atscaf cyclo 69 . Club FFCT n° 07061

 

LA LETTRE n° 364

Lyon, le 19 Avril 2009

CYCLOS ECLATES !

 

I/ LA SORTIE DU CLUB SAMEDI DERNIER

Ø Le récit émane d’Evelyne LEFRANCOIS.

« 8 Atscafiens, pour qui il n’était pas écrit la Poste , se sont retrouvés à Septême : Françoise et Pierrot FOUILLANT, Françoise CHENAIS, Michel FEYX, Philippe ROURE, Martine SILBERSTEIN, Rodolphe MALESKI et Evelyne LEFRANCOIS.  La parité est respectée.

Nous nous garons comme prévu devant la mairie et l’abside de l’église. Philippe et Françoise font remarquer que la dernière fois le maire nous avait « gentiment » demandé de nous garer ailleurs afin de laisser les places disponibles pour la population locale. Nous  nous  déplaçons donc devant la salle des fêtes. Au moment de partir nous voyons arriver Rodolphe. En retard ? Que nenni, il était bien à l’heure, mais garé devant le porche de l’église soit de l’autre côté. S’impatientant il fait un tour et nous aperçoit  prêts à partir. En rogne Rodolphe !! Pendant qu’il se prépare nous examinons les  parcours qui  nous laissent perplexes : ils se séparent dès le départ. De plus les 80, 90 et 100 démarrent immédiatement, sans aucun échauffement, par la côte menant à Moidieu-Détourbe ! D’un commun accord nous décidons de respecter la règle du club : on part donc tous sur le circuit du 55 afin de rouler ensemble au début. Il fait frais, mais le soleil n’est pas loin. Le circuit est agréable, Rodolphe  retrouve sa légendaire bonne humeur.

Les affaires vont se corser à partir d’Estrablin où nous attaquons une première montée. Cela réchauffe !  Peu après, Françoise, Pierrot et Rodolphe nous quittent pour faire le 55.

Le circuit continue à être très vallonné. Mais le pompon se trouve vers la Chapelle de Surieu où la pente avoisine  20% ( vérification faite).

La route est étroite et une voiture montante serre un peu trop Françoise C qui  dérape sur la boue du bas côté et chute ! Plus de peur que de mal ! Mais le peloton qui s’est arrêté ne peut plus redémarrer et est obligé de faire une 30aine de mètres à pied pour retrouver un « semblant de plat » dans un virage et pour pouvoir remonter sur le vélo.

A ce sujet, tous les participants ont  la même suggestion à faire aux concepteurs (trices) présents et futurs des trajets : C’est bien de tracer de jolis circuits sur de jolies petites routes qui semblent bien calmes à partir d’une carte Michelin ou d’Openrunner, mais ce serait mieux de les vérifier à l’aide d’une carte au 25 millième ! Cela éviterait de placer des « murs » à répétition ce qui n’a guère d’intérêt. On peut faire de la dénivelée sans se casser les pattes !

Nous pensons bien que le concepteur du jour – (Ouf ! pour une fois ce n’est pas moi ! pense Bernard)-, ne l’a pas fait exprès, sinon cela serait du vice, mais nous ne pouvons pas nous empêcher de le vouer aux gémonies d’autant plus que la suite du parcours nous réservera encore quelques surprises de ce type.

Arrivés à la Chapelle de Surieu, Michel et Martine décident de faire le 82 et nous quittent.

Françoise et moi convainquons Philippe de rester avec nous pour faire le 100. Nous voilà donc repartis en direction de Sonnay par de nouveau un joli petit mur ! Ensuite le circuit que chacun trouvait quand même agréable devient un peu plus monotone. Le vent vient de face et Philippe se place devant pour protéger « ses » femmes. Un nouveau mur ( !) pour atteindre Revel-Tourdan et arrêt à Faramans pour manger un morceau. Nous avions trouvé un banc devant une pharmacie dans une petite cour pour nous restaurer, mais nous avons failli ne plus repartir car c’était l’heure de la fermeture et la pharmacienne fermait le portail d’accès. Heureusement en entendant nos cris, elle a bien voulu attendre que nous soyons sortis pour fermer complètement. Ouf !

