atscaf cyclo 69 . Club FFCT n° 07061

 

LA LETTRE n° 401

Lyon, le 31 Janvier 2010

NEIGERA-T’Y OU NEIGERA-T’Y PAS ?

I/ LA SORTIE DE SAMEDI DERNIER

Florian CABAJ, Raymond CHATENAY, Jean-Pierre CHECCACCI, Roger CHAMBON, Françoise CHENAIS, Jacques DELMAS, Alain DERRAC, Philippe DESIRE, Pierre DUMAS, Christophe LABAUNE, Evelyne LEFRANCOIS, Bruno MAILLOL, Gérard MARTIN, Noëlle N., Monique et Jean-Jacques PECH, Daniel ROTHWILLER, Philippe ROURE, Alain SAVEY, Christian THIERY et votre serviteur étaient bien là à Parilly.

Ce n’était pas évident de se décider à aller pédaler. En effet au moment de quitter le cocon familial des flocons de neige tombaient. Allait-on avoir beau temps comme ce matin ou bien cela allait-il tourner à la tempête de neige comme le laissaient penser certains nuages noirs ?

D’ailleurs Marie-Christine JOLY, Michel RODRIGUEZ, qui devaient revenir au club ce jour se sont découragés au dernier moment car il neigeait sérieusement à Taluyers.

D’autres sont venus au rendez-vous mais juste pour dire bonjour. Ainsi Michel GIRARD a retiré sa tenue cyclo. Yann BRIZAIS a préféré courir au Parc. Quant à Jean-Michel N. il a amené sa femme, elle, toujours très déterminée.

Les préparatifs sont longs aujourd’hui. Dame ! il faut distribuer les tenues cyclos, les cartes de route, de la documentation, faire l‘article pour vendre les patins à roulette de Gérard. C’est Pierre qui les emporte pour les essayer et éventuellement les acquérir.

Après de longs préparatifs nous partons mais 17 mètres plus loin nous stoppons car Alain D arrive. A la bourre ! Il faut dire qu’il a quitté sa vallée de l‘Azergues à 12h 30 !

Aujourd’hui nous quittons directement le parc et partons sur Vénissieux. La piste devant RVI est toujours aussi mal balayée. C’est sans doute la raison pour laquelle Daniel crève un peu plus loin devant l’Office Municipal des Sports où le club avait organisé des Première Pédalées il y a quelques années.

Des gones viennent s’extasier devant la maîtrise technique du réparateur qui extrait un morceau de verre de son pneu. Mais ils ont une phrase qui tue : « pour des vieux, vous avez vraiment la patate ! ». Sales gosses ! Malgré nos bonnets et nos casques ils nous ont repérés ! Nous les laissons néanmoins nous suivre quelques hectomètres une fois la réparation effectuée. Mais à deux sur leur vélo ils décrochent vite. Nous poursuivons par le chemin contournant Corbas et atteignons par une route d’une platitude absolue Saint Symphorien d’Ozon. Bernard sous l’effet des corticoïdes dont il se gave présentement en raison de problèmes dentaires a l‘impression de posséder une force herculéenne.

Force qui s’évanouira dans la bosse de Simandres qui nous attend à la sortie de « Saint Sym ». Ses 9% sont ravageurs en ce début de saison et il faut respirer un moment au sommet.

C’est là où les « véloces » décident d’aller vivre leur vie à leur allure. C’est le fait d’avoir été doublés par un gros peloton de Brignais qui leur a sans doute donné des idées.

Les autres copains empruntent de petites routes se tortillant pour mener à Communay. Il fait beau maintenant. Le ciel est presque bleu. Nous en profitons. C’est ensuite la D150 filant sur Marennes. C’est incroyable le nombre de pelotons que nous croisons aujourd’hui. Nous décidons une halte pour scinder notre groupe en deux : les « randonneurs » qui vont partir sous la conduite de Jean-Jacques et les « touristes » sous la conduite de Bernard. Ils feront le même trajet mais pas à la même allure.

A/ Le récit des « touristes ».

