atscaf cyclo 69 . Club FFCT n° 07061

 

LA LETTRE n° 365

Lyon, le 26 Avril 2009

LES ROUGES AU VERT

I/ LE WEEK END FAMILIAL DU CLUB A FOURNOLS (63)

Ø Chrystel BERTRAND, Yvette BLAISE et Rodolphe MALESKI,  Florian CABAJ, Cathy et Daniel CASTEAU, Viviane et Jean-Pierre CHECCACCI, leur fille Géraldine, son mari Eric et leurs enfants Loïc et Pauline, Françoise CHENAIS, Gisèle CRETINON, Yves DUBOST, sa femme KAREN et leur petite fille Marion, Françoise et Pierre FOUILLANT, Evelyne LEFRANCOIS et Bernard CHAREYRON, Gerry MARKS, Gérard MARTIN, Monique et Jean-Jacques PECH, Philippe ROURE, Martine SILBERSTEIN, son mari Roland et leur fils Antoine soit 29 atscafiens ou apparentés se sont retrouvés à Fournols vendredi soir au centre Azuréva. Les maillots rouges se sont donc mis au vert.

Le terme de week end familial convient bien puisqu’il y a 4 enfants, que les couples sont bien représentés et que le programme permet à deux nouvelles féminines, Gisèle et Gerry (prénom hollandais, prononcer Réri),  de découvrir le cyclotourisme et pourquoi pas de rejoindre le club quand elles l’auront décidé.

Ø Vendredi matin Florian, Yves et votre serviteur prennent le train à la Part-Dieu et rejoignent Saint Etienne. Là ils descendent le vélo du TER et se lancent sur le magnifique circuit tracé par Florian pour atteindre Fournols en traversant le Forez. Ils ont une chance formidable car le temps, quoique frais, est splendide. Bernard attrapera même des coups de soleil sur les jambes. C’est dire ! Notre trio traverse la Loire à Unieux, escalade le Forez et va faire pointer un BPF à Saint Bonnet le Château. Sur la place du village grouillante de vie nos amis font une longue pause au café en se ravitaillant. Yves fait le tour du marché. Ils prennent même le temps de visiter l’église et son site admirable : de la terrasse on voit le Pilat, les Monts du Lyonnais et les Alpes. Puis le circuit passe par Estivareilles où aboutit un chemin de fer touristique. Le col inattendu de Pichillon (FR 42-0951) les attend à la sortie de la commune. Après Usson en Forez ils passent dans le Puy de Dôme vers Vivarols dominé par un majestueux château médiéval ruiné. Ils empruntent maintenant une route absolument calme et pour cause : elle est fermée à la circulation en raison de travaux. Ils montent ainsi au col des Dansadous (FR 63-1089). Une superbe descente, déserte, les entraîne dans la vallée de la Dore. Une nouvelle halte s’impose en bas, à Marsac, où ils font un peu de tourisme autour de la chapelle des pénitents blancs. La sympathique patronne du bistrot où ils se désaltèrent avant d’attaquer la côte finale est bien conforme à une certaine idée de la France profonde.

Avec une certaine appréhension ils attaquent maintenant la montée qui les hissera sur le dos du Livradois. Ils avancent d’autant plus doucement que Yves est sujet à des crampes et que votre serviteur souffre du genou en raison probablement d’une tendinite. Mais Florian est d’une grande patience  à l’égard des éclopés et ils arrivent tous ensemble à Fournols sur le très beau site du centre de vacances Azuréva en même temps que les copains arrivant en voiture.

Ils auront accompli finalement un trajet de 105 km et de 2.000 m de dénivelée.

Ø Une fois réunis et après avoir pris possession des confortables petits pavillons mis à leur disposition  les 29 atscafiens se rendent au réfectoire. Un apéritif de bienvenue, le bougnat (mûre et vin rouge)  leur est offert par le Centre. Florian est même baptisé au bougnat puisqu’une serveuse lui renverse généreusement sur la veste le contenu de son plateau.

