atscaf cyclo 69 . Club FFCT n° 07061

 

LA LETTRE n° 366

Lyon, le 3 Mai 2009

TERRE OU BITUME ?

 

I/ LA SORTIE DU CLUB SAMEDI DERNIER

Raymond CHATENAY, Jean-Pierre CHECCACCI, Françoise CHENAIS, Jacques DELMAS, Philippe DESIRE, Michel FEYX, Françoise et Pierre FOUILLANT, Evelyne LEFRANCOIS, Magali, Nathalie et Bruno MAILLOL, Patrick MARIANI, Gérard MARTIN, Monique PECH sont venus pédaler à partir de Chaponost.

Christophe LABAUNE est également venu mais directement sur une partie du circuit où il était à l’affût pour prendre des photos des atscafiens. Mais tous les copains ne l’ont pas vu.

Votre serviteur était absent non parce qu’il faisait la bobe (1) mais parce que sa tendinite rotulienne l’oblige à être au repos pendant cette période si propice au vélo. Grrr !

Pour le prix habituel de la « Lettre » vous avez droit à trois compte-rendus de la balade de samedi soit un récit par circuit. Bien vu non ? Et merci à nos envoyés spéciaux.

Récit de Nathalie - 55 km

« Il ne fait pas encore bien chaud à 8 heures mais le soleil est là, et c’est dans un beau matin ensoleillé que nous partons tous de Chaponost en direction de Brindas. Nous roulons bien groupés et, arrivés à Maison Blanche, nous nous divisons en plusieurs groupes. Ceux du 95 km filent devant, ainsi que ceux du 70 km

Le glossaire lyonnais-français

 (1)   Faire la bobe. Loc.verb. : Bouder, faire la gu...., faire la moue, dédaigner.

Le groupe du 55 km composé de Jean-Pierre, Françoise C., Jacques, Françoise et Pierrot F., Monique et moi-même, part à l’assaut du Col de Malval. S’ensuit alors une longue montée régulière et ô combien magnifique. La lumière du soleil matinal est tamisée par les feuilles des arbres. Au sommet, certains sont déjà arrivés et nous attendent en papotant et en mangeant des biscuits. 

Jean-Pierre décide de partir devant. Monique, Françoise C. et moi attendons les autres cyclistes. Puis on voit arriver en voiture Christophe L., « le photographe ». Une fois tout le monde rassemblé, nous partons en direction d’Yzeron, puis grimpons au Col des Brosses.  Mais peu après avoir passé Duerne, nous nous trompons de parcours. En fait, nous prenons une route, ou plutôt un chemin pour randonneurs/VTT/chevaux et nous descendons à travers la forêt. C’est un chemin impraticable à vélo pour nous : boue, cailloux, graviers, rochers, et nous marchons en poussant nos vélos. Arrivés en bas, nous sommes soulagés d’en finir et de retrouver une route bien lisse. Ensuite, nous nous dirigeons vers Thurins et là Françoise C., Monique, Jacques et moi coupons en prenant la D11 en direction de Brindas pour rentrer plus vite. Je crois que les Fouillant ont continué sur le parcours qui était indiqué sur la carte. Nous les retrouverons ensuite à Chaponost sur la place de l’église. 

Au final, 55 km avec 1.000 m de dénivelé ; une belle sortie sympathique et agrémentée d’improvisation sur le chemin de VTT ».

 Récit de Raymond - 70 km

Aventure extrême à « Le Bayard »

Au col de Malval, 2 cyclotes (Evelyne et Magali) et 3 cyclos (Gérard, Philippe et Raymond), amoureux du vélo sur route, optent pour le circuit de 70 km .

Ça tombe bien, il fait beau, certains ont déjà les jambes lourdes des sorties de la semaine et Evelyne et Philippe ont envie de se faire 1 ou 2 des véloces. D’ailleurs notre ami Philippe a déjà réglé son compte à Bruno dans la côte de Malval.

