atscaf cyclo 69 . Club FFCT n° 07061
Lyon, le 18 Janvier 2009
LES PREMIERES COTES DE LA SAISON !
I/ LA SORTIE DU CLUB SAMEDI DERNIER
Les routes du Sud-Est lyonnais ont été arpentées par un peloton atscafien encore conséquent puisqu’il se composait de 25 éléments : Anass BEZZAZ, Christophe BOURNAC, Yann BRIZAIS, Raymond BUCHALIN, Florian CABAJ, Jean-Pierre CHECCACCI, Françoise CHENAIS, Yves DUBOST, Pierre DUMAS, Françoise et Pierre FOUILLANT, Michel GIRARD, Bruno JACQUET, Marie-Christine JOLY, Christophe LABAUNE, Evelyne LEFRANCOIS, Gérard MARTIN, Noëlle NEVOLTRIS, Monique et Jean-Jacques PECH, Michel RODRIGUEZ, Daniel ROTHWILLER, Philippe ROURE, Thierry VALOT et votre serviteur. Nous avons vu également lors du départ Bruno MAILLOL qui venait de terminer sa balade cycliste du matin. A l’arrivée nous retrouverons également au café habituel Chrystel BERTRAND et Philippe DESIRE.
Nous sommes satisfaits de trouver le soleil et une température clémente par rapport à ces derniers jours. Après les retrouvailles pour certains, la distributions des circuits, le choix des distances, « l’élection » des responsables de groupe, nous partons presque à l’heure. Nous quittons immédiatement le Parc et empruntons le boulevard de Parilly pour effectuer une savante manœuvre de contournement du carrefour « piègeux » que constitue le croisement de la piste cyclable de la route d’Heyrieux pour rejoindre l’avenue Pierre Cot. Manque de chance le boulevard est en travaux et les voitures nous serrent d’un peu près. Surtout que chacun a envie de causer avec son voisin et a du mal à se ranger en file indienne, attitude pourtant indispensable.
Nous passons devant les folichonnes façades des usines Berliet, pardon RVI, pardon Renault-Trucks. La piste cyclable est étroite pour un peloton mais personne n’accroche la bordure. La suite est connue de ceux qui participent régulièrement à nos sorties : traversée du Charréard et arrivée à Corbas par la route de Lyon. Je vous l’accorde, la route jusqu’à présent n’offre rien de particulier. Heureusement nous contournons Corbas par le chemin des Terreaux et la rue du Midi bordés par les champs. Même si les hommes de tête se trompent nous bifurquons pour rejoindre Saint Symphorien d’Ozon par la RD 148. Nous avons maintenant quitté l’agglomération. C’est tout plat. Les langues se délient et les jambes tournent sans effort. «Sinsin» est traversé sans encombres en coupant à travers le quartier de la piscine. Mais voilà la première côte de la balade ! Elle permet de rallier Simandres. Elle n’est pas longue mais abrupte. En début d’année nous la trouvons difficile. Gérard se souvient qu’il s’était amusé il y a quelques années à la monter sur la plaque. Nous la passons et redescendons pour nous attendre sur la place déserte de Simandres. On ne voit passer que des cyclos. Tous les habitants, comme le fait remarquer Yves, ont dû partir à la pêche aux grenouilles. Nous sommes d’ailleurs devant un établissement dont ces batraciens ont fait la réputation et que votre serviteur vous conseille. Les véloces (Anass, Bruno, Daniel, Florian, Michel, Thierry, Yann) sont restés au sommet de la côte où Daniel a décidé d’effectuer là sa crevaison hebdomadaire. Les autres repartent pensant que les véloces auront tôt fait de les rattraper. Mais ce calcul ne se réalise pas. En effet alors que les randonneurs bifurquent sur de petits chemins campagnards les véloces filent tout droit. Nous ne les reverrons plus. Dès la sortie du village Marie-Christine crève à son tour. L’arrêt collectif dure un bon moment car la chose est malaisée à régler. Marie est équipée en roues de 650. Elle a bien des chambres neuves. Mais ces chambres sont équipées de valves courtes alors que les jantes des roues sont hautes. Du coup impossible de regonfler ! Finalement Pierre D arrive à trouver l’origine du trou et il est alors possible de coller une rustine. Voilà de quoi méditer, amis lecteurs, sur le matériel à emporter lors de vos sorties. Pendant cet arrêt Evelyne, les 2 Françoise, Monique et Noëlle prennent la poudre d’escampette. Elles ne seront rejointes que vers les Pins, et encore auront-elles attendu longtemps au sommet de la seconde côte du parcours.
