atscaf cyclo 69 . Club FFCT n° 07061

 

LA LETTRE n° 329

 

Lyon, le 10 Août 2008

 A L’ASSAUT DU CHATEAU DES ALLYMES !

 

I/ LA SORTIE DU CLUB DE SAMEDI

Yann BRIZAIS, Jean-Pierre CHECCACCI, Michel FEYX, Christophe LABAUNE, Evelyne LEFRANCOIS, Rodolphe MALESKI, Daniel ROTTWILLER et votre serviteur se sont retrouvés sans problèmes à Montluel. L’ambiance était excellente à la sortie des voitures tant les copains étaient heureux de se retrouver. Et elle l’est restée tout au long d’une balade qui a été assez originale.

Michel nous parle de ses vacances riches en balades cyclos comme vous le verrez dans la rubrique « Les potins du peloton ». Les discussions vont également bon train sur la décision de Jean-Marc d’aller s’établir en Aveyron. Sûr que nous le regrettons tous déjà !

Le départ s’effectue à l’heure pile. Il fait frais au début mais le ciel est bleu et le vent inexistant. Bref, la météo idéale pour faire du vélo. Nous partons vers Balan et longeons le cimetière militaire allemand qui recueille les sépultures de presque 20.000 soldats tombés lors de la  seconde guerre mondiale. Nous arrivons après 4 mètres de dénivelée ( !! ) au camp militaire de la Valbonne. Nous roulerons pendant des km en plein cœur des zones militaires puisque le chemin vicinal menant à Chânes est bordé de terrains de manœuvre. Il n’y a pas âme qui vive. On peut penser ce qu’on veut de l’armée, il n’empêche que ce type de zone est un espace de nature, un rempart contre l’urbanisation galopante. Chânes est un petit village coquet. Fonçons maintenant  vers le nord jusqu’aux fermes de La Valbonne perdues au milieu de nulle part. Cette portion de route n’avait jamais été empruntée par le club jusqu’à présent. Toujours pas le moindre petit mètre de dénivelée et personne ne s’en plaint. La balade est rythmée par l’arrosage des champs de maïs qui nous asperge quelquefois. Quelle stupidité que cette monoculture du maïs dont l’irrigation épuise la nappe phréatique pourtant initialement riche dans cette plaine de l’Ain ! 

Après deux ponts sur l’A42, nous voilà maintenant à filer vers l’Est, vers le Bugey dont le relief se rapproche rapidement. Nous pédalons vite mais sans trop d’efforts car la route est toujours plate, le revêtement parfait sur cette D 124 dont la largeur généreuse ne correspond pas à la circulation modeste ce jour. Nous passons, toujours groupés, la rivière d’Ain et empruntons la D 64a jusqu’à Posafol. Là nous attend un itinéraire cyclable qui est un inédit et qui rejoint Leyment. La route devient confidentielle et est bien belle avec, enfin, quelques moutonnements et des bois. Nous passons même un hameau qui n’est pas mentionné sur la carte Michelin. Il s’agit de Chanves qui possède pourtant un petit château. Nous nous rapprochons encore plus de la bordure occidentale du Bugey en arrivant à Lagnieu en passant par le hameau (encore une route inédite) du Charveyron. Bernard ne s’arrête pas pour faire une photo malgré la quasi homonymie de la plaque et de son patronyme.

A Lagnieu la route est bien circulante pendant quelques hectomètres mais nous bifurquons rapidement à droite en direction de Vaux en Bugey. Yann nous signale que nous abordons maintenant la zone vallonnée et qu’il a l’intention de la franchir à son allure. Il nous salue donc et file rapidement dans la petite côte de Vaux. Nous ne le reverrons plus. Le reste du peloton s’arrête dans ce charmant village vigneron. Nous sommes en effet dans le bassin appelé «  la Côte du Rhône » du vignoble bugiste. Les maisons traditionnelles sont intéressantes. Il y a un petit ruisseau –le Buizin- qui traverse bellement le vieux village.