Nous passons à table. Le repas permet de faire connaissance avec les deux nouvelles qui ont découvert notre initiative grâce aux messages envoyés par l’ATSCAF Rhône. Nous sommes ravis de leur présenter nos activités.  Nous sommes également heureux de voir que des fidèles, comme la famille de Jean-Pierre, sont revenus après le WE familial de l‘an passé. Les Casteau sont bien sûr ceux qui viennent de plus loin. La présence de jeunes comme Marion (15 ans) ou Loïc  qui ont l’intention de pédaler est fort positive.

Nous signons tous une carte amicale qui est envoyée à Marie-Christine JOLY qui commence sa convalescence dans le centre Beaulieu de Morancé.

Nous avons donc une pensée pour elle et en profitons pour remercier Michel RODRGUEZ de nous avoir choisi un lieu tel que Fournols.

Après le repas le programme du WE est fixé avec le rappel de la philosophie de ces 2 jours.

Samedi matin après une bonne nuit due sans doute à l’altitude nous poussons les volets et constatons un temps frais et gris. Mais il ne pleut pas. Cela nous suffit.

Le petit déjeuner est copieux. Pour tous les repas c’est la formule en libre service. Certains plébiscitent cette organisation en multipliant les allers retours entre leur table et le buffet.

Une fois lestés les atscafiens se divisent en trois groupes.

Ø Bernard encadre les débutants. Il pédale avec Yvette, Loïc et Géraldine qui transporte Pauline sur le siège vélo. Le trajet sélectionné ne fait que 17 km mais il est impossible dans cette contrée de trouver un mètre de plat. Cependant la petite troupe est vaillante et ne se plaint pas. Yvette apprend a maîtriser son nouveau vélo et les changements de vitesse. Loïc se perfectionne lui aussi dans l’art de jouer des pignons et des plateaux. Il aime le vélo c’est manifeste ! Géraldine fait preuve d’un grand courage avec Pauline qui, de son siège, fait ce qu’elle peut pour soulager sa mère en la poussant ! Bien sûr il y a des côtes qu’il faut passer à pied en particulier vers un moulin. Une séquence pédestre est aussi nécessaire sur un chemin pierreux (et pentu) menant aux étangs de la Colombière. Mais la beauté des paysages, des forêts, des prairies humides font oublier les efforts. Et à l’arrivée les mines sont ravies.

Ø Le groupe des touristes part lui sur un circuit de 30 km sous la houlette de Chrystel et d’Yves. Ils entraînent dans leur sillage Eric, Françoise F, Gisèle et Gerry, Marion, Pierre et Rodolphe. Certes 30 km cela parait modeste mais la dénivelée est sensible. Elle l’est encore plus pour Marion dont les freins sont mal réglés et frottent sur la jante. Voilà un handicap permettant à celle qui grimpe la Côtière une fois par jour à vélo de ne pas aller plus vite que les autres.

Là encore les routes choisies sont extrêmement calmes. La verdure est omniprésente et sa contemplation apaise instantanément.

Ø Les randonneurs partent sous la conduite de Florian et Jean-Jacques. Sont de la partie Daniel, Evelyne, Françoise C, Gérard, Jean-Pierre, Martine, Monique et Philippe. Le trajet d’une soixantaine de kilomètres exige d’abord de s’élever à Saint Eloy la Glacière On devine le temps qu’il y fait en hiver ! Puis c’est une longue descente paisible d’une vingtaine de km le long du Lastroux jusqu’à Sauxillanges. Les cyclos adorent la verdure, les forêts profondes, le chant des oiseaux, les prés tapissés de jonquilles, l’eau qui coule de partout. Les meilleures choses ayant une fin, il faut maintenant remonter sur une autre vingtaine de km en direction de Saint Germain l’Herm. Le groupe pense que Martine est partie devant ou a raté le chemin du retour. Florian s’élance à sa recherche. Mais là voilà qui arrive de l’arrière ! Cette dernière s’étant isolée pour un arrêt technique le groupe l’a dépassée sans s’en apercevoir. Heureusement qu’il y a des arrêts pour permettre le regroupement des cyclos.

