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atscaf cyclo 69 . Club FFCT n° 07061 LA LETTRE n° 299 Lyon, le 23
Décembre 2007 JOYEUX
NOEL A TOUS LES AMIS DU CLUB !
I/ SAMEDI
DERNIER AVEC LE CLUB Ø
Mais lisez donc le compte-rendu très personnel de JJP. « Quatre Sioux dans les steppes blanches Dans un délire personnel (et quelque peu collectif aussi), voici le compte rendu de la sortie du 22 décembre…. façon indienne. Bien entendu, pour les visages pâles, une traduction de notre dialecte vous sera proposée entre parenthèses. Quatre valeureux guerriers
(courageux cyclos) sont présents à 13h30 à l’endroit habituel du Parc de
Parilly. Il s’agit de Gazelle Affûtée (Michel Girard), de Bison Agile (Bruno
Maillol), de Guerrier Prévoyant (Yves Dubost) et de Grand Manitou (Jean Avant le départ, pour nous donner du courage, nous buvons de l’eau de feu (schnaps) gentiment amenée par Guerrier Prévoyant (d’où son nom) et mangeons quelques baies sucrées (gâteau fourré) ainsi que plusieurs rondelles de gras de porc (saucisson). C’est fort bon ma foi. Guerrier Prévoyant a prévu un sac à dos rempli de victuailles, sait-on jamais. Nous enfourchons nos chevaux
fougueux (vélos) qui piaffent d’impatience et partons direction l’Est. Nous
nous dirigeons via les crêtes de Saint Bonnet de Mure par les pistes (routes)
habituelles. Nous arpentons ainsi le chemin de Mauguette puis arrivons à Saint
Priest- Dans la steppe, les arbres et herbes sont tout blancs de givre et cela rend le paysage magnifique. Nous continuons notre avancée et par la piste 151 (D 151) filons via Valencin. Qu’il est loin le temps où les steppes étaient paisibles, où les bisons broutaient en toute tranquillité. Nous sommes doublés en permanence par des chevaux d’acier (voitures), conduits par des visages pâles, qui dégagent une odeur nauséabonde (les chevaux de feu vous aviez compris) sortie par un tuyau situé à l’arrière de leur cheval (tuyau d’échappement). Nous sommes obligés de nous mettre en file… indienne, bien sûr. Nous bifurquons via Chaponnay et montons une petite côte. La descente qui suit nous glace quelque peu. Beaucoup de nouveaux tipis (maisons) sortent de terre tels des champignons. Nous retrouvons, après avoir traversé Chaponnay, une petite piste bien sympathique qui nous amène derrière Marennes, puis plus loin sur la grande piste menant à Communay. Grande piste que nous empruntons pour tourner presque aussitôt via Simandres. Nous franchissons la côte de Simandres pour arriver à Saint Symphorien d’Ozon. L’Ozon, long fleuve tranquille, serpente parmi les tipis du village. Nous constatons que les visages pâles obéissent à des rituels quelque peu bizarres. Lorsqu’ils rencontrent des poteaux flanqués de trois gros ronds de couleurs différentes, rouge, orange et vert (feux tricolores), ils agissent différemment selon la couleur du moment. Au rouge ils s’arrêtent, laissent passer ceux qui ont le rond vert, puis vice-versa. A l’orange, nous ne comprenons pas bien, certains passent, certains s’arrêtent. Nous décidons d’agir comme eux, comprenant que notre sécurité en dépend. Nous filons ensuite via Corbas. Dans les plates plaines, nous débridons nos chevaux (vélos) histoire de les réchauffer et nous aussi par la même occasion. Gazelle Affûtée file à 30 km/heure. Bison Agile suit ; Grand Manitou et Guerrier Prévoyant sont un peu plus loin. A Corbas, nous rentrons par les pistes classiques. Nous franchissons des ponts sur lesquels nous apercevons en dessous de larges pistes (autoroutes et rocades) dédiées exclusivement aux chevaux d’acier. Il y a même des énormes chevaux d’acier, très hauts et très longs (camions). Après 2h30 de balade et environ Hugh !!!! Grand Manitou alias JJ Pech” Ø Pourquoi
as-tu mentionné le nom de
Enfin bref, plusieurs coups de fil pour expliquer mon cas, et je vois le RDV des Atscafiens s'envoler pour moi. Au revoir le schnaps danois et les "Julkager" (biscuits de Noël en danois) ! Aussitôt rentré (enfin, dirais-je) je mange vite fait et décide de partir tout seul bien emmitouflé dans des couches de vêtements et peut-être par chance arriverai-je à retrouver des gens de l'ATSCAF. Je pars donc