Un détour par Balbins histoire  d’ajouter le col des Crozes à notre palmarès et nous amorçons notre remontée vers le nord par la belle traversée de la forêt de Bonnevaux  qui fait croire à Philippe que le col annoncé se trouvait sur cette route. Ensuite direction Beauvoir de Marc et Charantonay. Là les choses se compliquent  car les routes pressenties par le créateur du circuit ne se retrouvent pas sur la carte en notre possession. Après un dernier « coup de cul » qui nous amène à l’église nous nous lançons au jugé dans un entrelacs de petites routes bien agréables. De nouveau le sens de l’orientation de Françoise (qui a déjà sauvé plusieurs fois ses compagnons de mes erreurs de jugement ) fait merveille et nous retrouvons la route de l’Etang des Grenouilles là où on devait la retrouver. Philippe décide de rentrer directement et de nous attendre à St Georges d’Espéranche. Seules nous nous  lançons donc dans la dernière boucle du circuit avec toutefois moins de bonheur qu’auparavant car nous ne  découvrons pas les routes indiquées. Nous retrouverons quand même notre  chemin et atteindrons St Georges après une dernière côte courte mais bien pentue. Sachant qu’à Septème il n’y a aucun bistrot le trio reconstitué s’attable donc à St Georges devant une boisson bien méritée. Un coup de fil à nos « postiers » nous apprend qu’ils sont à Meyssiès donc pas très loin de nous. Le retour à Septème est un vrai bonheur puisqu’il n’y a pratiquement pas un coup de pédale à donner. A l’arrivée le compteur affiche 115 km !

Françoise et Evelyne décident alors d’aller à la rencontre des copains et s’engagent donc dans la côte de Moidieu qu’elles avaient boudée au départ. Au sommet elles attendent une dizaine de minutes en papotant avant de voir arriver Bernard, Magali, Daniel et Florian. Ils n’ont pas l’air d’être trop fatigués même si  Florian est tout pâle. Ils repartent ensemble jusqu’à Septème où Philippe attend pour un bref salut.

Au final  un joli parcours de 123 km et  environ 1.500 m de dénivelée.

Ø  Martine SILBERSTEIN nous a aussi envoyé ses impressions de cette balade :

« Michel et moi avons finalement fait 90 km . Un peu de vent, raisonnable. Nous avons rebroussé chemin 2 fois, mais sans faire trop de km en plus. Très très beau parcours, sauf de Moissieu à Pommier car la route était droite, monotone, avec du vent de face. Avons failli nous arrêter à un ravito... de cyclo. Mais ceux qui écrivent les parcours pourraient les reconnaître : quelques petites côtes bien méchantes. Bon, allez, sans rancune, beau parcours quand même. »

II/ LE CLUB A LA RANDONNEE PRINTANIERE EN BAS DAUPHINE

Ø Anass BEZZAZ, Yann BRIZAIS, Florian CABAJ, Raymond CHATENAY, Pierre DUMAS, Michel GIRARD, Magali MAILLOL, Monique et Jean-Jacques PECH, Daniel ROTHWILLER, Alain SAVEY, Thierry et Guillaume VALOT et votre serviteur se sont retrouvés aux aurores à Bron, dans les locaux de l’ASPTT. Anass, Pierre et Thierry  étrennent leur nouvelle tenue atscaf.

Tous les atscafiens ne se voient pas car certains décident de partir à 7H précises vu les distances à parcourir.

Ainsi Anass, Florian, Michel, Alain s’élancent sur le 200 km et ont envie de le faire à bonne vitesse.

Bernard a le même objectif en terme de distance mais pas en terme de vitesse. Il convainc sans peine Daniel de troquer son inscription sur le 150 pour une inscription sur le 200. Le duo retrouve ensuite peu après le départ Magali sur la route et la persuade, là aussi sans effort, d’abandonner son projet de 150 km et de se joindre à eux.

Yann et Raymond font le 150 km mais chacun de son côté. Vous comprendrez plus loin pourquoi.

Le circuit de 100 km sera parcouru par les époux Pech et les Valot, père et fils.

Seul Pierre s’inscrira sur le 75 km .

La sortie de l’agglomération n’est pas très folichonne mais nous sommes dans la campagne dès la montée de Valencin. Le circuit est le même que les années précédentes ce qui facilite les choses car le fléchage, de papier au début, se mue rapidement en petite trace discrète de peinture bleue, cause de bien des hésitations pour les nouveaux.