La descente sur Courzieu et la vallée de la Brévenne est plutôt frisquette sauf pour Magali qui freine à tout-va ce qui réchauffe les jantes de son vélo. A La Giraudière, comme tous les ans on tourne à gauche au lieu d’à droite. Un cri désespéré de l’arrière nous arrête et nous ramène, comme tous les ans, sur la bonne route. J’en profite, en l’absence de Bernard, pour rappeler aux nouveaux adhérents de ne pas hésiter à développer « le cri du paumé », c’est nécessaire à l’ATSCAF.

Puis la côte de la Giraudière jusqu’à Brussieu. Mais oh ! surprise, il nous faut tourner à droite avant Brussieu pour emprunter un abominable raidillon que même les animaux du coin refusent de prendre. Il fait bon s’arrêter en haut, on s’allège en vêtements et on se crémouille pour se protéger des rayons du soleil qui, bien que ne nous réchauffant pas, pourrait toutefois nous brûler (put.. de nature !). Je prête ma bouteille antisolaire à Baraque qui, vu sa constitution physique, me la vide à moitié.

Nous arrivons groupés à St Laurent de Chamousset qui marque le début d’une longue descente sur Ste Foy-l’Argentière. Gérard nous fait la descente à fond la caisse, alors que Magali freine toujours à fond. Je suis Philippe de loin et dans l’odeur de mon ambre que je trouve ma foi fort agréable, ce qui me convainc de racheter la même marque la prochaine fois que je lui prêterai ma bouteille.

Arrêt à Ste Foy avant d’entamer la côte pour rejoindre Duerne. Environ 6 km de montée qui ne semble pas trop dure à l’œil, mais pourtant on y reste collé. Et pour cause, Evelyne nous fera remarquer au sommet le panneau routier sur la voie descendante qui indique 9% sur 5 km .

Gérard et Philippe sont devant et leurs silhouettes disparaissent bientôt dans les virages. Je monte difficilement et je vois dans mon rétroviseur une tâche rouge qui me suit et qui se rapproche même. Ce ne peut être qu’Evelyne ou Magali ! Suprême honte me dis-je, je vais me faire carotter. Tout ceci dans un esprit cyclo-sportif, mais enfin quand même !

Ah ! la tache rouge s’éloigne, ouf ça va mieux !

Mais quoi, elle revient ! Non, c’est pas vrai ! Il faut que je dégonfle mon pneu ; le coup de la crevaison, c’est bien et pas connu.

Et c’est ainsi que je fais toute la montée, le nez collé sur mon rétro, sans avoir rien vu du coin, les muscles en feu. Vive le cyclo-tourisme !

Arrivé en haut, je saurai que c’est Evelyne qui me suivait et qui, m’a-t-elle dit, avait eu le secret espoir de me faire une surprise. Super chouette ! Elle rayonnait de joie, le plaisir était là.

En récompense, Evelyne me sort une petite boite bleue contenant des pastilles blanches.

Ouf ! c’est mieux qu’une boite blanche avec des pastilles bleues. Il s’agit en fait d’Arnica, produit homéopathique ayant des vertus anti-courbature immédiates. Ça marchera très bien sur moi à tel point que Gérard qui, n’ayant pas bénéficié de ce traitement, m’a jugé « dopé » lors d’une accélération imparable dans la bosse de Soucieu. Ah, quelle ambiance décontractée de cyclotourisme en ce samedi printanier !

Le retour à l’écurie depuis Duerne devait être une formalité puisque tout en descente quasiment.

Mais, mais… on a tourné à droite au lieu de…

- vous connaissez la suite ?

- le crieur a crié ?

- eh bien non, le crieur n’a pas crié.

Et patatras, après une descente freins serrés à fond, façon Magali, on s’est retrouvé dans une ferme dénommée le Bayard.

-         Il faut remonter dit Gérard

Ce qu’on aurait peut-être dû faire, mais qu’on n’a pas fait vu la pente à remonter.