vers 14h 30. J'arrive devant la brasserie de Parilly et mon mot pour Yves
DUBOST est sur la porte (le bar a fermé à 13h) je m'appelle
« Periver » au lieu de « Désiré » mais bon au moins c'est
fait ! Je fais un tour du parc au cas où. En ne voyant personne je décide de
faire le parcours d'il y a 1 mois en passant donc par Saint Priest jusqu'à
Saint Bonnet de Mure. Je suis la route tranquillement à un bon rythme (tout
seul c'est plus facile). J'arrive à Saint Bonnet de Mure et mon genou gauche me
fait souffrir. Je ralentis l'allure et rentre comme la dernière fois par le
même chemin. Quand j'arrive vers la rue du Dauphiné et après une pause casse
croute (je suis un cyclo, avant tout !) mon genou va mieux. Alors je
décide de retourner au parc : peut-être un miracle ?? Mais que
nenni ! Personne. Je fais donc un dernier tour du parc et content de moi
je rentre chez moi avec Je n’ai
jamais fait autant en cette période de l'année. Enfin dommage que je n'ai pu
retrouver les autres mais bon c’est partie remise. Etant en congé peut-être que
j'irai rouler après les fêtes car samedi prochain je ne pourrai pas honorer une
éventuelle sortie club. Mais je donne rendez-vous aux Atscafiens pour le 5
Janvier pour se souhaiter la bonne année. Philippe Désiré "le baraqué" Ø Vous avez vu que nos cyclos ont
eu droit à se mettre sous la gnaque (1) des spécialités nordiques.
Voilà quelques explications apportées par Yves sur la partie gastronomique. « En fait de « julekager », c'était des « pepperkakor » et du saucisson de renne qui venaient tout droit d'Ikéa. Le saucisson était plutôt du salami, mais il était très bon quand même et mes petites filles n'ont fait qu'une demi-bouchée de ce qui restait. Le schnaps était du vrai danois d'Ålborg bien râpeux. Les copains qui ont fait semblant de tremper les lèvres dedans m'ont même dit "pas étonnant que tu avances avec ce carburant". Ça ne m'a pas empêché d'être à la traîne dans les côtes. » Le glossaire lyonnais-français (1) Gnaque n.f : C’est Avoir la gnaque c‘est avoir faim. Faire la gnaque c’est faire la
nique, se moquer. II/ LE
RENDEZ-VOUS DES VOLONTAIRES Comme durant tout le mois de décembre il n’y a plus de sortie organisée par le club. Cependant, ceux qui veulent tourner les jambes pour la dernière fois en 2007 peuvent se rendre à la permanence du club à 13H 30 à Parilly. Peut être y trouveront-ils quelqu’un ??? Samedi
29 Décembre 2007 Au
Parc de Parilly RV à 13H 30 Note pratique : Le lieu du RV est
situé face à la brasserie « Le Parilly » rue du Clos-Verger (commune
de Vénissieux) au nord du Parc. C’est le parc de stationnement situé le long de
l’allée des turfistes, vers les terrains de boule et l’entrée du stade. III/ ET POUR APRES ? Yves DUBOST propose une sortie le jeudi 27 décembre afin d’éliminer les
calories accumulées mardi et .....pour faire de la place à celles qui
arriveront pour le Nouvel An. Il propose le RV traditionnel à Parilly à 14H.
C’est une bonne idée. Avis à ceux qui sont en vacances dans la période ! De
manière plus générale, suite à une sollicitation faite lors de l’AG du club,
Yves se propose d’animer des sorties du club en semaine. Qui serait
intéressé(e) pour rouler en plus des sorties du samedi ? Merci de répondre
au club pour pouvoir faire vivre ce nouveau type d’activité. IV/ Ø
Vous trouverez ci-joint la suite du récit (n°9) du Paris-Brest-Paris.
Pleurs et émotion ! C’est enfin le relâchement après tant d’heures de
souffrances. Bravo à tous pour cette aventure que nous avons vécue
collectivement Ø
L’année 2008 n’a pas encore commencé et déjà 18 atscafiens ont déjà pris
ou repris leur licence à la FFCT en 2008. Que les autres y songent également
pour que les licences puissent être envoyées rapidement. Les chèques sont à
adresser au club à l’ordre : « atscaf Rhône cyclotourisme ». Si vous ne l’avez pas fait
n’oubliez pas non plus de joindre un certificat médical de non
contre-indication à la pratique du cyclotourisme. Si vous avez perdu les tarifs
vous retrouverez ci-joint un tableau simplifié pour éviter les erreurs
constatées lors de la rédaction des chèques. |
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