Le premier ravitaillement intervient à Moidieu après la jolie petite route du Servanin. La vallée traversant la forêt de Bonnevaux vers Pont Rouge est très agréable. Avant La Côte Saint André nous passons un modeste col, celui des Crozes ( FR 38-0440) sans nous en rendre forcément  compte car il n’y a pas de pancarte. Quelques km de plat et nous voilà au ravitaillement de Thodure. C’est là que se séparent les circuits de 150 et de 200 km . Sur cette boucle supplémentaire de 50 km passant par Roybon où il faut faire tamponner sa carte de route, la dénivelée va s’accumuler. Ca monte, ça descend, ça remonte, ça redescend etc. Mais si le profil n’est jamais plat, les rampes ne sont jamais très rudes. Le passage au col de la Madeleine (FR 38-0493) se fait même en descente. En plus nous bénéficions, malgré le ciel nuageux, de beaux dégagements sur le massif de la Chartreuse et du Vercors. Nous sommes maintenant dans la Drôme ce qui fait plaisir à Magali. Mais c’est la Drôme des noyers, pas celle des oliviers. Il fait toujours frais mais nous ne regrettons pas de nous être aventurés jusque là car le Chambarans est vraiment une belle région. Miribel est le point sud de notre périple et nous revenons à Thodure en passant par le Grand Serre.

Là, Florian attend le trio des touristes depuis 1H 15. Il ne s’est toujours pas remis de sa gastro et après une première partie de trajet hyper rapide (26 km/h !) il a dû laisser ses compagnons et a la gentillesse de rentrer avec nous.

Nous nous attardons longuement au ravito où la charcuterie passe un mauvais quart d’heure ! Les bénévoles de l’ASPTT sont extrêmement sympathiques et nous discutons longuement. Il est évident que nous sommes les derniers mais peu importe nous rentrerons dans les délais.

Nous sommes bien contents de voir Françoise et Evelyne venues nous encourager au sommet de Septême.

Les bosses finales paraissent de plus en plus pentues, les douleurs diverses et variées font leur apparition, la moyenne baisse régulièrement, chacun a un coup de buis à un moment ou à un autre mais nous arrivons à 19H, tous groupés comme nous l‘avons été durant la journée.

La clôture est intervenue à 18H. Mais les gens de l’ASPTT nous font une fleur et nous ont gardé de quoi nous ravitailler sérieusement. Ils discutent longuement et chaleureusement avec nous. Devant son assiette, Florian, vraiment pas en forme, n’arrive pas à avaler quoi que ce soit.

Magali reçoit une médaille pour sa première participation à un brevet de 200 km .

Nos brevets sont validés car il suffisait d’arriver avant 20H.

Nous remercions vivement l’ASPTT de leurs attentions à notre égard et nous séparons très fiers de ce que nous avons fait : finalement 200 km et plus de 2.000 m de dénivelée ce n’est pas rien.

Cela peut d’ailleurs donner des idées à nombre d’autres copains du club. Avec un minimum de foncier parcourir de longues distances est possible en roulant régulièrement, en ne gaspillant pas ses forces...bref en « gérant ».

Nous sommes évidemment bien loin des 27 km/h de moyenne de nos véloces que nous admirons et félicitons pour leur exploit sur ce circuit bosselé. De son côté Yann a parcouru ses 150 km en 6H 42. Il est très satisfait de son parcours même s’il a roulé 90 km seul.

Ce ne sont certes pas des traîne-grolles (1) !

Ø  Le récit de Raymond C

« Bien arrivé à 7h00 du matin, mais au mauvais endroit, au SAL de Vénissieux !!!!!!!!!!

Le temps que je rejoigne Bron, j’ai du décoller vers les 7h45 sur le 150 km .

L’avantage de ces sorties organisées, c’est qu’on n’est jamais seul.

Un groupe du CT Lyonnais m’a aidé à sortir de St Priest et Mions mais à plus de 30 km/h ça me décoiffait trop.

Puis  quelques km avec le SAL et finalement les  ¾ du circuit avec 2 cyclistes du CASSC qui m’ont ramené à Bron vers les 15h00.

Excellente et sympathique balade.