L’ambiance est très détendue dans ce groupe composé d’Alain D, Evelyne, Françoise C, Jacques, Noëlle, Pierre et votre serviteur. Nous roulons certes, mais savons nous arrêter comme au sommet de la côte de Chaponnay où Françoise offre des pâtes de coing. La montée au château de Chandieu est raide. Heureusement la chapelle est ouverte et nous pouvons la visiter. Est-ce qu’un lecteur, expert en matière historique ou géologique, peut nous dire si la butte de Chandieu (356 m) est artificielle (motte castrale ou poype ) ou naturelle ? On s’en pose des questions existentielles sur un vélo ! 

Il faut encore monter un sévère passage jusqu’au réservoir. Le coin s’appelle Bel Air. Décidément par ici le terme recouvre toujours une côte ! Maintenant ce n’est que du plaisir en descendant sur le centre d’Heyrieux. Il y a bien un coup de cul mais nous le franchissons grâce à l’élan d’une belle descente placée juste avant.

Dans le dédale des ruelles d’Heyrieux nous perdons un moment Alain et Pierre qui se sont mis à suivre les « véloces » venant de nous doubler après avoir grimpé le col de Bel Air et la côte d’Illins. Heureusement grâce au portable la jonction peut s’opérer de nouveau.

Nous traversons la plaine avant d’atteindre les Hauts de Saint Laurent de Mure. Mais voilà que la température chute. Il fait autour de 0° malgré les dénégations de Bernard propres à galvaniser les troupes. Jacques est glacé. Ses gants ne sont pas très adaptés pour le froid. A l’arrivée nous le conseillerons en matière vestimentaire. Il faut préciser que c‘est la première année que Jacques pédale en hiver.

Il fait bien sombre maintenant. De gros nuages chargés de neige se mettent en place. Nous espérons rentrer avant la fin du monde. Nous ne faisons plus très attention au paysage et ne nous arrêtons plus. De toute façon nous connaissons la route par cœur puisqu’elle emprunte les Hauts de Saint Laurent puis de Saint Bonnet avant de revenir à Saint Priest.

Youpi ! nous arrivons avant l’obscurité totale. Et il n’a pas voulu (1) neiger. Nous avons couvert 63 km et 550 m de dénivelée. Nous trouvons Alain S, Gérard, Philippe D et Raymond nous attendant au traditionnel bistro. En effet le froid et l’absence de lumière pour ceux venus à vélo ont incité les autres à s’en retourner rapidement. Mais nous ne laissons pas passer l‘occasion de consommer une boisson chaude et de discuter encore une fois.

Le glossaire lyonnais-français

 (1) Vouloir (loc. verb) : Suivi d’un infinitif, marque un futur proche. Cela correspond en français à aller. Par exemple on dit « Il veut neiger » à Lyon mais « il va neiger » à Paris.

B/ Voila le récit de Florian, désigné volontaire  par les randonneurs, pour rédiger leur compte-rendu. 

"Après que nous nous soyons séparés en 2 groupes à Chaponnay, nous prenons la direction de Saint-Pierre de Chandieu. La première côte qui nous conduit jusqu'à la route de Valencin tire dans les jambes. Certains espèrent que ce sera la dernière, mais Jean-Jacques avertit qu'il en reste encore une. Elle arrive effectivement juste après pour remonter vers le château de Saint-Pierre de Chandieu. Inutile de dire qu'elle est autrement plus sévère que la précédente. Nous nous regroupons au sommet pour permettre à tout le monde de récupérer. Philippe apprécie les kilomètres effectués la semaine dernière qui lui ont été profitables.

Arrivé à l'intersection de la route qui redescend sur Saint-Pierre de Chandieu, nous décidons d'éviter la route des crêtes prévue sur le parcours mais qui présente quelques "coups de cul". Nous rallions ensuite Heyrieux par les petites routes qui longent la nationale puis bifurquons direction Saint-Laurent de Mure. Jean-Pierre sent que l'arrivée se rapproche et passe devant le groupe. Position qu'il ne quittera plus d'ici le parc de Parilly, seulement devancé par Gérard dans les bosses. Gérard qui, frigorifié, filera devant à partir de Saint-Bonnet. C'est donc soigneusement abrités dans la roue de Jean-Pierre que nous rallions le Parc de Parilly. Il était temps car le froid commençait à nous mordre les doigts de pieds malgré les sur-chaussures."

B/ Voila maintenant le récit de Raymond des véloces.

« Les virus s’amusent.

