atscaf cyclo 69 . Club FFCT n° 07061

 

 

 

LA LETTRE n° 286

 

 

Lyon, le 23 septembre 2007

 

4 COLS AU PROGRAMME

 

I/ SAMEDI DERNIER AVEC LE CLUB

 

Il fait bien frais à la pique du jour (1) aux Ponts-Tarrets lorsque Raymond CHATENAY, Jacques DELMAS, Michel FEYX, Françoise et Pierre FOUILLANT, Jacques GUILLAUD, Bruno JACQUET, Evelyne LAGREE, Bruno et Nathalie MAILLOL, Rodolphe MALESKI, Evelyne TRIMOULLA, Jean-Paul TROUSSICOT et votre serviteur sortent de leur voiture.

 

Nous avons le plaisir d’accueillir un nouveau : Jean Paul. Il nous a envoyé un courriel cette semaine et la réponse l’a poussé à venir nous rejoindre. Il est licencié dans un club FFCT de l’Ile de France (l’Entente Cycliste Vernouillet - Verneuil-  Triel ).  Comme il est en mission professionnelle et temporaire à Saint Clément les Places, il en a profité pour se mettre en chasse d’un club du département. Il nous a trouvé grâce à notre site.  Jean-Paul, par ailleurs militaire à la retraite, a vraiment la forme. Sa robuste constitution le place tout de suite dans le groupe des « véloces ».

 

Jacques D fait également son apparition. Mais c’est une brève apparition. Il est parti en trombe de chez lui et n’a apporté qu’une seule chaussure cyclo. Chacun sait qu’il en faut deux pour être efficace. Compte-tenu du relief aujourd’hui, il est impensable d’appuyer sur les pédales automatiques avec des basquettes. ( C’est joli, non, ces chaussures de sport avec un aspect francisé ?).

Tant pis, bonjour Jacques et au revoir Jacques ! Ce sera pour la prochaine fois !

 

Quant à Rodolphe il n’a pas roulé avec nous. Certains ont vu sa voiture au retour. Il a donc dû arriver en retard, récupérer un parcours sur le Toyota et se lancer à notre poursuite sans parvenir à établir le contact avec aucun des 4 groupes.

Le glossaire lyonnais-français

 

 (1)   PIQUE DU JOUR. n.f :  Petit matin. A la pique du jour c’est à l’aube.

 

 

Revenons sur la ligne de départ. Les atscafiens se préparent donc, hésitant entre vêtement court et long. La température matinale change à proximité d l’automne. Il fait frisquet ce matin.

Bruno M décide d’encadrer le groupe « découverte » composé de Nathalie, sa fille, Françoise et Evelyne L.

Tout le monde emprunte la vallée du Soanan où, dans la fraîcheur, nous nous gelons les doigts. Il y a des voitures mais 7 km sur cet axe constituent une bonne entrée en matière.  Après ce faux plat où Evelyne T mène le train on bifurque tous à droite sur la D106, direction Dième et le Col de la Croix de Thel. Cette côte est agréable puis devient difficile sur les 2 derniers km.

Au sommet du col (FR 69-0651) Evelyne L s’est détachée du groupe Découverte et rejoint les autres au sommet. Comme elle ne souffle même pas, nous lui demandons de rouler avec nous. Elle se laisse vite convaincre.

 

On repart en direction de Saint Just d’Avray par une minuscule route qui commence par un petit coup de cul. Nous sommes ravis de rouler tantôt en forêt, tantôt dans des landes, en découvrant les points de vue sur le Beaujolais. Et quel calme ! Le soleil se montre maintenant sans être trop chaud. Idéal vous dis-je. A la Joanna, le groupe refuse la tentation de la descente sévère vers Saint Just d’Avray. Nous contournons sagement l’obstacle et nous faisons bien car sans efforts et en savourant le paysage nous nous retrouvons au col de la Croix de l’Orme (FR 69-0730).  Nous nous y arrêtons car les cyclos vont se séparer.

 Evelyne L, Jacques G et Pierre décident de passer par le Col de la Croix des Fourches (FR 69-0776) pour rentrer par le circuit de 65 km.

Bruno J, Jean-Paul, Michel et Raymond décident de partir pour le circuit de 90 km.