Un petit chemin de terre relativement acceptable nous tente, nous l’empruntons. (Voir la photo en fin de journal NDLR). Un peu plus loin, alors que la pente s’accentue terriblement et que le chemin ressemble plutôt à un ruisseau se frayant un passage au travers de grosses pierres rondes, une amoureuse de la campagne, seule dans son champ avec ses 2 chevaux se dirige vers nous :

-         combien de temps faut-il pour rejoindre une route ?

-         ben…, je ne sais pas, je ne me promène qu’à cheval, mais ce n’est pas très loin.

-         ah ! bon, mais nous on ne fait pas de vtt, ce que vous voyez là sont des vélos de route et nous voudrions rejoindre un chemin revêtu en dur.

-         ah ! ah ! je ne m’y connais pas beaucoup en vélo, mais par là c’est peut-être ¼ d’heure ?

Par là, nous y allons, mais c’est le Vietnam. Avec Gérard, nous tentons de rester à califourchon, essai vain. Et voilà notre petite bande, vélo sur l’épaule ou poussé à la main, en train de faire du vélo artistique entre un pied qui glisse sur un caillou, une roue qui se bloque dans une ornière, un dérapage incontrôlé, un saut avec vélo, et un autre sans vélo, une figure de toupie avec grand écart, et même parfois un triple axel.

Le temps passe et on ne voit toujours pas le moindre chemin civilisé.

Alors que Gérard s’affére à détortiller une plante agressive prise dans son dérailleur, je l’entends maugréer :

-         Je ne comprends pas, à chaque fois avec l’ATSCAF que l’on part de bonne heure le matin pour une balade facile, ça se termine en arrivant trop tard pour le repas du soir.

Comme tout à une fin, nous nous sortons de cette situation imprévue après avoir prévenu nos proches d’un retard incontestable, le groupe du 90 km nous ayant attendu une heure à l’ombre du clocher de Chaponost. Nous apprenons que le groupe du 50 km s’est aussi fourvoyé dans ce trek improvisé, ce qui leur a permis d’écourter leur attente.

Contents de nous retrouver et de notre journée, nous terminons notre escapade par un verre bien mérité.

Récit de Bruno – 95 km

« C’est au col de Malval que Patrick, Michel et moi-même nous séparons du reste du groupe pour nous élancer sur le circuit du 95 km en direction de Courzieu.  Après Brussieu, le pourcentage à la montée s’accentue très fortement pour rejoindre St Laurent-de-Chamousset. C’est peu avant ce village que nous rencontrons un photographe : c’est Christophe L. qui, en voiture, est venu « piéger en photo» les Atscafiens en sortie !!! Nous passons ensuite à St Clément-les-Places et Haute-Rivoire. On emprunte une magnifique route avec une vue bien dégagée jusqu’à Meys. On descend ensuite sur la Brévenne pour rejoindre Grézieu-le-Marché par Côte-Romar où la montée s’accentue surtout dans les deux premiers kilomètres, puis c’est un long faux plat qui nous amène jusqu’à Duerne sous un beau soleil, mais avec un vent frais. A Duerne, Michel décide de nous quitter pour rentrer directement chez lui à vélo. Je suis donc Patrick qui connaît bien le secteur pour trouver LA petite route en direction de la Croix-Perrière, et là grâce à Patrick on ne se trompe pas « comme tous les autres ». On descend sur Thurins pour rejoindre Chaponost où on croise Françoise C. en train de rentrer chez elle en voiture. Puis Patrick décide de rentrer directement chez lui à vélo. Je vais donc seul au parking où sont garées nos voitures près de l’église et où Nathalie est déjà là avec les Fouillant. Fantomette arrivera environ un quart d’heure après avec le groupe des « explorateurs du 75 km » !  Au total, 95 km pour 1.700 m de dénivelé et une très belle sortie où on a bien senti la chaleur naissante du mois de mai ».

II/ VENDREDI PROCHAIN : LE 8 MAI A MONTAGNAT (01) ?

Le nazisme était terrassé il y a 64 ans. Du coup cela nous fait un jour férié que nous pouvons utiliser pour faire du vélo.