J’ai croisé Martine Silberstein et Michel Feyx dans la côte de Septème mais dans le sens contraire, peut-être sur le retour de la balade du club ?

A l’ASPTT Alain qui est arrivé un peu après moi, m’a dit avoir fait le 200 km à 27km/h de moyenne. Mazette, c’est pas rien ! »

Ø Le mot d’Alain, le champion du jour.

« Pour ma part j’ai quitté le groupe peu après le départ pour essayer d’en suivre un autre qui nous dépassait. J’ai rapidement vu que toutes les jambes de mes compagnons étaient rasées ce qui souvent est un signe. Un signe que si j’essayais de suivre j’allais passer une sale journée. Mais enfin bon, de temps en temps on est aussi là pour en c..baver.

Je ne peux pas vous parler du paysage comme Bernard le fait si bien car ma tête était souvent à hauteur du guidon. La particularité du groupe c’est la régularité. Le plus dur, c’est dans les bosses, l’allure ne baisse pas du pied au sommet de la côte. Surtout que sur le plat, ça avance fort pour moi. Je suis content car j’ai pu participer aux relais et donc participer au groupe. Ce qui devait arriver arriva, j’ai lâché prise dans une bosse vers le 150ème km. J’ai donc terminé les 50 derniers km tout seul. Je suis arrivé à l’ASPTT vers 15h10.

Bilan de la journée : Je vais le faire à la Christophe  ; une petite sortie tranquille pour tourner les jambes : 201 km au compteur ; 7h27 de vélo ; 0h30 d’arrêt et une moyenne de 27.10 km/h .

A l’arrivée, on m’a fait remarquer que je n’avais pas fait tamponner sur le retour au ravito à Moidieu alors que ce n’était marqué ni sur ma carte ni sur le parcours distribué. Je ne sais pas si le brevet sera validé mais cela n’a pas d’importance.

J’ai mangé en compagnie de Raymond C qui a fait le 150 km mais en partant vers les 7h 45.

Morale : Roule à 30 km/h et massé chez toi de bonne heure tu seras.

Bonne journée hier. Bravo à Monique et à Magali. »

Ø Les impressions de Magali, l’héroïne de la journée :

« Alors là vous n'allez pas le croire : j'ai fait aujourd'hui à vélo le premier 200 km de ma vie !!!
En fait, j'étais inscrite sur le 150 et suis partie avec des filles de l'ASCUL puisque aucun Atscafien ne faisait ce parcours. A un moment, nous sommes arrivées au niveau de Daniel et Bernard et ils m'ont demandé : "Pourquoi ne fais-tu pas le 200 avec nous ?" Et je me suis dit, "Pourquoi pas finalement ?". Donc je suis restée avec eux tout le long du parcours. Nous avons rejoint Florian au ravito de Thodure sur le chemin du retour et ensuite nous avons roulé tous les 4 ensemble très groupés jusqu'à la fin. J'ai vraiment senti que j'avais fait d'immenses progrès. J’étais moi-même étonnée de la "puissance dans les cuisses" pour les reprises, les montées, rien à voir avec les mois précédents. Et si je regarde comme je roulais il y a un an, c'est super et ça fait vraiment très plaisir. En résumé, je suis ravie de cette journée qui était très agréable. Je me sens en pleine forme mais je pense que les gambettes vont être un peu douloureuse pendant 2 ou 3 jours. »

Ø Et maintenant le mot de Jean-Jacques.

« Monique a réalisé son premier 100 km depuis longtemps. Et en plus avec aller-retour maison-stade ASPTT cela a fait 114 km . Elle était contente mais un peu crevée.... Avant Moidieu Thierry et son fils nous ont rattrapés et doublés car sur le plat ils avançaient plus vite que nous. Nous avons croisé avant Meyssiès, Françoise, Pierre et Rodolphe qui faisaient le petit trajet en étant partis de Septême. Puis à Moidieu au retour nous avons vu Pierre D. qui faisait seul le 75. De ce fait il est venu avec nous jusqu'à l'arrivée. Nous étions en tout 155 pour ce rallye. L'ATSCAF était représenté par 13 de ses membres et Jonage était le plus nombreux (17). Le fils de Thierry était le plus jeune et a eu la coupe. »

Le glossaire lyonnais-français

 (1)   Traîne-grolles. N.m : Lambin.