Maintenant Jean-Pierre nous informe que la côte attaquée dure 1,5 km . Elle nous permet de nous hisser à 355 m et de redescendre sur Bettant. La descente procure une sensation étrange car il y a de la rubalise à profusion le long de la route et des bottes de foin dans les virages. Normal, demain ce lieu accueille une course de côte automobile. Il y a des autocaravanes stationnés dans les champs pour ne rien perdre du spectacle du lendemain. A Bettant la course se met en place et il y a déjà des bolides autour desquels des mécanos s’affairent. Et nous rejoignons paisiblement Ambérieu une fois le groupe ressoudé. On mesure bien la différence existant entre Ambérieu-Gare, ouvrière, et Ambérieu-Ville, bourgeoise. Roger Vaillant et Louis Aragon ont déjà parlé de cela.

C’est maintenant que les choses sérieuse commencent. En effet nous allons découvrir un lieu historico-touristique où nous n’avons jamais mis les roues. Il s’agit du château des Allymes qui domine la ville de ses 657 m et qu’il faut atteindre par une belle montée de 6,5 km . Chacun grimpe à son allure. Christophe arrive au sommet  bien avant tout le monde. Il s’inquiète même de ne pas nous voir arriver. Mais le reste de la troupe, avec Michel en tête, s’est regroupé au hameau des Allymes et a même visité la chapelle où un contrôle de l’horloge du clocher était en cours. 

Encore 2 km de montée raide et nous voilà enfin au sommet. Il s’agit du hameau de Brédevent. Daniel et Bernard essayent de grimper au château des Allymes mais ce dernier n’est accessible que par un chemin qui devient rapidement caillouteux. Ils font donc demi-tour.

Signalons pour votre culture générale que ce château, d’où l’on a paraît-il une très belle vue, date du XIII°. Il a été bâti par le Dauphiné pour faire face aux savoyards du château voisin du Mont Luisandre. Cela n’empêchera pas toute la région de passer sous la domination savoyarde. C’est le seigneur des Allymes qui signa pour le compte des comtes de Savoie le Traité de Lyon en 1601 rattachant à la France les pays d’Ain après des années interminables de guerre.

Revenons à des considérations plus pacifiques. Le groupe prend ses aises au sommet au bord du lavoir-abreuvoir de Brédevent. On se remet des fatigues de la montée. Heureusement que Rodolphe avait sa genouillère. Le hameau est isolé et pourtant il y a de la vie. On se demande de quoi vivent les habitants car il n’y a guère de cultures. Travail à Ambérieu ? Sans doute mais la route doit être « coton »  l’hiver !

Sur ces considérations Jean-Pierre décide de faire demi-tour. Sa fille habite en effet en bas à côté d’Ambérieu. La balade d’aujourd’hui est donc l’occasion pour lui d’aller voir fille et petits-enfants. Il nous salue et redescend sur Ambérieu.

Le reste du peloton se lance dans la délicate descente annoncée par Bernard. En fait de descente c’est dans l’immédiat..... deux montées et un mur franchissable qu’à condition d’être debout sur les pédales. Ouf ça y est ! Il n’y a plus qu’à se laisser glisser jusqu’en bas dans la vallée de l’Albarine à Saint Rambert en Bugey. Mais cette pente est très sérieuse. Il y a 3 chevrons sur la carte. La vue est magnifique sur la vallée mais il faut rester concentré car dès qu’on lâche les freins on s’emballe. Et la route est très étroite. Nous arrivons ensemble à Saint Rambert que nous dominions il y a peu.

La ville est marquée par son passé industriel. Les filatures aujourd’hui désertes sont reconverties en musée, supermarché, habitations ...La circulation est infernale dans la vallée. Heureusement on ne la supporte pas très longtemps car nous empruntons rapidement l’ancienne route qui passe par Le Chauchay. Curieusement le revêtement de cet axe très secondaire a été refait et est nickel. Au Chauchay, on s’arrête pour réfléchir. L’ascension qui nous attend risque de mettre à mal le genou de Rodolphe. Il lui est donc proposé de rentrer seul par un itinéraire plat. Raisonnablement il accepte de nous quitter pour ne pas se faire mal.

Le groupe attaque une route que personne ne connaît. C’est la D 60, une montée partant de Montferrand pour rejoindre Cleyzieu en passant par le hameau du Mont de l’Ange. La montée est belle. On voit rapidement la cluse et sa circulation intense s’enfoncer. Les premiers du peloton font s’enfuir les petites larmises (1) qui se dorent au soleil sur la chaussée.  Au Mont de l’Ange (joli nom pas vrai ? ) on renonce à emprunter un raccourci dont le revêtement semble aléatoire. Cleyzieu est un beau village bugiste typique en pierres blanches. La route descend dans le creux d’un vallon, à Villeneuve, puis contourne ce fond de vallée et remonte à 808 m . Le paysage alterne prairies puis forêts. On voit au loin Ambérieu en contrebas. C’est maintenant la descente. Elle commence en forêts puis la route est taillée dans les rochers et surplombe Saint Sorlin et le Rhône. Elle se termine en longeant le ruisseau menant à Vaux.