La petite troupe repart sur des routes que même Yves ne connaissait pas. Pas de pancarte mais si vous voulez suivre sur la carte IGN au 1/25.000° passez Les Gordes puis la Grange Basse. Nous traversons la RN 7 et atteignons Communay par une route tranquille. Evidemment il vaut mieux que celui qui a tracé le circuit soit en tête pour guider son monde dans ce village. C’est la rançon des routes tranquilles que de pouvoir se perdre facilement. Et nous voici au pied de la seconde côte que Bernard agite comme un épouvantail depuis le début de la balade. Ca monte effectivement fort au début. Puis les choses se tassent mais cela dure bien 2 ou 3 kilomètres. Les filles passées en tête n’auront jamais mis pied à terre. Bravo, elles sont prêtes pour le Cormet de Roselend ! C’est à cet endroit que Christophe qui est parti de chez lui au moment où nous nous élancions de Parilly nous rejoint. On dirait qu’il roule sur du plat. Nous sommes heureux de le voir après des mois d’absence. Jean-Pierre disparaît aussi du groupe. Nous apprendrons qu’il a préféré couper pour rejoindre sa damotte (1) au plus tôt. Au sommet la vue domine la plaine d’Illins et les dépôts pétroliers. La météo est en train de virer. Le ciel s’obscurcit et un léger vent du sud se lève. Il nous apportera la pluie dimanche. En aval des Pins, au carrefour avec la RN7, la jonction se fait entre les différents groupes de randonneurs. A ce moment nous indiquons à Christophe, vu son niveau, le circuit des véloces pour qu’il les rattrape. C’est ce qu’il fera sans problème. Nous repartons. Les routes sont cabossées mais cette fois en descente. Boussole, Tiers, Les Martinières, Le Boiron puis Tourmente sont les principales agglomérations que nous traversons. Heureusement qu’il n’y a plus de verglas car une pente est sérieuse. Le portable de Bernard sonne pour la 8° fois du parcours. Cette fois c’est pour apprendre que Marie-Christine a de nouveau crevé. Elle est en compagnie de Pierre F et de Michel R. Impossible de réparer maintenant car la valve est arrachée. Les deux hommes s’en sortent en mettant une chambre de 700 dans la roue de 650 tout en faisant un pli. Ouf, cela tiendra jusqu’à l’arrivée ! C’est bon à savoir. Lors du stage de cyclo-mécanique il avait été également dit dans le même ordre d’idée qu’on pouvait faire un nœud à la chambre trop grande. Laissant le trio à son triste sort, nous affrontons à Tourmente la D36 où la circulation est assez forte. Cela ne rend que plus inquiétante la conduite de Gérard qui heureusement n’a jamais eu d’accident grave mais qui n’est pas à imiter. Bernard se bat la coulpe car il a oublié de mentionner dans le descriptif du circuit la côte reliant Chuzelles à la RN7. Il se le fait suffisamment reprocher par sa douce compagne. Certes la montée ne grimpe pas énormément et la vue est agréable mais elle est rendue ingrate par le nombre de voitures. Naturellement on s’attend au sommet pour se regrouper et effectuer ensemble la descente sur la nationale 7. Ce passage-là assez circulant est finalement vite avalé. C’est même la vitesse qui nous empêche d’apprécier sur notre droite la vieille chapelle de Notre Dame du Limon, petit bâtiment mais très riche au niveau historique. Pour ceux que cela intéresse voilà le lien nécessaire pour en savoir plus. http://gerardmonique.free.fr/. Après avoir passé l’A46, nous quittons le plus vite possible les grands axes pour rejoindre Marennes. Là, Gérard qui caracole en tête, nous perd une première fois. Nous pédalons satisfaits de retrouver le plat. Il n’y a plus trop de voitures sur la D150. A Marennes Evelyne coupe pour raccompagner Françoise F qui commence à fatiguer. Les autres vont jusqu’à Chaponnay puis, après que Gérard ait perdu son groupe une nouvelle fois, ils s’en reviennent par de petites routes pour rejoindre Corbas par le chemin rural classique des Romanettes. A Corbas nous innovons en utilisant le contournement Est de la commune et rentrant à Vénissieux par le cimetière de Corbas. Pierre D nous guide car il a habité ici. Evelyne qui elle n’a jamais habité le coin se perd et rentre par la si peu pittoresque zone industrielle de Corbas-Vénissieux-Saint Priest. A l’arrivée nous avons une cinquantaine de km au compteur et presque 400 mètres de dénivelée. Chacun semble ravi en particulier Pierre D qui dit avoir trouvé l’ambiance qu’il cherchait. Et nous nous attablons au café. Là nous avons la surprise de voir Chrystel qui nous attendait. Philippe D est également là pour nous accueillir car son gone avait un match dans le quartier. Chacun raconte le récit de son groupe. Anass, Christophe L et Yann des véloces nous rejoignent. Super : Anass règle son adhésion au club et prend sa licence. Philippe nous montre les affiches très réussies qu’il propose pour le « Viron des Gones ». Evelyne sort de son cabas 2 quatre-quarts qui ne font peur à personne. Et nous nous séparons alors que le nuit commence à tomber.