20 km de montée cela parait fort long. Heureusement là encore la route est bordée d’un liseré vert sur la carte Michelin. Vu la vitesse en côte les participants ont le temps d’admirer la nature. Un arrêt a lieu à mi-pente pour souffler et se retrouver. C’est reparti. Surprise, il y a un col juste avant Saint Germain l’Herm. C’est le col de la Dételée (FR 63-1075) qu’Evelyne est très fière d’avoir désormais à son actif alors que son homme ne le possède pas. Il faut maintenant rentrer en empruntant une toute petite route sauvage. Si petite que personne ne croit qu’il faut s’y aventurer sauf Evelyne. Finalement le groupe l’emprunte après un petit détour et arrive, tout mouillé de chaud, au centre alors que les collègues ont déjà attaqué le repas.

Les conversations vont alors  bon train car chaque groupe explique ce qu’il a accompli le matin. Vous noterez au passage que certains n’ont pas roulé mais ont profité de toutes les activités du centre : piscine avec bain à remous, bibliothèque, peinture, balade en forêt sous la conduite d’un guide sur le thème « hêtre ou ne pas hêtre » etc etc.

Ø Le programme de l’après midi est là aussi très divers. Certains vont visiter le village, faire des emplettes chez un artisan travaillant le cuir, se promener, peindre, nager, se reposer etc etc.

Mais des cyclos veulent sortir de nouveau pour profiter de cette belle région.

Ainsi Yves, Gerry et Gisèle partent de nouveau pour un petit circuit touristique.

Bernard, Evelyne, Françoise C, Gérard, Monique veulent conquérir quelques cols sur un circuit de seulement 30 km mais bien cabossé ( 600 m de dénivelée). Ils passent successivement le col de Balance (FR 63-1040) dès la sortie de Fournols, le col des Fourches (FR 63-0972) atteint sans donner un coup de pédale. Après la longue descente de Saint Amant Roche Savine il faut remonter au col de Toutée (FR63-0996). De nouveau une descente très bien tracée puis c’est alors une toute petite route assez pentue traversant les bois qui les ramène à Saint Eloy la Glacière et Fournols.

Florian et Jean-Jacques, les véloces, partent pour un grand circuit. A partir du col des Fourches ils descendent à Bertignat. Mais la pluie menaçante les contraint à faire demi-tour. Tant pis pour le Cirque de Valcivières ! Ils remontent donc à La Chapelle Agnon, Cunlhat et rentrent par la même route que le groupe précédent.

Le buffet du soir est consacré à la gastronomie auvergnate à laquelle nous faisons honneur car le grand air, c’est bien connu, ça creuse. C’est aussi le moment choisi pour remettre les récompenses symboliques (maillots et stylos) aux jeunes ayant participé au WE familial.

Ø Le dimanche au réveil nous constatons que les prévisions météo sont, hélas, parfaitement justes. Il pleut. Il ne fait pas très chaud non plus. La brume s’installe progressivement. Tant pis nous ne sommes pas des tord-la-gôgne (1), nous allons faire avec. Il y a d’ailleurs un plan B.

Au petit déjeuner nous adoptons le programme concocté par Yves : visite des bourgs de Cunlhat et d’Olliergues. Nous nous regroupons dans les voitures et nous partons en expédition. La pluie est de plus en plus forte. Arrivés à Cunlhat, le musée du Son que nous voulons visiter est fermé. Qu’à cela ne tienne nous allons voir le village. Il est certes intéressant mais une fois l’église, où l’on est à l’abri, visitée,  le reste du bourg est assez désert et moyennement passionnant. Il est vrai que visiter un village avec les parapluies ou les capuches et sous la pluie n’est pas enthousiasmant. Heureusement un café très pittoresque est ouvert. Nous nous y entassons autour des tables recouvertes de toile cirée en attendant le retour de Gérard qui est parti faire une balade au pas de gymnastique sous la pluie. Quand il revient plus personne n’a envie de parcourir des km pour visiter Olliergues sous la pluie. Seuls Françoise, Pierre, Rodolphe, et Yvette n’ayant pas vu le mouvement de repli vers le cani sont partis à Olliergues qu’ils n’ont d’ailleurs pas trouvé faute de carte routière. Inutile de préciser qu’ils n’étaient pas très heureux de l’aventure et l’ont fait savoir.