C’est sûr que pour rouler avec ce temps, il faut avoir sa dose de virus. Sans compter ceux qui en avaient d’autres de virus, les vrais, les durs de dur, les méchants, les contagieux, qui s’en donnaient à cœur joie au fur et à mesure que la température descendait. Au moins, ça chauffait dans les poumons. Tudieu me dis-je in petto (c’est mieux pour causer aux virus), on verra qui dansera à la fin.

Au départ ce n’était pas comme ça. Vent zéro, environ 3 ou 4°C, soleil au ralenti mais soleil tout de même, tout juste si on avait envie de démarrer.

Daniel nous a bien aidés de ce côté-là. A peine parti que « pfuiiiit… », tout le monde se remet au soleil  Des vrais lézards ! Qu’est-ce que ça va être cet été ? La sieste terminée, on arrive à remettre tout le monde dans le même sens pour la balade hebdomadaire.

Direction, plein sud pas très loin de la rive gauche du Rhône jusqu’à Communay, au travers de petites routes fort sympas. Ça discute bien dans les rangs, Bernard est en pleine forme et même prêt à nous chanter une marseillaise en caracolant en tête. Probablement l’effet secondaire d’un pschiiit anti-grippal ?

A Communay, cap à l’est jusqu’à Marennes. Nous sommes rattrapés par un groupe conséquent de Brignais qui en nous doublant, éclate notre groupe en petits paquets. En tant que petit paquet unitaire et « incindable », je suis tout content de retrouver Gérard un peu esseulé aussi. Christophe, motorisé d’une Singer équivalente à celle d’Alain, nous dépose pour essayer de rejoindre ledit Alain et Bruno ouvrant la route. Ces Singer sont redoutables et leur sophistication efface la réelle capacité sportive du manœuvrant. On n’arrête pas le progrès !

Gérard préfère attendre le groupe arrière et nous laisse. Marennes passé, c’est la cote de Bel-Air qu’il faut grimper. Là, les écarts se creusent terriblement et je crois voir que Bruno ferme la marche ? Ainsi les Singer auront vaincu le dernier modèle carbone.

Un petit (peut-être plus long que petit ?) arrêt au sommet me permet de rejoindre mes compagnons. Ouf ! Je commençais à avoir mal à des muscles que j’avais oublié avoir.

Et puis le reste de la balade commence à défiler à bonne allure. Les côtes me sont mortelles, les poumons brûlent. La cote d’Illins présente une bosse à 13% et une très longue fin qui va crescendo de 9 à 11%.  La joie totale. Et puis après Illins ça continue dans le même genre quoique en moins long mais en plus raide. Ah ! Il en faut pour tous les goûts. Les deux Singer pètent le feu, mais Bruno se plaint de douleurs musculaires. Il me dit en être à 125 km pour la journée ou avoir fait 125 km avant la sortie, je ne sais plus.

Regroupement général avec le groupe des randonneurs un peu avant Heyrieux. Ouf ça ralentit un peu. La traversée d’Heyrieux nous disperse de nouveau d’autant plus que nous rentrons par la variante courte. Il ne nous reste plus que du plat maintenant. Alain et Christophe fendent la bise devant et nous amènent par monts et par vaux jusqu’au bercail. Il faut dire que la température est descendue franchement. Mon thermomètre affiche -1°C ou 0°C au mieux, les arrêts sont plus difficilement supportables. Le ciel s’obscurcit gravement, ça sent la neige. Nous arrivons au bistrot vers les 17h 05 avec 74 km au compteur pour la balade uniquement sans les suppléments.  Quelques flocons virevoltent. Bruno, à vélo, qui souffre véritablement, préfère rentrer directement avant d’attendre que ces muscles refroidissent. Christophe, à vélo aussi, rentre pour ne pas être pris par la neige et la nuit ?

Avec Alain nous attendons le groupetto qui arrive juste avant le temps limite, ce qui leur évite l’élimination et nous vaudra le plaisir de les revoir le week-end prochain.

L’après-midi se termine très agréablement autour d’une table, tous le nez plongé dans un chocolat chaud, en écoutant les blagues des uns et des autres. »

II/ SAMEDI PROCHAIN AVEC LE CLUB AUX PREMIERES PEDALEES

Voilà le mois de février et ses traditionnelles Premières Pédalées. Pour les atscafiens qui ne connaissent pas ces sorties précisons qu’il s’agit du RV, sous l’égide du CODEP, et qui est proposé à tous les cyclotouristes du département. Il s’agit de commencer la saison en douceur par des circuits de 25 et 50 km avec des dénivelée raisonnables.