En consultant les compteurs les cyclistes s’aperçoivent que votre serviteur a dû faire une erreur dans le kilométrage annoncé. Pour éviter une galère il est décidé de rentrer au plus vite par la plaine plutôt que d’aller crapahuter sur la Côtière. Aussitôt proposé, aussitôt adopté ! Le groupe traverse Vaux et se rend à Leyment. Là il bénéficie du vent du nord qui le pousse à bonne vitesse à Rignieu le Désert puis Chazey sur Ain.  Michel se sent pousser des ailes et file à lavant. A Chazey Bernard entraîne le groupe pour rejoindre ce qui lui semble être une route sur le plan. Heureusement qu’il ne va pas jusqu’au bout : la route était en fait la rivière d’Ain. C’est embêtant pour un président que de noyer son club !

Toujours le vent dans le dos c’est parfois à 40 km/h , Evelyne en tête, que nous atteignons Blye. Nous passons l’Ain (sur un pont cette fois-ci) et parvenons à Saint Jean de Niost. Là une petite route permet de rejoindre Chânes, village où nous sommes déjà passés à l’aller.

Pour abréger la balade puisque nous avons déjà dépassé les 100 km , nous rentrons directement par la RN 84 depuis La Valbonne jusqu’à Dagneux et Montluel. Contrairement à nos craintes il n’y a pas trop de voitures.

A l’arrivée nous retrouvons Rodolphe qui nous a attendus. C’est sympa à lui. Il nous raconte qu’il a finalement refusé de prendre la grande route en raison de la circulation. Il s’est donc coltiné les côtes de la Dombes vers Rignieux le Franc et Saint Eloi.

Comme personne n’a l’air bien pressé, une fois les vélos rentrés dans les voitures, nous allons chercher une terrasse sur laquelle, en plein cœur du bourg, nous sirotons, en bavardant à l’infini, notre breuvage préféré.

Les compteurs affichent 108 km et on se demande combien de km aura pédalé Yann s’il a fait la totalité du parcours tracé par Bernard.

Le glossaire lyonnais-français

 (1)   Larmise. N.f : Lézard gris. Variante : larmize, larmuze. Attention si vous voulez parler un lyonnais châtié, larmise est féminin.

II/ SAMEDI PROCHAIN

Le circuit a été tracé par Raymond CHATENAY que nous remercions. Il a tranché entre un départ de Saint Bernard ou de Trévoux. Ce sera Trévoux. Le trajet a été envoyé à Philippe DESIRE qui le mettra en ligne sur le site.....s’il y parvient avec sa clavicule droite fracturée.

Les circuits ont été portés sur des fonds de carte qui seront remis aux participants par Daniel ROTHWILLER. Votre serviteur et Evelyne seront en effet absents.

Vous trouverez la description littérale du circuit en pièce jointe.

Samedi  16 Août 2008

A Trévoux (01)

RV à 7H 45 pour un départ à 8H précises

Note pratique : Quand on vient du Sud, de Lyon par exemple, on remonte la rive gauche de la Saône. Dans Trévoux, on passe devant le pont puis devant la passerelle. Au rond-point suivant, à gauche toute pour se garer sur les berges.

III/ ET POUR APRES ?

Ø  Le dimanche 31 août 2008 est organisée à Lagnieu (Ain) la deuxième cyclosportive humanitaire « le Raid du Bugey » pour  la recherche médicale sur la maladie Sanfilippo. Elle fait partie de la cinquantaine de maladies lysosomales, maladies génétiques rares et graves. 150 enfants sont touchés par cette maladie en France dont  24 en Rhône-Alpes.

Deux parcours cyclosportifs :    *100 km « les portes du Bugey »  celle-ci est ouverte aux cyclotouristes

                                               * 140 km « le raid du Bugey ».