Le repas de midi se prend encore une fois au centre puis ce sont les séparations. On échange les impressions positives malgré la météo du dimanche. On enregistre aussi les coordonnées de nos nouvelles amies.

Un petit groupe composé de Bernard, Chrystel, Evelyne, Florian, les deux Françoise, Gérard, Philippe et Yves décide de continuer le WE en allant visiter le moulin à papier de Richard de Bas à Ambert.

Ils ne regrettent pas cette visite qui est passionnante et permet de voir les différentes phases de la fabrication du papier selon les procédés traditionnels. Au passage la guide explique que le patron de la papeterie à la fin du XVIII° s’est fait assassiner au passage d’un col depuis nommé « Col de l’Homme Mort ». A ce moment du discours tous les cyclos présents dans la salle et ayant franchi un jour ce col ont poussé un grand Ah de satisfaction de connaître enfin  l’origine de ce nom étrange.

Et c’est sous des trombes d’eau que le week end familial 2009 s’achève. 

La version 2010 ne pourra qu’être plus ensoleillée.

Différents lieux ont été débattus. Le Comité Directeur sera chargé d’examiner concrètement les 6 options présentées par les participants de cette édition 2009.

Le glossaire lyonnais-français

 (1)   Tord-la-gôgne. N.m  : Pisse-froid, faiseur de grimaces.

II/ LA SORTIE DU CLUB DIMANCHE DERNIER A LA CASTELLANE

Le récit suivant est de Christophe LABAUNE.

« LES ATSCAFIENS JOUENT AUX ESCARGOTS !

Ou pourquoi faut-il toujours qu’il pleuve quand on fait du vélo ?

Ce dimanche 26 avril, Neuf z’atscafiens intrépides ont décidé de braver les intempéries en participant à « La Castellane ». Si ce nom a un peu  de l’accent du midi, il aura ce week- end oublié un ou deux rayons de soleil. Dommage, car ce rallye parfaitement organisé par l’AS CALUIRE nous emmenait par de bien jolies routes des Dombes et du Bas Beaujolais.

Raymond CHATENAY, Philippe DESIRE, Michel GIRARD, Christophe LABAUNE, Magali et Bruno MAILLOL, Daniel ROTHWILLER et Jean-Luc TRUCHEMOTTE et Pierre DUMAS que l'on a pas vu d'ailleurs ,s’élancent donc à huit heures pour le grand parcours ( 120 km )… sauf s’il se met à pleuvoir.

Michel Girard est venu avec un copain, et comme ils avaient l’intention de faire le 80 km , ils décident de ne pas rouler avec nous et partent devant. Bien sûr nous ne les rejoindrons pas.

La première partie du parcours ne présente pas de difficulté. Nous quittons Caluire direction Nord –Est et traversons Sathonay, Rillieux, un petit crochet en direction de Vancia puis Cailloux sur Fontaines. Nous sommes sortis de l’agglomération, nous traversons maintenant les champs de colza en fleur, c’est le printemps.

C’est bien la Dombes par les petites routes, surtout quand il n’y a pas de vent. L’allure est bonne et nous profitons du paysage, étangs fréquentés par tout un tas de bestioles à plumes, jolies fermes fleuries…en plus il n’y a presque pas de voitures, tout va bien. Un doux crachin nous accompagne dorénavant et nous rappelle nos vacances en Bretagne.

Nous voilà à Saint André de Corcy. La route maintenant, c’est tout droit jusqu’à Trévoux. Nous roulons toujours groupés, dépassés seulement par un groupe d’avions montés sur vélos en carbone profilé. Nous pourrons les admirer au premier ravitaillement non loin de Reyrieux. Ils ont faim et nous aussi. Il fallait être courageux pour tenir le ravitaillement sous la pluie. Nous apprenons qu’il y a environ 200 inscrits  qui ont décidé comme nous de pédaler sous la pluie. Quand on pense que certains sont allés au soleil en Auvergne pour le week-end familial…

Là, Jean-Luc, qui nous semblait tout à fait inoxydable, nous annonce qu’il a l’intention de faire le 60 km tout seul. Stupeur dans le groupe !! N’aimerait-il pas, comme nous autres, faire du vélo sous la pluie ? C’est son droit. Nous partons chacun de notre côté, pas fâchés pour autant.