Chaque manche a lieu le samedi après midi et est organisée par un club différent.

L’ATSCAF a remporté le « Trophée Loïc Dupré Latour » depuis 6 ans sur ces « Premières Pédalées ». Notre club aligne le plus d’engagés par rapport à ses effectifs. Si vous venez tous régulièrement à ces sorties, nous pouvons gagner cette année encore ce trophée.

Il faut payer une inscription modeste. Mais en contrepartie il y a un ravitaillement à l‘arrivée.

Les bénéfices sont reversés à la Ligue contre le Cancer ce qui donne du sens à notre engagement.

Pensez bien à emporter votre licence car il y a une réduction à l‘inscription avec sa présentation.

Un tirage au sort permet de gagner un vélo à l’issue des 4 manches. Pour ce faire gardez bien le carton d’inscription qui vous sera remis la première fois.

Samedi 6 février 2010

A Montanay (Foyer rural, rue des Maures)

RV à 12H 45 pour un départ groupé des atscafiens à 13H 15

Horaire : Bien venir à l’heure pour avoir le temps de vous enregistrer et de vous équiper avant le départ collectif des atscafiens.

Circuit route : 20 km (199 m de dénivelée) ou 50 km (et 430 m de dénivelée)

Contact : Yannick BENEZECH. Tél :  06 79 65 98 96. Mel : yannick.benezech@laposte.net..

Comment y aller ? Montanay est située au dessus de Neuville sur Saône. Surveillez bien le fléchage du CODEP au sein de la commune.

Un tuyau pour les costauds : Si le parcours de 50 km ne vous suffit pas, rien ne vous interdit d’enchaîner les 2 circuits(25 et 50km) ni de venir au RV à vélo.

III/ DIMANCHE PROCHAIN

Ø Vous ne pouvez pas rouler samedi ? La balade de samedi ne vous suffit pas ? Vous voulez que votre club obtienne des points au Challenge de France ou au Challenge régional ? Une solution : participez aux rallyes organisés le dimanche par d’autres clubs FFCT comme celui qui suit.

Ø Dimanche 7 Février vous avez à votre disposition la première manche de la « Randonnée d’hiver » organisée par le club FFCT « CTL : Cyclo-Touriste Lyonnais ». Le départ est donné à partir de la mairie du 8°, avenue Jean Mermoz, de 8H à 9H.  Il y a deux trajets de 50 et 75 km. Un ravitaillement est prévu sur le circuit et un autre à l’arrivée.

Remise des lots à 11H 30. Clôture : 12H.

Contact : 04 78 42 44 08.

L’attention des copains est attirée sur le fait que ce rallye est assez rapide. Il est donc plutôt conseillé pour les véloces qui n’ont pas suffisamment roulé la veille

IV/ ET POUR APRES ?

Ø Certains veulent bien descendre à Pâques en Provence mais ne se sont pas inscrits au Voyage Itinérant de 3 jours programmé par le club et tracé par Yves DUBOST. Ce n’est pas la peine d’insister, nous sommes complets !

Mais il y a la possibilité de descendre à Suze la Rousse au cœur d’un peloton cyclotouriste pour un audax de 230 km partant de Perrache le 3 avril au petit matin.

Un audax est une brevet effectué par un groupe de cyclotouriste à allure régulière, au rythme fixée par un capitaine de route et à la moyenne de 22,5 km/h. C’est une occasion de découvrir, avec le minimum d’efforts, le monde des longues distances.

Vous pouvez obtenir des renseignements supplémentaires en appelant notre club dont des membres participent à ce brevet depuis des années.

Une nouveauté a été mise en place par l’ASEB pour les gros rouleurs. Il s’agit du retour à vélo de Brantes à Lyon. Bien sûr il faut avoir la condition physique !

Pour ceux qui sont intéressés vous trouverez en pièce jointe le bulletin d’inscription.

Ø La Ligue régionale de la FFCT organise un séjour cyclo à Cervia sur la côte Adriatique du 1° au 8 Mai. Un certain nombre d’atscafiens connaissent déjà les hôtels des frères Pomponio, les hôteliers-cyclos, et peuvent assurer que le rapport qualité-prix est exceptionnel.