Bernard et Evelyne T choisissent le même circuit mais rouleront à leur allure, c’est à dire très loin derrière. Après tout il n’y a pas de raison que les grands circuits soient réservés aux seuls véloces !

 

La suite de la balade traverse de magnifiques paysages. Saint Just d’Avray est atteint sans donner un coup de pédale. Pour rejoindre maintenant Grandris, la route alterne petite bosses et petites descentes tout en nous permettant de dominer la vallée de l’Azergues pendant 8 km. La longue et facile (car régulière) montée au col de la Cambuse (FR 69-0707) traverse les forêts de sapins odorantes. La météo est idéale : beau, frais, sans vent. La descente sur la vallée du Reins est un vrai régal. Il faut freiner pour admirer l’étang de Magny dominé par son petit château, ancienne colonie de vacances de la ville de Lyon. La route longeant le Lac des Sapins est assez connue de tous. Cette vallée qui fut ravagée par la crise du textile se relève grâce au tourisme vert. La montée au Quatre Vents est appréciée différemment selon l’allure choisie. Là Bernard a choisi de faire passer le circuit par le village de Ronno que nous évitons d’ordinaire. Ce joli petit bourg est à l’écart de la grande route. On n’y vient pas par hasard. Surtout à vélo quand on sait qu’il faut s’en sortir debout sur les pédales !

 

La D13 empruntée maintenant est cafie de voitures. Heureusement cela ne dure guère car aux Grillons, le circuit suit la minuscule D56. Super cette route ! Même si la DDE l’a copieusement revêtue de gravillons, surtout dans les descentes où c’est plus drôle pour les cyclos. Mais personne ne crève ni ne tombe. Pour compenser le revêtement le paysage est splendide. On mesure ce que fut la tempête de 1999 car les traces du souffle sont encore visibles dans les forêts telles des cicatrices géantes. Le Col des Cassettes (FR 69-0623) est atteint sans problème car nous sommes essentiellement en plat ou en descente.

Encore une descente de rêve sur Tarare. On voudrait que cela dure plus de 5 km !

Bien ! Il n’y a plus qu’à remonter ! C’est ce que nous faisons en nous hissant sur le relief séparant la vallée du Soanan de celle de la Turdine. C’est assez difficile. Heureusement les maisons sont belles et nous avons à notre droite en permanence un panorama intéressant. Au sommet une petite route jamais empruntée par le club rejoint Dareizé, petit village vigneron. Ce chemin vicinal est bien sympathique puis soudain bascule par une pente de 16% sur le village. Au bas de la pente, il y a un stop. Qu’y a déposé la DDE ? Bien sûr des gravillons rendant ainsi l’arrêt impossible et le virage problématique. Ami lecteur si tu connais des « responsables » à l’Equipement n’hésite pas à t’ouvrir à eux de nos doléances quant à l’utilisation massive du gravillonnage sur les routes préférées des cyclos.

 

Le retour dans la vallée du Soanan s’effectue à la Tracole. Et hop le circuit remonte immédiatement à Saint Vérand, village très fleuri du pays des Pierres Dorées. C’est la dernière difficulté du jour car il n’y a plus qu’à se laisser glisser dans la vallée de l’Azergues et de rejoindre Les Ponts Tarrets par 2 km de plat.

A l’arrivée le compteur montre que le circuit faisait bien 90 km très précisément (pour une fois) et que la dénivelée s’élevait  à 1.592 m.

 

Et voilà ci-dessous le compte-rendu du groupe des Véloces effectué par Raymond.

 

« Chouette circuit Bernard, vraiment c’était beau. On s’en est mis plein les yeux.

On s’en est mis plein les pattes aussi, vu l’allure TGV* de notre groupe (*Touristique Grand déVeloppement).

Avec Bruno (iron man), Jean-Paul (le nouveau), Michel (l’homme qui n’aime pas monter) et mézigue, nous sommes donc partis devant.

Pas de problème dans la grande descente sur Grandris, super roulant... surtout sur les gravillons.

Et puis la première grimpette jusqu’au col de la Cambuse : pas raide du tout cette montée, mais ça manquait quand même d’un peu d’air. Va savoir pourquoi !

Un petit arrêt pour se regrouper, boire un coup, apprécier cette belle nature, et c’est reparti mon kiki.