Nous passons par Trévoux puis à côté du superbe château de Saint Bernard qui domine la Saône, traversons sur un pont métallique et nous retrouvons dans le Beaujolais où dorénavant le relief ne sera plus aussi plat. D’ailleurs Bruno se doute de quelque chose. Ah oui, c’est la côte de Pommiers, il a l’air de connaître. Simple formalité pour Bruno que vous connaissez surtout de dos car il est toujours devant, il me semble.

Les maisons en pierres dorées sont superbes en cette saison avec leurs glycines et leurs clématites en fleurs. Dommage que le temps ne soit pas de la partie : il pleut plus fort maintenant et le brouillard n’est pas loin qui nous empêche d’apprécier cette route de crête. Tiens, un ravitaillement à l’abri d’un balcon. Petite pause de quelques minutes car nous avons vite fait de nous refroidir. Quelques cyclos de l’ASCUL nous ont rejoints. Nous aurons le même rythme jusqu’à l’arrivée.

Maintenant nous descendons vers Charnay puis Chazay d’Azergues. Pas de regret pour le 120 km , il pleut trop. Comme le fléchage est peint sur la route, dès que le temps le permet, on peut le refaire.

Après avoir traversé l’autoroute, nous empruntons l’ « ancienne route de Paris » pour rejoindre Limonest et les Monts d’Or. Ca grimpe, c’est toujours agréable sur une fin de parcours…Il faut faire très attention car la circulation est dense et les rues très étroites. Quelques montagnes russes et nous retraversons la Saône sur le pont de l’Ile Barbe. Dernière difficulté du jour : la montée de la Castellane, fermée pour l’occasion à la circulation. Devinez qui est loin devant ?  Plus un poil de sec, nous arrivons au stade de la Terre des Lièvres où l’on nous demande une nouvelle fois si nous avons fait le 120 km . Non merci, 80 km , c’était très bien comme ça.

Nous tirons au sort quelques accessoires indispensables à la pratique de notre sport favori  et nous donnons rendez vous pour un autre moment de d’intense plaisir cyclotouriste genre montée de la mort qui tue ou des centaines de km non stop sans jamais descendre de vélo. Youpi ! »

Christophe LABAUNE

III/ SAMEDI PROCHAIN AVEC LE CLUB

Un certain nombre d’atscafiens participeront au séjour cyclotouriste du CODEP en Italie. Il s’agit de Christiane AUGAY, Yann BRIZAIS, Daniel CASTEAU, Andrée DECLERIEUX , Florian CABAJ, Jean-Jacques PECH et Alain SAVEY. Nous leur souhaitons de belles balades cyclos sous d’autres cieux.

Mais nous maintenons bien évidemment notre sortie hebdomadaire.

Attention, les horaires sont, comme chaque année, avancés au mois de mai pour profiter pleinement des grandes journées.

Samedi 2 MAI  2009

A CHAPONOST, place de l’église

RV à 7H 45 pour un départ à 8H 

Note pratique : Nous nous garons sur le parc de stationnement situé au chevet de l’église de ce bourg.

IV/ ET AUTREMENT ?

Ø Le vendredi 1° Mai a lieu la Randonnée du Petit Bugey organisée par le club FFCT « les Cyclotouristes Yennois ».  Les circuits traversent une magnifique région.

Accueil de 7H 30 à 10H : salle polyvalente de Yenne (73). Clôture : 16 H.

Circuits route de 30, 50, 75 et 100 km .

Circuits VTT de 15, 30 et 50 km .

Contact : Charles Perrin Tél : 04 79 36 74 61.

NOTA : Exceptionnellement, en raison du WE familial, le rédacteur n’a pas eu le temps nécessaire  pour rédiger les rubriques « les Potins du Peloton », « le Coin Vélocio » et « la Vie du club ».

Vous les retrouverez la semaine prochaine.

Bernard CHAREYRON