II/ LA SORTIE DU CLUB SAMEDI DERNIER VUE PAR LES VELOCES
« Quelques kilomètres après le départ de Parilly, le groupe des véloces se forme naturellement. Nous sommes 8 et prenons la direction de Vénissieux, Corbas puis Saint Symphorien d'Ozon. Là Michel G, qui avait déjà roulé ce matin, prend la direction de Lyon. Nous prenons alors la direction de Simandres. Dans la côte Daniel crève. Nous réparons en haut de la côte. Après quelques minutes nous voyons passer le reste des 24 atscafiens au rendez-vous du jour. Après quelques minutes nous repartons en direction de Simandres, mais nous effectuons une erreur de parcours qui nous fait faire une petit détour. Nous rejoignons Communay puis nous cherchons notre route pour suivre le parcours dessiné par notre serviteur. En haut d'une côte alors que s'opère le regroupement nous voyons arriver trois atscafiens. Les autres doivent être devant nous. Nous effectuons une erreur de parcours. On se retrouve au village « Les Pins » sur la nationale 7 et devons rouler plusieurs kilomètres sur Au bilan kilométrique pour les six : 82 Km. » Yann BRIZAIS
III/ SAMEDI PROCHAIN AVEC LE CLUB
Nous serons encore en janvier ; le rendez-vous aura donc encore lieu à Parilly. Cette fois-ci nous partirons du côté de Genas. Songez à emporter vos gilets fluorescents. Les capitaines de route choisis pour chaque groupe de niveau revêtiront cette casaque pour être reconnus de loin.
Samedi 25 Janvier 2009 Au Parc de Parilly (69) RV à 13H pour un départ à 13H 15
Note pratique : Le lieu du RV est situé face à la brasserie « Le Parilly » rue du Clos-Verger (commune de Vénissieux) au nord du Parc. C’est le parc de stationnement situé le long de l’allée des turfistes, vers les terrains de boule et l’entrée du stade.
IV/ LES POTINS DU PELOTON
Ø Magali MAILLOL se bagarre à nouveau contre une pharyngite carabinée. Elle a mal à la tête et à la gorge et « enrage » (on la croit volontiers !) de n’avoir pu rouler samedi. Pas les conditions idéales non plus pour accueillir 14 convives le dimanche lors de l’anniversaire de Nicolas son fils aîné de 22 ans. Tiens, tiens, un Maillol qui ne fait pas de vélo ?
Ø Chrystel BERTRAND nous a appris samedi qu’elle s’était engagée dans une nouvelle épreuve de fond. Cette initiative va durer bien plus longtemps que le Paris-Brest-Paris. Neuf mois plus précisément. Bref, excellente nouvelle, elle attend un bébé. Voilà ce qui explique son abandon provisoire du vélo. Un certain nombre de copains, de copines surtout, avaient déjà subodoré la chose. Nous la félicitons ainsi que Jean-Luc et l’encourageons à continuer dans la voie de l’abstinence vélocipédique pour que tout se passe le mieux possible.
Ø Michel RODRIGUEZ appelle régulièrement Marie-Christine sa « ronce ». Cela fait sourire non moins régulièrement le peloton. Il a sans doute une ronce dans la peau, mais il a aussi une épine dans le pied. Couple fusionnel ? Non, moins drôle, il s’agit d’ne épine calcanéenne qui le fait souffrir pour les appuis.