Il y a en outre une randonnée VTT et VTC de 30 km , « les berges du Rhône », accessibles et ouvertes  à tous les âges ainsi qu’une marche pour les accompagnateurs.

Les départs et arrivées = Lagnieu.

140 km Départ à 8h30 : Lagnieu, Saint Sorlin, (sortie départ réel),  Sault-Brénaz, Villebois gare, Serrières de Briord, Bénonces, Onglas, Seillonnaz, Lompnas, Marchamp, Cerin, (séparation des parcours), lac d’Ambléon, Contrevoz, Ordonnaz, Arandas,  Conand, col de Portes, Souclin, col de Fay, Fay, Bouis, Villebois, Sault-Brenaz, Saint Sorlin, Lagnieu.

100 km : Départ à 8h45. Après Cerin : Ordonnaz, Arandas etc …

Sur place, repas copieux, stationnement voitures et auto-caravanes, douches, consignes vélos, cadeau de bienvenue, diplôme, coupes, possibilité d’inscription le jour même avec supplément de 5 € après le 15/08/2008. Tarif avant le 15/08 : non licencié 31€, licencié 28€ pour les cyclosportifs, 26€ et 23€ pour les cyclotouristes sur le 100 km , Berges du Rhône randonnée 15€ , repas accompagnateurs 9€.

Il y a une possibilité de défiscalisation de 66% des engagements.

Contact : BARTHOLOT Jacques de l’association « déchaîne ton cœur ». Tél : 04/74/40/33/10

Mel : Cyclosportive01@orange.fr

IV/  LES POTINS DU PELOTON

Ø Suite à son accident Philippe DESIRE a finalement été rapatrié de Norvège le 6 août avec toute sa petite famille. Pour ceux qui n’auraient pas attentivement suivi les malheurs de notre « Baraque » Philippe s’est fracturé la clavicule droite ce qui l’oblige à avoir le bras immobilisé et à ne pas être très mobile. En effet les médecins français ont diagnostiqué en outre un déplacement des os et ils ont placé un dispositif lui tirant l’épaule en arrière. Très agréable quand il fait chaud !  Et notre ami semble avoir avalé une planche à repasser. Nous pensons bien à lui.

Ø Michel FEYX nous a envoyé le message suivant :

«  Me voici revenu de vacances et je vais vous donner un petit aperçu de mes balades à vélo.

Nous sommes allés la 1ère semaine à Saint Léger du Ventoux : petit village de 25 habitants situé dans la vallée du Toulourenc. Notre hébergement se trouvait dans une ancienne bergerie au milieu de la garrigue où seul le chant des cigales et celui de la rivière berçaient nos journées. C’était vraiment très reposant.

J’en ai profité pour faire le Ventoux en passant par Sault au départ de Saint Léger (1ère sortie sans difficulté).

2ème sortie Saint Léger – Montbrun – col de Macuègne retour sur Sault et Saint Léger

3ème sortie Saint Léger – col des Ayres – col de Fontaube – Mollans et Saint Léger

4ème sortie départ de Malaucène pour le Ventoux – descente sur Bédoin – Malaucène.

A noter que Michel a téléphoné à Daniel CASTEAU pour faire le Ventoux avec lui mais notre provençal n’était pas disponible (NDLR).

2ème semaine : nous voici partis pour Le Fayet petit village de 25 habitants situé près de Florac dans la Lozère sur les Gorges du Tarn où je n’ai fait que 2 sorties vélo.

Florac Ste Enimie – Saint Chély – le Causse Méjean (col de Cauperlac) - retour sur Florac – Le Fayet  (1ère sortie)

Le Fayet – Cocurès – le Pont de Montvert  (col de Montmirat) et retour sur le Fayet - Florac.  (2ème sortie)

La  vallée des gorges du Tarn est vraiment magnifique et l’on y découvre des petits villages tel que Castelbouc niché au fond des gorges, accroché aux rochers. Tout au long des gorges existent des villages dont certains ne sont pas accessibles en voiture, seulement en barque et le ravitaillement se fait à l’aide d’une tyrolienne. Nous en avons profité pour visiter certains de ces lieux et descendre une partie des gorges du Tarn jusqu’à Peyreleau et ensuite les gorges de la Jonte jusqu’à Meyrueis et retour sur Florac par le Causse où une grande partie de la forêt à disparu lors d’un incendie voici environ 5 ans .