Non seulement ça monte vite, mais la descente c’est pas tristounet.

Bruno, il a du « tempo » du bon, du vrai ; Michel, il a des ailes en descente ; Jean-Paul en position d’œuf me double facile sans pédaler à tel point que je me demande si je ne suis pas sur la jante !

« Cublize », tout le monde descend, ouf ! Jean-Paul parti sans munition a faim. Pas de pot, y’a pas la queue à l’épicerie et il faut repartir.

Comme il fait un chouette temps, ça stimule. N’hésitons donc pas à mettre quelques dents en moins. Quitte à s’envoyer en l’air, faut pas hésiter sur les moyens.

J’accompagne Bruno jusqu’en haut de la grimpette qui nous amène à Ronno. Jean-Paul arrive derrière après avoir pris le temps de se ravitailler suivi de Michel qui n’aime toujours pas monter.

On continue en direction du Col des Cassettes et tout en montée s’il vous plait ; 8 km seulement, ah bon… !  Il fait toujours beau et l’adrénaline est toujours là.

Vas-y mon kiki, Bruno en tête laisse une odeur de gomme sur la route, puis Jean-Paul qui bien que nouveau n’est pas novice côté efficacité, puis toto et Michel.

Bruno prudemment nous attend pour nous empêcher de suivre la route principale vers le col du Pilon ; mais Michel préfère rentrer directement.

On arrive au Col des Cassettes qui nous offre son relief accidenté et de magnifiques forêts.

Pas triste la descente, tout en dérapage sur les gravillons qui recouvrent complètement la route. C’est très dangereux. Quand même Messieurs les Pouvoirs Publics, trouvez autre chose au 21ème siècle pour refaire les routes.

On arrive ensuite, tous en bas à Tarare, entiers et sans crevaison.

Et c’est là que l’on croit qu’on va rentrer pépère sur les Ponts Tarrets ! Eh bien oublie ça « cyclotouriste », mets ton petit plateau, le grand pignon et appuie fort et longtemps aussi, autrement ça passe pas.

Peut-être 3 km de montée avec les jambes qui font mal. C’est la côte en trop, je me traîne.

Bruno m’attend pour m’indiquer la bonne bifurcation et éviter un retour à la case départ, merci Bruno.

Ah, voilà la descente sur les Ponts Tarrets. Un bout de descente entre 15 et 20 % qui se termine sur du gravillon nous empêche, Jean-Paul et moi, de nous arrêter à un croisement. Quand même aller foutre du gravillon à des endroits comme ça, il y  en a qui marchent sur la tête !

Vu l’heure et la fatigue on décide de court-circuiter le détour par Saint Vérand et de rentrer directement par le faux-plat descendant sur les 5 km restant. Ouf !

Qui a dit ouf ?

Bruno attaque le faux-plat à plus de 40. Quelle locomotive, impressionnant !

J’étouffe derrière Jean-Paul, mais je me dis que Bruno va bien se calmer quand même.

Et c’est maintenant Jean-Paul qui en remet une couche, et puis Bruno, et puis… c’est comme ça sur 5 km

Le bon coté c’est qu’à cette vitesse (+ - 40 ) on ne souffre pas trop longtemps.

Et puis… cette fois-ci  vraiment « ouf» : La + belle pancarte du monde : « les Ponts Tarrets ».

On y retrouve le groupe « découverte » très enthousiaste de leur sortie malgré le fait d’en avoir aussi un peu bavé dans la montée après Tarare.

Nous échangeons nos commentaires.

Bernard et Evelyne T, aussi sur le circuit du 90 km, quelque part vers Tarare nous font savoir qu’il est préférable de ne pas les attendre vu l’heure.

Quelle splendide sortie, à la fois touristique et sportive, sous un temps canon. La vie est belle, vive le vélo ! »

Raymond

 
 Voilà maintenant le compte-rendu du groupe  « Découverte » fait par Bruno M.

A noter que le circuit comportait 35 km mais que Bruno, devant la forme de ses ouailles, a corsé le menu. Un doute subsiste  néanmoins sur la réalité des 1.500 m de dénivelée.