La « Lettre » n° 364 proposait une sortie à partir des Abrets, la randonnée des « Trois Lacs ».

Mais si vous préférez l’Ain à l’Isère vous pouvez aussi participer à la « Randonnée Bresse-Bugey » organisée par le club FFCT de Martignat (01).

Si c’est votre choix, le départ a lieu de 6H 30 à 10 H du complexe sportif de la Craz à Montagnat.

Tarif : 6€ mais ramené à 4€ pour les licenciés FFCT.

Les parcours sont intéressants. Nous avions été traités comme des rois en 2007 où nous avions effectué le parcours sous la pluie et nous avions obtenu la coupe du club le plus éloigné. 

Montagnat est situé à 8 km au sud-ouest de Bourg en Bresse sur la D23. Si on emprunte l’A 40 en direction de Bourg il faut sortir à l’échangeur n°7. Montagnat est à environ 6 km .

III/ DIMANCHE PROCHAIN : LE CLUB A L’OCTOCOTE

Nous avons décidé de participer à l’Octocôte qui est une randonnée cyclotouriste organisée par l’AC3F. Nous avons promis de venir en nombre ce qui est notre façon de renvoyer l’ascenseur à ce club qui nous a gracieusement prêté ses locaux pour notre journée de cyclo-mécanique.

Les organisateurs attendent 1.000 participants s’il fait beau !

En annexe vous aurez une présentation de ce rallye.

Dimanche 10 MAI 2009

A Fontaines Saint Martin : place de l’Eglise

RV à partir de 7 H30 pour un départ groupé des atscafiens à 8H 

Note pratique : La clôture intervient à 16H.

Parcours route de :

60 km (« Découverte ») avec 700 m de dénivelée ; 1 ravito et un casse-croûte.

80 km (« Prémices ») avec 1.000 m de dénivelée ; 2 ravitos et un casse-croûte.

100 km (« Octo »)  avec 1.400 m de dénivelée ; 2 ravitos et un casse-croûte.

130 km (« Super Octo »)  avec 2.000 m de dénivelée ; 3 ravitos et un casse-croûte.

Il y a aussi des circuits pédestres de 8 et 18 km avec un départ groupé à 8H.

Les VTT ne sont pas oubliés avec 3 parcours.

Tarifs : 7€ mais réduit à 5€ pour les licenciés FFCT et les marcheurs.

Renseignements : Claude Lenoble :  04 78 83 04 94 ou 06 61 44 39 27.

Courriel : lenoble.claude@neuf.fr Site :http://www.ac3f.com

IV/ ET POUR APRES ?

Ø Vous trouverez en annexe à la « Lettre » le supplément de « Guidoline » qui incite à participer à l’Octocôte de dimanche prochain et à la Randonnée des Monts de Thurins à laquelle le club vous invite dimanche 17 Mai.

Ø Le samedi 16 Mai 2009 le club FFCT des « Cyclotouristes Roannais » organise son « Prélude de l’Eté ». Ce club avait mis sur son site l’appel à participer à notre « Viron des Gones ».

Accueil à la Maison du Port 75 quai commandant l’Herminier  à Roanne (42). Départ de 13H à 15H 30.

Clôture à 18H. Circuits de 15, 25, 50 et 100 km .

Tarif : 5,50 € réduit à 3,50 € pour les licenciés FFCT.

Contact : Daniel Frasse 06 86 68 18 27. Mel : cyclotouristes-roannais@wanadoo.fr

V/  LES POTINS DU PELOTON

Marie-Christine JOLY nous a envoyé un mot : « Merci tout plein pour vos gentilles cartes reçues de Fournols. Vos petits mots tous plus sympathiques les uns que les autres me sont allés droit au cœur. C'est dommage que vous n'ayez pas eu beau temps dimanche. Ici, il a plû aussi et avec Michel on a bien pensé à vous. J'ai repris le vélo.....et oui...en kiné, je pédale un quart d'heure assise sur une chaise avec un espèce de pédalo devant moi...et oui, ne riez pas.... la kiné a peur que je tombe du vélo d'appartement.....Le pire, c'est qu'après, je suis complètement rétamée....Où est le col de l'Iseran? Sinon, Je suis toujours avec mon déambulateur mais espère passer aux béquilles bientôt...Je sens qu'il va falloir que je sois patiente mais le principal c'est de récupérer même si çà doit prendre du temps. En attendant, je ne manquerai pas au travers de la « Lettre » de partager la vie du club. « 