Ø Anass BEZZAZ a réalisé vendredi sa plus belle et longue sortie à vélo ! Il a relié Lyon à Charlieu en 120 km. Il est passé par le Mas Rillier, Villefranche, le col de la Croix de Montmain, Saint Nizier sur Azergues, les 3 cols qui s'enchaînent : la Croix Nicelle, le Pavillon et la Bûche. « J'en ai vu de toutes les couleurs j'ai même eu des crampes, mais je suis content de moi ». Vous avez bien lu : nous sommes en janvier, il commence le vélo depuis peu et il a roulé avec les véloces le lendemain c’est à dire samedi 17. Heureusement il a annulé la sortie de 120 km qu’il avait projeté avec Christophe B. pour le dimanche 18. C’est sage. Ce n’est pas en effet la peine de se ruiner la santé dès le début de l’année. Nous avons toute la saison pour progresser en distance et en intensité.
Ø Christophe BOURNAC n’a pas pu rouler lui non plus dimanche comme prévu. La météo n’est pas à l’origine de cette défection. C’est son gone qui a été hospitalisé en urgence à l’hôpital mère-enfant de Bron, victime d’une crise d’appendicite. Nous espérons que tout s’est bien passé et que le gamin sera rapidement sur pied.
Ø Philippe DESIRE a roulé 56,5 km samedi matin du côté de Genas et Satolas et ce à allure soutenue. Il a rencontré sur sa route Bruno MAILLOL. L’après midi il est allé tourner au parc pour nous attendre et a de nouveau réalisé 12 km mais s’est arrêté en rencontrant Chrystel.
Ø Bruno MAILLOL ne pouvait rouler samedi avec le club car il avait l’AG de son association de jardiniers. Pour compenser il a roulé le matin en partant vers Genas et Satolas puis est allé au château de Fallavier, a longé un lac encore gelé et est revenu par Grenay. 73 km au compteur à plus de 25 km/h de moyenne.
Ø Michel GIRARD a roulé samedi avec nous jusqu’à saint Symphorien d’Ozon. Là il a regagné le Rhône et est rentré à Perrache par la rive droite soit 117 km à allure audax (et une super fringale). Le dimanche malgré le temps pourri il est descendu à Vienne par Chuzelles, le Levaut avec retour vent dans le dos, bien mouillé, vélo boueux, d'ou séance de nettoyage au pulvérisateur d'eau. Soit encore 73 km, toujours à l’allure audax.
Ø Jean-Claude JACQUET-FRANCILLON nous a envoyé de ses nouvelles. Il voulait atteindre les 8.000 km en 2008 et en a finalement fait 8.319 km à 23,71 de moyenne !! Un costaud, quoi ! ll nous donne des infos sur la voie verte le long du Rhône. « J’ai repris aujourd'hui après une journée de ski dominicale. J'ai fait la via Rhona de Vienne à Sablons. C'est mon parcours quand il ne fait pas bon faire les bosses du pays viennois. Elle ouvrait officiellement aujourd'hui pour la partie Ile au Beurre entre Ampuis et Condrieu ( mais c'est un passage que je ne fais pas avec le vélo de cyclo, la route n'est pas goudronnée). De Vienne Nord à Sablons il y a 34 km pratiquement sans voitures. Il n'y a qu'un peu de RN 86 entre Tupins et Condrieu ( 1,5 Km ) et le passage dans Condrieu du lycée jusqu'à l'Hôtel Beau Rivage fait environ 2 km encore. Mais par les rues parallèles à la RN 86 on évite la circulation. A partir de l'Hôtel Beau Rivage jusqu'à Sablons c'est un billard de 18 Km sans véhicules. C'est très sympa de pouvoir disposer d'un tel domaine réservé ! » Notre ami conclut en affirmant qu’il sera présent à l’Ardéchoise sur un parcours de 360 km pour sa 13° participation consécutive depuis que Gilbert LACHARME lui en a vanté les mérites.
V/ LE COIN VELOCIO
Ø Michel GIRARD a effectué la Randonnée Permanente Vienne-Wien cet été. Vous trouverez ci-joint la troisième partie de son récit en 5 épisodes .