 

« Après 7 km de route, nous arrivons au col de la Croix de Thel (1° col). Quelle surprise !!!   + 10 % dans le village de Dième ! A Valsonne, nous décidons de monter au col des Cassettes par la D 82
(2ème col) avec 3 km de montée et une pente très régulière, plutôt que de
descendre la D13. Nous redescendons sur Tarare pour grimper à nouveau (3ème col) avec

environ 6 km de côte, puis nous descendons sur Dareizé avec un passage à
20 % et un autre à 15 %. Arrivés sur la D13, nous décidons après discussion de suivre le parcours
 Découverte par Saint Vérand et une côte (4ème col) avant de rejoindre les
Ponts-Tarrets.
Parcours Découverte 50 km et 1.500 m de dénivelé ( ???) modifié pour augmenter
les kilomètres de descente. »

Bruno


De son côté Evelyne T a tracé le circuit sur openrunner.

« Voici le tracé de notre superbe sortie : http://www.openrunner.com/index.php?id=27843

openrunner annonce 92,6 km et 1.824 m en dénivelée positive soit environ 14% de plus que nos altimètres, je trouve que c’est beaucoup ! »

Evelyne

 

II/ LA SORTIE DU CLUB DE SAMEDI PROCHAIN

 

Samedi 29 Septembre 2007

à Tarare (69)

RV pour partir à 8H précises

 

Note pratique : On se garera sur les places de stationnement situées devant le stade de rugby, à gauche de la grande route, quand on vient de Lyon, avant le centre-ville.

 

III/ DIMANCHE PROCHAIN 

 

Vous ne pouvez pas rouler samedi ? La balade de samedi ne vous suffit pas ? Vous souhaitez voir votre club obtenir le « Trophée Rhodanien » ? Une solution : participez aux rallyes organisés par d’autres clubs le dimanche comme celui qui suit.

 

Ø Dimanche 30 septembre a lieu « L’Ampl’ Rando d’automne » organisée par le club FFCT du « Val de Reins cycliste».

Départ de 7h 30 à 9H 30 du complexe sportif G. Bourbon à Amplepuis. 

Clôture de la randonnée à 13 H.

Parcours route de  35, 65 et 80 km.

Parcours VTT de 20 et 40 km.

Renseignements : Florent Portier au 04 74 89 24 10.

Tarif : 4€ pour les licenciés FFCT. 6€ pour les autres.

 

IV/  LES POTINS DU PELOTON

 

Ø A l’heure qu’il est Pierre GALLAND et Jacques GRELAT, revêtus de leur tenue atscaf, ont dû terminer l’Etape de Légende. Ils nous diront, une fois remis de leur fatigue, comment cette journée s’est passée. Cette initiative cyclo, organisée chaque année par l’ASO sur une étape mythique du Tour de France,  correspondait au parcours Strasbourg - Ballon d’Alsace. En 1977 cette étape avait été  remportée par Lucien Aimar dans des conditions apocalyptiques. Ce jour-là Raymond Poulidor perdait toute chance de gagner le Tour de France.

Mais qu’est ce qui me prend de parler compétition dans une revue cyclotouriste ???

 

Ø Martine SILBERSTEIN  n’a pas pu se lever samedi dernier . Elle a néanmoins fait du vélo. 50 km, seule, et dans le Pilat s’il vous plait : Saint Cyr sur Rhône en passant par le col du Bourrin, avant le col de la Croix Régis ( FR 69-0501) et le retour par Vienne et Chasse.

 

Ø  C’est samedi matin que Yann BRIZAIS non plus n’a pas pu se lever. Même pénitence : il a dû pédaler seul. Voilà son compte-rendu du week-end :

« Samedi 22 septembre, ayant décidé de ne pas mettre le réveil, je pars seul vers 10h 00 pour une sortie dans l’Est Lyonnais. L’itinéraire : Bron, Genas, Jons, Balan, Saint-Maurice-de-Gourdans, Loyettes, Pont de Chéruy, Colombier Saugnieu, Saint Laurent de Mure, Genas, Bron.

Une sortie de 86 km, sous le soleil avec peu de vent,  un itinéraire plat et tranquille sauf la traversé de Pont de Chéruy que j’éviterai à l’avenir.