Evelyne LEFRANCOIS et Bernard CHAREYRON sont passés la voir dans son établissement (Beaulieu) à Morancé le 1° Mai après le défilé. Mais elle avait bénéficié d’une permission ! Un conseil : si vous passez la voir, donnez un coup de fil avant pour vous assurer de sa présence.

Ø Pierre DUMAS même s’il est maintenant un pilier du club est un garçon discret. Tellement discret que peu d’atscafiens l’ont vu à la Castellane. Conséquence, il n’est pas mentionné sur le compte-rendu rédigé par Christophe. Une version rectificative de la « Lettre » a donc été mise sur le site pour corriger cette omission dont Pierre voudra bien nous excuser.

Ø Comme il a été écrit plus haut, votre serviteur souffre  d’une double tendinite au genou. Les raisons des tendinites sont toujours les mêmes : pédaler au froid, ne pas boire assez pour évacuer les toxines qui s’accumulent dans certains muscles et tendons, surmenage, trop de km et entraînement mal conduit, position inhabituelle sur le vélo ou changement des cotes. Dans le cas présent la cause est évidente : lors du rallye de l’ASPTT Bernard a pédalé tout de « bizengoin » pour se soulager le postérieur en raison d’une blessure à la selle. Une mauvaise position passe sur 50 km mais se paye sur 200 km .

Ø Philippe DESIRE est en congé la semaine prochaine et s’est inscrit pour effectuer la Randonnée Permanente "Grimpeur des Mont du Lyonnais" mardi 5 mai.  C'est une boucle de 165 km avec 3.000 m de dénivelée positive. Bon courage à lui !

Aux dernières nouvelles Anass BEZZAZ ferait le circuit avec lui.

 

Ø Michel GIRARD pour une fois n’a pas roulé ce week end  à vélo mais a fait beaucoup d’auto et a bu des canons à tire larigot. (Vous avez vu comme la rime est riche ?). Il est excusé : on n’a pas un frère qui part à la retraite tous les jours !
Lundi notre homme sera dans le Pays Basque où il se rattrapera sur le vélo en allant rejoindre Séville et Cadix.

Ø Christophe BOURNAC vient de terminer « son » brevet de 500 km . « Son » car il se l’est concocté lui même. Voilà son compte-rendu fort modeste pour un réel exploit.

« Sincèrement, j'ai rarement souffert comme cela à vélo. 10 cols, 502 km , 5.635m de dénivelé, du vent à décourager les cyclos, une nuit avec un dodo dehors dans la rue à Hauterives, une matinée très compliquée (18 de moyenne pour 130 km et uniquement 1.140 m de dénivelé), bref je suis content d'être allé au bout de moi-même. Le périple s'est bouclé en 31h 44’ pour moi et 2 heures de moins pour Benny. Le délai maximum que nous avions fixé était de type BRM soit 33h30...Bref, il faudra que je revois le dénivelé du 700 km sinon je vais être à la rue... ».

Bravo !

Ø Le 1° Mai Philippe DESIRE, avec ses enfants Mattias et Nils ainsi que sa belle-mère norvégienne, a participé à la randonnée "les Tailleurs de pierres" à Montalieu-Vercieu. Le petit circuit faisait 31km au lieu des 25 annoncés. Mattias a battu son record de distance d’autant qu’il y avait de la dénivelée. Au bilan une nouvelle coupe pour la famille et de belles médailles pour les enfants.

