60 km et 600 m de dénivelée.

80 km et 1.000 m de dénivelée vers les villages du bas Beaujolais et son habitat en pierres dorées ;

100 km et 1.400 m dénivelée dans le Beaujolais ;

130 km et 2.000 m de dénivelée vers les Monts de Tarare.

3 circuits VTT :

20 km et 290 m de dénivelée : sur le plateau de Montanay ;

35 km et 900 m de dénivelée ; 

50 km 1.540 m de dénivelée vers les Monts d'Or : Mont Verdun, Mont Thou et Mont Cindre.

3 parcours marche :

8 km balisés avec départ libre de 8h à 11h.

11 km et 14 km , accompagnés par des animateurs, qui partiront en commun pour la découverte des villages de la rive droite de la Saône et des contreforts des Monts d'Or. Départ groupé à 8h30.

Un casse-croûte sera fourni à tous les marcheurs.

VI/  ET POUR APRES ?

Ø Samedi 5 juin Bourg de Péage et  Mende organisent 'l'étape avant l'Etape" sur le parcours exact de la 12éme étape du Tour de France entre ces deux villes soit 210 km .

Il reste quelques places disponibles pour participer à cette manifestation. Vous trouverez en pièces jointes les 2 pages du bulletin d'inscription et les renseignements concernant ce parcours à retourner de toute urgence directement à l’organisateur !

VII/  LES POTINS DU PELOTON

ØEllinor DESIRE est sortie de l’hôpital jeudi dernier. Nous sommes tous soulagés.

Ø Michel GIRARD a acheté le dernière version du guide Chauvot du club des 100 cols. Il trouve cela génial et se demande s’il ne va pas postuler pour faire partie lui aussi de cette sympathique confrérie.

En attendant il y a plus urgent : il met la dernière main à ses préparatifs puisqu’il part lundi pour son prochain voyage cyclo en Angleterre. Voilà donc pourquoi il est resté chez lui au sec ce week end. Il aura suffisamment l’occasion de rencontrer la pluie là-haut ! D’autant qu’il a plus de 3.600 km au compteur fin avril ce qui devrait être suffisant pour affronter son voyage.

Ø Martine SILBERSTEIN a envoyé un message de remerciement à l’ATSCAF section Théâtre et à Evelyne LAGREE qui a relayé l’info. Elle est en effet revenue enchantée mi-avril du bien beau spectacle (souvent drôle) qu’a donné la troupe atscaf au théâtre de la Croix Rousse ! Antoine, son fils, en plein stage de théâtre pendant les vacances, a été content d'assister à cette représentation qui traitait de la situation des juifs qui, comme son grand-père, se sont cachés chez des paysans pendant la dernière guerre.

Ø Alain SAVEY est affecté à Saint Etienne au 1° septembre du fait de son accès au grade d’inspecteur du cadastre. C’aurait pu être pire comme première affectation ! Espérons que nous continuerons à le voir pédaler avec nous le week-end.

Ø Jean-Pierre CHECCACCI cyclait le 20 avril, quelques jours après son anniversaire (il vient d’avoir  64 ans), du côté de Dagneux. Il a été repéré par Christophe BOURNAC (exceptionnellement en voiture ce jour-là) avec qui il a taillé la bavette. Il y a des atscafiens de partout : impossible de rouler sans se faire repérer !

Ø Mercredi 21 avril Bruno MAILLOL a fait un grand tour du Pilat à vélo sous un soleil plutôt voilé. Départ de Lyon pour rejoindre Givors, Rive-de-Gier et monter au col de Pavezin par Sainte-Croix-en-Jarez. Puis descente sur Pélussin, Maclas et Bourg-Argental. Déviation par la Croix de l’Aye pour rejoindre la Croix de Chabouret, Croix du Planil et retour sur Lyon par Pavezin et Givors. Belle balade dans le Pilat où les arbres n’ont pas encore de feuilles, mais où les fleurs abondent dans les prés verts.
Au total, 193 km pour 2.200 m de dénivelée.

Ø Le même jour Michel GIRARD roulait dans le Beaujolais avec un collègue de travail.
Ils ont été agressés par un chauffard aviné du côté de la cave de Bully, qui non content de les insulter a essayé de les mettre au tapis. Finalement, à cours d'argument, il les a traités de « pédales » ignorant que ce terme n’a rien d’une injure pour des cyclistes.

Ø Le jeudi 22 avril Magali MAILLOL sort à son tour avec Christophe BOURNAC qui insensiblement semble la préparer pour les longues distances. 

Finalement 110 km ont été franchis avec 1.006 m de dénivelée. Voilà le compte-rendu de cette sortie sur le site de Cri-Cri. Vous n’êtes pas obligé de chercher à comprendre les graphiques qui illustrent le récit.  http://cricri-le-cyclo.over-blog.com/article-derniere-sortie-des-vacances-49097380.html

ØVendredi 23 avril c’est au tour de Yann BRIZAIS d’aérer son vélo. Il accomplit une sortie de 92 km avec le col du Bel Air dans chaque sens et d'autres montées du côté de Serpaize et Moidieu.
Il est content d’avoir franchi la barre des 1.000 km depuis le début de l’année.

Ø 23 avril Magali MAILLOL accompagnait sur la première partie de son trajet Florian CABAJ qui montait à vélo dans le Jura au week-end familial. Ils se sont payés un café/thé à Chalamont pour marquer le passage de la barre des 2.000 km de Fantomette. Au retour elle avait 106 nouveaux km au compteur. Elle s’est également de nouveau perdue deux fois malgré sa carte routière.