Ø Suite à une réunion du CODIR Yves DUBOST était chargé de trouver l’interlocuteur au niveau du Grand Lyon vers lequel nous pouvons nous adresser pour signaler les anomalies sur les chaussées et les pistes cyclables (trous, bosses, saleté..). Voici l'info : http://www.grandlyon.com/Formulaire-de-voirie.152.0.html?&no_cache=1
Ça s'appelle "formulaire de voirie" et ça peut être rempli en ligne. Il est sûr que si tous les cyclos de l’agglomération se mettient à envoyer des observations sur l'état des pistes cyclables, cela risque de porter ses fruits.
VI/ LA VIE DU CLUB
Ø Nous sommes désormais 38 atscafiens licenciés 2009 à ce jour à la FFCT. Il reste encore deux licences à rentrer pour atteindre le nombre de l’an passé. Merci à ceux qui n’ont pas encore repris leur licence de le faire d’ici la fin du mois. En effet l’assurance correspondant à la licence 2008 cesse fin janvier. Quant aux autres membres du club ils peuvent souscrire leur licence à n’importe quel moment. Mais c’est mieux de le faire maintenant pour bénéficier des réductions sur les rallyes avant le démarrage de ces derniers.
Ø A l’occasion de la nouvelle année Philippe DESIRE a modifié la page d’accueil du site électronique du club. Il a également complété et mis à jour le Trombinoscope. Si les photos qui y figurent ne vous conviennent pas vous pouvez en faire parvenir d’autres qui vous paraissent plus flatteuses.
Ø Philippe DESIRE est vraiment un homme précieux pour le club. Il a préparé deux maquettes d‘affiche pour le « Viron des Gones » qui aura lieu le dimanche 5 avril. Personne n’ignore plus cette date depuis l’appel à la mobilisation générale lancé dans le dernier numéro de la « Lettre », appel auquel ont répondu une dizaine d’atscafiens. Pour en revenir aux affiches elles seront validées lors de la réunion de travail du mercredi 21 janvier qui sera commune aux deux clubs organisateurs, l’ASCUL et l’ATSCAF. Une maquette de brochure a également été préparée.
Ø Merci à tous ceux qui ont annoncé qu’ils se libéraient pour participer à l’organisation du « Viron des Gones » le dimanche 5 avril. Mais tout le monde n’a pas répondu. Merci de nous faire savoir vos disponibilités pour que nous puissions nous organiser.
Ø Un classement intéressant ! Dans la catégories des clubs cyclotouristes de France de 36 à 75 adhérents, l’ATSCAF Rhône se classe 46° sur 822 au Challenge de France. Pas mal, non ?
ØLe CODEP organisera un séjour cyclotouriste à Cervia en Italie du 2 au 9 Mai 2009. Déjà 4 atscafiens sont intéressés pour y participer. Prière de se mettre en rapport avec Jean-Jacques PECH pour avoir plus d’info ou pour s’inscrire. Attention seuls les licenciés peuvent participer à ce séjour.
Ø La « Lettre » de la semaine dernière traitait de notre participation éventuelle à la Concentration de Pâque en Provence au Pontet (84), de la Trace Vélocio ou de l’audax Lyon-Suze la Rousse pour y aller. Merci de faire savoir vos projets en la matière. Le club de l’ASEB nous a en effet prévenu qu’il fallait réserver très rapidement le gîte à Suze. Contacter Florian CABAJ (florain.cabaj@orange.fr ou 06 84 19 74 22).
Ø Bonne nouvelle pour le week-end familial du club les 25 et 26 avril. Michel RODRIGUEZ a trouvé un lieu plus proche que ce qui a été présenté à l’AG de décembre. Au lieu de Bagnols, nous allons nous retrouver à Fournols, dans le Puy de Dôme, 30 km à l’Ouest d’Ambert, au cœur du Livradois qui est une belle région. Nous allons économiser en essence, en péage, en temps de déplacement et en fatigue par rapport à la proposition initiale. Le prix sera de l’ordre de 45€. S’agissant d’un hébergement Azuréva nous aurons la réduction accordée aux adhérents FFCT. En outre Michel va négocier les tarifs. Il est urgent de signaler à Michel votre participation à ce séjour. jolyrod@wanadoo.fr. Tél : 06 20 51 01 02.
Bernard CHAREYRON
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