III/ LE WEEK END PROCHAIN : LE CLUB EN AUVERGNE !

Comme chaque année le club organise un week end familial. Son but est de permettre aux cyclos et à leurs familles de passer ensemble, dans un coin touristique, deux jours de balades, de sorties adaptées à tous les niveaux. Il s’agit en particulier de donner envie de faire du vélo à ceux qui s’interrogent à ce sujet, que ça démange mais qui n’osent pas venir dans le cadre d’une sortie club.

La trésorière a déjà envoyé les consignes le 7 avril par courriel aux 29 inscrits. Vous voudrez bien vous y référer.

Nous nous donnons RV

Vendredi 24 Avril de 16H à 19H

au Centre AZUREVA de FOURNOLS d'AUVERGNE

Pour toutes vos questions :

par courriel : cyclo.atscaf69@orange.fr.  ou   evelyne.lefrancois@dgfip.finances.gouv.fr

par téléphone : SIE Lyon Sud  : 04.78.63.21.40 demander Evelyne Lefrancois.

IV/ DIMANCHE PROCHAIN

Ø La Castellane est une randonnée cyclotouriste organisée par nos amis de Caluire et Cuire. C’est dommage que le club ne puisse pas y participer en nombre car cela tombe en même temps que notre WE familial à Fournols. Il est donc conseillé à tous ceux qui n’iront pas en Auvergne de participer à ce rallye.

Le club de Caluire a en effet largement participé à notre Viron des Gones. Il faut donc lui rendre l’ascenseur.

DIMANCHE 26 AVRIL

Rendez-vous pour les atscafiens à 8H

Stade de la Terre des Lièvres, 109 Chemin de Crépieux à Caluire.

Inscriptions de 7H 30 à 9H.

Pour le circuit de 30 km : départ groupé à 9H 30.

Parcours route de 60, 80 et 120 km .

Tarif : 7€ mais réduit à 5€ pour les licenciés FFCT. 2€  pour le 30 km . Gratuit pour les moins de 16 ans.

Contact : Cycloscaluire@wanadoo.fr  Site : www.AS Caluire Cyclo.

Philippe DESIRE a d’ores et déjà fait savoir qu’il y participerait.

V/ ET POUR APRES ?

Ø Le vendredi 8 Mai est férié. Profitons-en pour pédaler. Il existe une randonnée organisée par le club FFCT des Abrets et appelée « Les Trois Lacs ».

Si vous voulez y participer l’accueil se fait aux Abrets (38), salle des fêtes, place de la Mairie de 7H à 10H. La clôture est prévue à 15h.

Parcours de 35, 60, 90 et 120 km .

Tarif : 8€ mais ramené à 6€ pour les licenciés FFCT.

Contact : 06 13 16 74 26.  Site : https://chouvion.free.fr

Ø La « Lyon Mont-Blanc » aura lieu les 6 et 7 juin 2009. Vous trouverez en pièce jointe la brochure de présentation de cette randonnée fort exigeante.

VI/  LES POTINS DU PELOTON

Ø Gérard MARTIN est parti une semaine en vacances en Hollande. Il n’est pas sûr qu’il y soit allé avec le vélo ! Espérons qu’il en profitera pour se changer les idées et se reposer.

Ø Michel GIRARD a quelques projets : outre le voyage en Espagne, il s’inscrit pour la Lyon-Mont Blanc. Il va ensuite de nouveau tenter la Vienne-Wien mais cette fois, avec le fruit de l’expérience, il sera moins lourdement chargé que l’an passé. Et cet été il partira en Islande.

Ø  A force de nous mitrailler - photographiquement parlant- lors de l’audax de Suze la Rousse Pierre DUMAS s’est laissé convaincre que l’année prochaine il pourrait être de l’aventure. Mais cette fois sur le vélo.

Ø Bernard CHAREYRON vient de s’apercevoir qu’il avait franchi 100.000 km à vélo l’an dernier. Le chiffre peut paraître impressionnant mais les comptes sont tenus depuis 1991. La moyenne annuelle n’est finalement pas extraordinaire. D’autres copains dans le club tiennent-ils ce genre de comptabilité ?