Si vous êtes intéressés par cette destination reportez vous à la pièce jointe qu’a rédigée Jean-Jacques PECH.

V/  LES POTINS DU PELOTON

Ø Gilbert LACHARME  a démonté son vélo, l’a nettoyé, puis l’a remonté, est parti chez son beau-frère dans le Midi. Là il a fait 5 km. Il  trouve la reprise très, très dure. Il n’avance pas. Il descend de vélo, le pousse à la main et s’aperçoit que le vélo ne roule pas mieux. Les patins touchaient la jante ! Les 40 km suivants ont été nettement pus faciles. Voilà qui est finalement rassurant.

Ø On ne mettra jamais assez en garde contre les les dangers du lapin ! Magali MAILLOL vient de l’apprendre à ses dépens. En voulant se baisser pour attraper son lapin d’appartement elle a fait un mouvement brusque et s’est coincée quelque chose dans le flanc droit.  Elle a du mal à dormir depuis 4 nuits à cause de ces douleurs intercostales et n‘a donc pu pédaler avec nous samedi.

Ø Quant à Bruno MAILLOL a-t-on précisé dans le compte-rendu de la sortie de samedi qu’il avait déjà roulé le matin avant de repartir avec le club l’après midi ? Cet homme est déchaîné ! Qu’est ce que ça va être en juin !

ØMichel GIRARD a roulé également le samedi matin car il craignait la neige l’après midi.

Ø Alain DERRAC nous a proposé de participer ce dimanche à un rallye pédestre à Lozanne de 8 ou 15 km. Il y avait même une assiette de prévue à l‘issue de cette belle balade beaujolaise. Il proposait de la faire avec ses voisins. L’idée était bonne mais nous l’avons apprise trop tard. A refaire, d’autant que des atscafiens connaissent cette initiative et trouvent la région bien sympa.

Ø Martine SILBERSTEIN vient d’achever un nouveau récit intitulé « Ma Petite Princesse est atteinte de leucodystrophie ».  Il s’agit du témoignage d’amour d’une mère à sa fille. Les deux précédents récits de Martine étaient auto-publiés. Cette fois-ci ce sont les Editions L’Harmattan qui publient. Martine monte en puissance !  Nous vous dirons quand le livre sera disponible.

VI/  LE COIN VELOCIO

Ø Et voilà les plus belles (et dures) choses ont une fin. Vous trouverez donc en pièce jointe le récit de la cinquième et dernière semaine du voyage de Michel GIRARD en Islande. Quel exploit ! Pas de doute notre homme n’est pas rebuté par des vacances très spartiates !

 VII/  LA VIE DU CLUB

Ø Les licenciés du club ont reçu la feuille mensuelle du CODEP du Rhône présentant les 4 points de départ des Premières Pédalées » du mois de février.

Ø Ils sont 50 pile, les atscafiens qui ont pris en janvier leur affiliation à la FFCT. Nous avions terminé 2009 avec 45 licenciés. La progression est surtout due à l‘irruption de la petite classe. En effet les enfants DESIRE (Mattias, Ellinor, Nils) et les enfants de Jean-Luc BERGER  (Mathis, Léanne) ont vu leur licence souscrite par leurs parents. On peut même se demander si notre club n’abrite pas le plus jeune licencié de France. En effet Chrystel BERTRAND et Jean-Luc ont pris une licence pour le jeune Eliott né le 13 janvier. Nul doute que nous verrons d’ici peu cette marmaille qui en carriole, qui en troisième roue, qui en siège vélo ou même à vélo.

Ø Jean-Jacques PECH nous a envoyé un courriel pour nous informer que « l'ATSCAF cyclotourisme Rhône » a remporté le « challenge de Ligue route » dans la catégorie du nombre de participants par rapport au nombre de licenciés. Une première place régionale ce n’est pas rien. Bravo à tous pour nous avoir permis d’atteindre ce niveau pour la troisième année consécutive.

Au niveau du nombre absolu de participants pour la Route , nous sommes 5ème.

Au niveau du nombre de féminines nous sommes 7ème.

Au niveau du nombre de jeunes de moins de 18 ans nous sommes 5ème !!! . Les enfants Désiré y sont pour quelque chose !

Bernard CHAREYRON