Je repars la semaine prochaine dans le Jura où nous avons un barbecue de prévu avec la famille. Peut être en profiterai-je pour faire 1 ou 2 sorties ? Bon été à tous et à bientôt. »

Ø Gilbert LACHARME a passé un week-end en famille au CIS de Lanslebourg où nous avons vécu ce formidable week end mythique. Il nous dira s’il en a profité pour gravir le Col du Mont Cenis comme il en avait le projet.

Ø Chrystel BERTRAND et Françoise CHENAIS sont revenues de la Semaine Fédérale de Saumur qui s’est clôturée ce WE. Nul doute que nous aurons prochainement des échos.

V/  LE COIN VELOCIO

Ø A l'occasion de la Fête du Vélo, la Bibliothèque Municipale de Lyon s'est penchée sur le vélo et les alternatives à la voiture dans le Grand Lyon. Résultat : un article intéressant, très détaillé et bourré de liens pour faire le tour de tous les modes de déplacement.
www.pointsdactu.org/article.php3?id_article=1143

Ø La tour range-vélos Les Japonais ont trouvé un moyen de ranger un maximum de vélos dans un minimum de place et très rapidement. Ca ressemble un peu à la « Guerre des Etoiles » mais avec des vélos...Pour voir la vidéo : www.rezo7.tv/2008/05/garage-velo.html

Ø La FFCT a été partie prenante à Saint Etienne, au Musée d’Art et d’industrie, de la très sérieuse 19° Conférence Internationale d’Histoire du Cycle qui a eu lieu du 25 au 28 juin. Pour clôturer cette initiative la Fédération a organisé une randonnée cyclotouriste sur les routes chères à Vélocio.

VI/  LA VIE DU CLUB

Ø Voyage Itinérant à Vélo du club dans le Jura du 26 au 28 Septembre.

Yves DUBOST rappelle que ceux qui voudraient venir et ne se sont pas encore inscrits doivent le faire de toute urgence. Les hébergeurs commencent en effet à s’impatienter de ne pas avoir un nombre fixe et définitif.

Ø  Vous lirez en supplément de la « Lettre » la suite du voyage à vélo en Norvège de Philippe DESIRE. Il s’agit de la deuxième étape. 

Ø Depuis plusieurs mois les destinataires de la « Lettre » possédant une boite aux lettres électroniques ont reçu quasi quotidiennement les compte-rendus et récits divers concernant le Paris-Pékin à Vélo (le PPAV). Certes avec un léger décalage. Formidable l’internet ! Bien sûr tous les atscafiens n’ont pas reçu l’ensemble de ces envois. Les boites aux lettres –en particulier professionnelles- se trouvaient fréquemment saturées. La période de congé n’a rien arrangé de ce point de vue. Enfin certains opérateurs comme Free considéraient certains envois comme des pourriels.

Malgré tout ces récits et surtout les photos ont beaucoup plu. En effet, en plus des mots de satisfaction, peu de copains ont souhaité ne plus être destinataires de ces envois.

Aucun participant du PPAV n’était membre du club mais nous avons tenu à vous faire parvenir ces infos. Ces cyclotouristes, qui en général n’étaient pas tout jeunes, ont bien illustré par cet exploit ce qu’est notre sport préféré. Saluons la FFCT pour cette initiative que beaucoup jugeait folle. Saluons aussi Jean-Jacques PECH qui a passé de nombreuses heures à consulter les blogues des participants, à les sélectionner, à en extraire les meilleurs morceaux pour me les faire parvenir.

Pour ceux qui n’ont pas eu la chance de recevoir tous ces envois il est recommandé de se connecter au site de la FFCT. http://www.ffct.org/

Vous pourrez ainsi accéder à la rubrique « photothèque » qui contient toutes les photos prises pendant ce périple. La rubrique « suivi vidéo » rassemble toutes les vidéos tournées. Pour accéder à la dernière il suffit de cliquer sur le lien suivant http://www.parispekinavelo.com/videos/film37.htm
Enfin dans la rubrique « commentaires du jour» vous trouverez tous les compte-rendus quotidiens de l’expédition.

Quelques chiffres pour terminer : PPAV ce fut 115 participants, 118 étapes, 12.623 km 54.141 m de dénivelée positive, 5 mois de route, 663 heures de selle.

Bernard CHAREYRON