Ø Marie-Christine JOLY est sortie de l’hôpital neurologique. Elle a retrouvé l’usage de sa main, l’hématome cérébral se résorbe. Il ne lui reste plus qu’une fatigue importante et des problèmes d’équilibre. Elle est partie pour un mois dans une maison de convalescence à Morancé. Il s’agit de « Beaulieu », beau domaine devant lequel nous sommes souvent passés à vélo.

Ø Martine SILBERSTEIN cherche un stage pour sa fille. Voici le texte de Pauline :

« Je suis en première année d'école de commerce (à l'ICN à Nancy) et je recherche un stage à des fonctions plutôt commerciales et marketing. Je suis intéressée également par la communication et la RH. Ce serait plutôt pour moi un stage de découverte car je n'ai encore aucune expérience en entreprise. J'aimerais donc une mission polyvalente où je puisse avoir progressivement de l'autonomie et des responsabilités. Pour le secteur, je n'en exclus aucun. Mais je suis plus particulièrement intéressée par les services (aux entreprises, aux personnes), la culture (événementiel, tourisme, musée...), la (grande) distribution. A titre d'exemple, j'ai postulé à Kiabi pour un poste d'assistant manager des ventes, à Hachette à des fonctions commerciales, dans des agence de recrutement en B to B, pour un stage de communication à l'Institut Lumière de Lyon (cinéma/musée) ou encore dans des entreprises plus classiques (industrie). »

VII/  LE COIN VELOCIO

Ø Sans l’avoir fait exprès le concepteur du grand circuit du Viron des Gones vous a fait passer par Panissières qui a gardé la mémoire d’un monorail à vapeur tout à fait original. Ce chemin de fer reliait en 1899 Feurs à Panissières sur 17 km . Un ingénieur stéphanois le construisit sur un exemple irlandais (seule ligne au monde). Malheureusement le relief ne laissa aucune chance à cet engin. Il ne fonctionna jamais et ce fut un magistral fiasco technique, politique et financier.

Si vous voulez en savoir plus sur cette réalisation voir  le site :  http://panissieres.net/panissieres/monorail.php  


Ø Après le récit de la traversée des Pyrénées, vous avez désormais droit, en annexe de la « Lettre »  au récit du voyage à vélo de Michel GIRARD qui a joint Menton à Bari. Comme d’habitude ce récit est donné à connaître sous la forme d’un feuilleton. La « Lettre » doit vite publier cette narration avant que Michel n’ait achevé son prochain voyage en Espagne. Avec ce garçon la bicyclette n’a pas le temps de se reposer !

VIII/  LA VIE DU CLUB

Ø Le numéro prochain de Guidoline le bulletin mensuel du CODEP inclura un bref article de présentation de l’ATSCAF rédigé par votre serviteur.

Ø La « Lettre » est envoyée depuis peu à trois nouveaux  lecteurs qui ont pris contact avec le club soit lors du « Viron des Gones » soit par internet. La réception de nos infos peut aider ces personnes à mieux nous connaître et, espérons-le, à nous rejoindre.

Ø Le dossier de demande de subvention au CNDS est en train d’être rédigé. Quel pensum !

Ø Une ligne a malheureusement sauté dans la dernière « Lettre » dans le paragraphe consacré aux cyclo-montagnardes. La Cyclo-Montagnarde du Haut Bugey aura bien lieu les 6 et 7 juin 2009.

Pas de changement pour les autres dates : Vercors : 13 et 14 juin ; Vosges : 20 et 21 juin ; Pyrénées : 28 juin ; Aigoual : 25 et 26 juillet.

N’oubliez pas de vous inscrire pour ces randonnées montagnardes qui permettent de découvrir de somptueux paysages.  Et de conquérir quelques cols pour les collectionneurs.

On se sent d’ailleurs un autre homme (ou une autre femme bien sûr) la première fois que l’on accomplit une telle randonnée.

Rappelons les données du problème : chaque Cyclo-Montagnarde fait environ 200 km et pas loin de 4.000 m de dénivelée.

Chaque BCMF peut être accompli en un jour avec départ le dimanche pour les costauds (c’est l’option randonneur) ou en 2 jours (c’est l’option touriste).

Inscrivez-vous vite maintenant auprès de Florian CABAJ (florian.cabaj@orange.fr)

Bernard CHAREYRON