Dimanche 23 départ vers 9h30 : Bron, Genas, Colombier, Villemoirieu, Colombier, Saint Laurent de Mure, Genas, Parilly, Bron. Au retour un petit détour par « Roue Libre » où n’y avait pas grand monde. Une sortie de 75 km avec un ciel couvert avec un peu de pluie. »

 

Ø  Le club a reçu le sympathique mot de remerciement de Philippe DESIRE  ce cyclo-touriste accompagné de ses deux enfants avec qui nous avons partagé notre pique-nique lors de la concentration départementale à Theizé. Le malheureux ne savait pas qu’il fallait apporter son repas.

 « Bonsoir ! Je veux vous remercier pour l'accueil de ce dimanche à Theizé pour moi et mes 2 enfants (oui le grand avec la remorque) et d'avoir partagé votre pique-nique.
Salutations et à bientôt sur la route. J'ai regardé votre site : c'est sympa ».

Ø Il y a quinze jours Jean-Jacques PECH n’a pu participer à la sortie du club. Il tenait en effet le stand de la FFCT à VitalSport, initiative organisée par  le magasin Décathlon de Bron. L’affluence a été telle que notre JJP a eu toutes les peines du monde à trouver un moment pour manger un morceau à midi. Espérons que ces efforts paieront en terme de renforcement du cyclotourisme.

 

Ø Pour ne pas sombrer dans le désœuvrement et éviter une rupture brutale après le Paris-Brest-Paris, Christophe BOURNAC s’est fixé immédiatement d’autres objectifs. Il s’est lancé dans la course à pied. Il a déjà des résultats. En effet il a participé au semi marathon de Lyon ce dimanche. Il a terminé l’épreuve en même pas 2H. Il est satisfait et nous lui disons bravo.

 

Ø Corinne DAMERON que nous avons déjà présentée nous a envoyé ce petit mot après avoir reçu la « Lettre » traitant de notre balade partant de l’Arbresle.

« Je viens tout juste de terminer mon travail et j'ai lu avec plaisir votre lettre N° 284. C'est un parcours que nous avons déjà fait plusieurs fois et vos commentaires "à côté" m'ont ravi. J'ai refait le parcours en vous lisant et y ai vu ce que l'on ne prend pas toujours le temps de découvrir... Pour info et au cas où vous retourneriez à Bibost, il aurait effectivement fallu emprunter cette "méchante" route gravillonnée sur la gauche pour éviter la N89. Cela dit le retour en plat descendant n'est pas pour déplaire à ceux qui ont souffert lors de la sortie, non ?

Demain j'ai pris une journée pour aller faire des cols du côté de Tarare (Sauvages, Pin Bouchain, Pilon et autres. »

 

V/  LE COIN VELOCIO

 

Ø La « Lettre » avait annoncé la fermeture en juillet du magasin Follis, rue Danton dans le 3°. Daniel Guédon, un autre artisan-vélociste, dont l’atelier était situé jusqu’à présent rue Elie Paris dans le même arrondissement, a repris le stock de Follis ainsi que son ouvrier-orfèvre. Il poursuivra, outre ses belles spécialités, la fabrication des tandems et des randonneuses. Il a commencé son installation dans le magasin situé juste en face de Follis. Bernard et Evelyne sont allés le rencontrer. Il connaît bien un autre atscafien, Eric PECRIAUX.

Si vous voulez en savoir plus, voilà son site : http://www.cyclesdguedon.com/

 

VI/  LA VIE DU CLUB

 

Ø  La rentrée des cotisations à l’ATSCAF Rhône continue pour la nouvelle saison 2007/2008.

31 membres de la section cyclotourisme ont déjà renvoyé leur bulletin et leur chèque. Etes-vous sûr de ne pas avoir oublié de le faire ? Pour vous aider vous trouverez de nouveau en pièce jointe le bulletin d’adhésion ou de ré-affiliation à l’ATSCAF Rhône.

 

Ø La réunion du Comité Directeur du club s’est tenue samedi 22 septembre en soirée. Le compte-rendu sera rédigé par Chrystel BERTRAND qui a assuré le secrétariat de ladite réunion. Naturellement la « Lettre » publiera comme à l’ordinaire ce PV.

 

Ø A propos de travaux d’écriture, Jean-Jacques PECH nous informe qu’il met la dernière main à son compte-rendu du Paris-Brest-Paris. La aussi la « Lettre » publiera sous forme de feuilleton à épisodes le récit de cet exploit.

Bernard CHAREYRON