Ø Toujours le 1° Mai une autre équipe d’atscafiens est allé se payer le Grand Colombier, une des ascensions les plus difficiles de France. Il s’agit de Raymond CHATENAY, Christophe LABAUNE, Bruno et Magali MAILLOL. Nos amis sont partis de Culoz. Ils sont d’abord allés au Col du Ballon, puis au Col de la Lèbe et enfin ont vaincu le Col du Grand Colombier où il restait de la neige.

Extraits du récit de Magali figurant sur son blogue : http://fantomette-a-velo.over-blog.fr/article-30973891.html :

« La montée n’est pas facile car il y a plusieurs passages très raides, jusqu'à 14 %, heureusement suivis de replats. Grand soleil le matin et progressivement couvert l’après-midi. A la cime du Grand Colombier et dans les descentes, l’air était glacial. La descente sur Culoz à la fin est très raide et la vue sur la vallée est absolument spectaculaire. Parcours à refaire par temps un peu plus chaud, c’est un coin très joli et calme, avec des paysages très verdoyants et des troupeaux de vaches/moutons. Au total, 90 km pour environ 2.600 m de dénivelé. Je n'avais jamais fait autant de dénivelé sur si peu de km ... ». Félicitations à ceux à qui plus rien ne peut désormais faire peur !

Ø Yann BRIZAIS n’a pas été en reste le 1° Mai. Il est allé faire la « Valexnico » soit 140 km et 2.800 m de dénivelée avec 15 cols dans le nord du département.

VI/  LE COIN VELOCIO

Ø Vous trouverez en pièce jointe la suite n°3 du récit de Michel GIRARD concernant sa diagonale Menton-Bari.

Cyclo-Technie

Ø Choix de la potence

La longueur de la potence varie de 70 à 120 mm . A chacun de choisir sa longueur de potence en fonction de son confort. Par exemple on choisira une potence courte si l’on souhaite être droit sur son vélo.

On peut vérifier la bonne longueur de la potence de la manière suivante : positionner le coude contre le bec de selle. En tendant l’avant bras vers le guidon le majeur doit affleurer le cintre.

On préconise en moyenne les longueurs de potence suivantes ( en fonction de la hauteur de cadre) :

Hauteur du cadre

Longueur de potence

51 à 53 cm

7 à 8 cm

53 à 55 cm

8 à 9 cm

55 à 57 cm

9 à 10 cm

57 et plus

10 à 12 cm

Ø Longueur des manivelles. Pour assurer un réglage optimum de votre position vous devez choisir des manivelles dont la longueur sera adaptée à votre morphologie. La longueur est la distance existant entre l’axe de la pédale et l’axe du pédalier. La longueur des manivelles doit être égale à 1/5 de l'entrejambe.

VII/  LA VIE DU CLUB

Ø Certains de nos amis de l’ATSCAF sont partis cette semaine en Italie au séjour cyclotouriste organisé par le CODEP. Si vous avez besoin de les joindre voilà les coordonnées de leur hébergement.

Hôtel Admiral : Viale San Marino, 1348015 Pinarella di Cervia (RA). Tel. 05.44.98.73.75. Télécopie : 05.44.98.05.51. C’est là où ils prendront leurs repas.

Vous pouvez aller voir les hôtels des frères Pomponio ainsi que quelques parcours cyclos sur leur site :

http://www.starsgroup.it/

Ø Le club est parvenu a bouclé dans les délais son dossier de subvention 2009 pour le CNDS. Jean-Jacques PECH est allé porté lui-même ces documents à Jeunesse et Sports et au CDOS (Comité Départemental Olympique et sportif) le 30 avril. Il n’y a plus qu’à attendre le verdict.

Ø Une rencontre a eu lieu avec l’ASCUL pour finaliser le bilan financier du Viron des Gones. Magnifique, nous avons fait un bénéfice de 71 € !

Les remboursements des dépenses automobiles demandées ont commencé à être effectués.

▼▼ Souvenir de la sortie de samedi d’un club cyclotouriste ROUTIER !!! ▼▼

Bernard CHAREYRON