Ø Jean-Jacques et Monique PECH ont également roulé en semaine -du dimanche 18 et au vendredi 23- dans le...Carcassonnais. La « Lettre » n° 412 en avait traité. Voilà des détails supplémentaires. Il y avait au programme 3 sorties. Une courte de 40 km avec un col, une moyenne de 72 km avec 2 cols à 500 m d'altitude environ chacun et une longue de 100 km ( 1.350 m de dénivelée) avec 2 cols plus importants, le Col de Treby, le Pic de Nore 1.210 m après 6 km de montée et le Col de la Prade 782 m après 8 km de montée. JJP atteint ainsi la barre des 2.000 km .

Ø Le 29 avril il faisait beau et cela a tenté Yann BRIZAIS. Il s’est frotté au col de Bel Air qu’il a grimpé 8 fois. Et voilà qu’on entend reparler de la confrérie des BBA (Les Bredins de Bel Air) regroupant tous ceux souffrant d’une cri-crite aiguë.

Ø Christophe BOURNAC a participé samedi 1° mai à la Valexnico, sortie sportive organisée par quelques amis, au départ de Chambost Allières. Le circuit raccourci par la pluie faisait 84 km et 1.850m de dénivelée sur 10 cols.

Ø Les époux MAILLOL devaient fêter leurs noces d’argent à Prague. Le nuage islandais leur a interdit de prendre l’avion. Pensez-vous que nos amis y sont allés à vélo ? Que nenni !

Plus fort, Philippe DESIRE est allé à Munich assister à la rencontre OL-Bayern. Là aussi le déplacement ne s’est pas effectué à vélo. 

Voilà deux exemples qui  attestent avec éloquence que le niveau baisse dangereusement dans ce club.

VIII/  LE COIN VELOCIO

Ø Le club vous communique les coordonnées du viticulteur jurassien qui nous a si sympathiquement accueillis à Arlay lors de notre séjour familial :

Caves Jean BOURDY,

rue Saint Vincent 39140 Arlay

Téléphone : 03 84 85 03 70

Télécopie 03 84 85 13 94

Site : www.cavesjeanbourdy.com

Le site est très bien conçu. Il y a en particulier un lien avec la biodynamie, concept que la « Lettre » précédente n’a pas eu la place de traiter.

Ø Nous avons été quelques-uns à rêver sur le circuit de VTT de 105 km effectué par Florian CABAJ et Michel GIRARD sur la route des crêtes en Italie du côté de Susa.

Pour ceux qui auraient envie de passer de la rêverie à la pratique et de conquérir une brassée de cols à plus de 2.000 m , voilà le lien du parcours tracé sur openrunner: http://www.openrunner.com/index.php?id=95967.

Florian propose également une variante un peu plus simple de 75 km   avec  environ 35 kilomètres de pistes et pas de difficultés techniques majeures : http://www.openrunner.com/index.php?id=97710,

Le lien qui suit est un récit de la sortie sur cette  route mythique de l’Assietta. Un récit agrémenté de photos est moins austère qu’un graphique Openrunner ! http://cudet.fr/cyclomaniac38/pages/VTT/Assietta/Asssietta.htm.

IX/  LA VIE DU CLUB

Ø La prochaine réunion du CODIR (COmité DIrecteur) du club aura lieu le jeudi 20 mai à Bron, à l’IUT. L’ASCUL y participera car nous aurons à tirer le bilan du Viron des Gones et à dégager les améliorations à apporter pour l’édition 2011. Nous examinerons également le devenir du week end familial.

Ø Florian CABAJ est toujours dans l’attente des bulletins d’inscription pour les Cyclo-Montagnardes. Certains pourtant intéressés n’ont pas renvoyé leur courrier à Saturnin. Or ce dernier doit retourner les inscriptions des atscafiens le 10 mai. Si des copains réagissent après cette date, il leur sera sans doute impossible d’être logés avec nous. Ce serait dommage.

Ø Le groupe d’atscafiens qui devaient randonner en Corse à vélo durant la semaine de l’Ascension se trouvent le bec dans l’eau. L’opérateur n’était en effet pas fiable du tout et il a planté toute l’équipe. Nos amis se trouvent fort dépités mais ont vite réagi.

Ainsi Yves DUBOST, Marie-Noëlle et Michel N participeront-ils à un Voyage Itinérant en Bourgogne - Nivernais avec un départ de Chalons et un retour par Nevers en passant par Autun - Montbard - Vézelay - Saint Fargeau et Briare.

Quant à Jacques DELMAS il s’est ainsi inscrit in extremis au séjour d’une semaine en Italie à Cervia organisé par la Ligue régionale de cyclotourisme.

Il y trouvera d’autres atscafiens tels Christiane AUGAY, Florian CABAJ, Jean-Pierre CHECCACCI, Jean-Jacques PECH et  Alain SAVEY. Si un cyclo a été oublié qu’il veuille bien excuser le rédacteur qui ne détient pas la liste des participants.

ØVous trouverez en pièce jointe le compte-rendu de la Castellane rédigé par Yves DUBOST.

Ø Thierry VALOT (merci à lui !) nous a fait parvenir une photo que l’édition locale du Progrès a publiée le lendemain du rallye de l’ASPTT à Pollionnay. On repère bien notre maillot sur la photo de groupe !

Ø Les licenciés du club recevront en pièce jointe le numéro de Mai de « Guidoline » la feuille du CODEP. Vous y lirez les 7 préceptes de base de Vélocio.

Bernard CHAREYRON