atscaf cyclo 69 . Club FFCT n° 07061

 

 

 

 LA LETTRE n° 280

 

Lyon, le 12 Août 2007

 

LES CYCLOS DE L’IMPOT-CIBLE !

 

Le titre vous est gracieusement offert par Gérard MARTIN en clin d’œil à l’origine financière de notre club corporatiste et à ses objectifs de balade plus ou moins irréalistes. Mais vous comprendrez mieux en lisant le compte-rendu de la sortie de samedi.

 

I/ SAMEDI DERNIER AVEC LE CLUB

 

Yann BRIZAIS, Jean-Pierre CHECCACCI, Bruno JACQUET, Jean-Claude JACQUET-FRANCILLON, Evelyne LEFRANCOIS, Rodolphe MALESKI, Gérard MARTIN et votre serviteur se retrouvent, malgré le creux estival, devant l’église d’Ampuis.  Il ne fait pas très chaud et assez gris. Chacun se doute bien que le programme va inclure certainement quelques ascensions dans le massif du Pilat dont nous sommes tout proches. Nous sommes également tout proches de Vienne. Subséquemment Jean-Claude qui nous en avait fait la promesse vient nous rencontrer. C’est la première fois que ce nouveau membre de notre club, tout jeune retraité des Impôts vient pédaler avec nous. Il habite Vienne et ne prend jamais sa voiture pour aller faire du vélo. C’est un choix ! Nous sommes contents de sa venue.

Comme il connaît les lieux c’est lui qui nous guide dès le départ sur une petite route nous permettant d’éviter une portion de la RN 86. Pour changer de l’itinéraire classique nous traversons le Rhône sur le barrage de Reventin-Vaugris pour descendre la vallée par la rive gauche. Le courant est fort et l’ouvrage turbine les kilowatts à tout va. Indifférents à cette activité les cormorans et autres oiseaux non identifiés prennent leurs aises sur les bords du canal de fuite. Le peloton longe le fleuve-roi et les paysages sont intéressants comme aux Roches de Condrieu. En revanche le profil de la route et la circulation, même si elle n’est pas très intense,  ne permet pas de rouler facilement à deux de front pour discuter entre nous. C’est dommage car pour une fois nous pourrions parler sans être essoufflés ! La portion de plat dure bien en effet 15 km. Rodolphe est enchanté et du rythme et du relief. Il se dit capable de descendre ainsi jusqu’à Marseille. Il est vrai que nous avons le vent dans le dos. Le paradis, quoi ! Un seul souci : les nuages couvrent le massif du Pilat dès une altitude estimée à 500 m. Nous longeons la centrale nucléaire de Saint Alban-Saint Maurice l’Exil. Elle passe presque inaperçue or elle produit l’électricité susceptible d’alimenter 11 fois la ville de Lyon. Nous repassons sur le Rhône et arrivons à Chavanay. Nous sommes à pied d’œuvre, il va falloir maintenant grimper ! On s’arrête donc pour enlever nos blousons. A peine avons nous fait 100 mètres d’ascension sur la D7 menant à Pélussin que Rodolphe crève. Bernard s’arrête pour l’assister et propose aux autres de continuer leur route et de nous attendre 6 km plus haut, c’est à dire à Pélussin. Heureusement que Rodolphe a de l’aide car il a oublié ses démonte-pneus ! Alors que la réparation commence un maillot rouge s’arrête à notre hauteur. C’est Raymond BUCHALIN qui est arrivé en retard au rendez-vous d’Ampuis. Mais grâce au plan laissé sur le Toyota, il nous a retrouvés. Raymond prend sa part dans le dépannage. Et crac !, au moment où on gonfle le pneu, l’embout de la valve se casse ! Grrr ! Il faut recommencer. Raymond nous apprend une méthode pour gonfler avec plus d’efficacité en coinçant la roue contre un muret par exemple. Nous repartons. 200 mètres plus loin, -nous sommes toujours à Chavanay !- le pneu est de nouveau à plat ! Rodolphe s’aperçoit qu’il nous a donné le pneu crevé pour effectuer la seconde réparation ! Nouvel arrêt et nouvelle réparation. Pendant ce temps Yann téléphone car le groupe est déjà arrivé à Pélussin. Vu les délais, nos amis sont autorisés à prendre le large. Un trio composé de Bruno, Jean-Claude et Yann s’élance donc. Le récit de leur balade est rédigé par Yann et figure ci-dessous.

En raison du retard, Rodolphe propose de rouler seul et d’effectuer le circuit de 50 km moins exigeant que celui que les autres atscafiens vont emprunter. C’est la sagesse même compte-tenu de son genou.

Raymond et Bernard montent cette large route et retrouvent Evelyne, Gérard et Jean-Pierre qui se gèlent à les attendre à Pélussin. A partir de ce moment nos 5 amis ne se quitteront plus. Nous sommes désormais dans le brouillard et les nuages. Il ne pleut pas vraiment mais il fait très frais et l’air est saturé d’humidité. La montée au Collet de Doizieux est théoriquement fort belle. Mais on n’y voit rien du tout ! La buée ajoutée aux gouttes d’eau empêche de voir au travers des verres de lunettes. C’est problématique quand on porte des lunettes de vue !  Mais votre serviteur parvient à ne pas sortir de la route en se fiant à la bande blanche centrale, seul repère qui lui reste ! Si nous sommes bien au mois d’août nous devons être en Ecosse ! Finalement à force de pédaler dans la ouate, et en étant privés de tous les panoramas qui normalement s’offrent au regard dans les trouées des forêts de sapins, nous arrivons 9 km plus tard au Collet de Doizieux (946 m) appelé aussi la Croix du Collet. Malgré son nom c’est un vrai col, dûment homologué comme tel sous la référence FR 42-0946. Il y a  peu d’écart entre chacun des membres du peloton. Bravo Evelyne !

 

L’arrêt au sommet ne dure guère en raison de la météo. Personne ne songe à grimper le col de l’Oeillon proposé au menu du jour. Le masochisme a ses limites ! Il faut donc descendre mais en étant très prudents car les freins ne sont pas d’une efficacité redoutable quand la chaussée est détrempée. Et toujours gin de (1) visibilité !  Notre prudence est bienvenue car en plein bois il faut s’arrêter net : un tracteur débarde des troncs de sapins en plein milieu de la D120. Au carrefour de Doizieux nouvel arrêt pour décider de notre trajet. Comme la descente menant à ce village est de 15 % sur une petite portion, nous décidons de contourner l’obstacle et de passer par Saint Just  en Doizieux. La route est beaucoup plus calme et offre une vue sur le barrage. En effet nous sommes passés sous le nuage. Cela ne durera guère car nous arrivons à la Terrasse en Dorlay. C’est dans ce village sympathique que la descente se transforme immédiatement en remontée...dans les nuages. Et oui, il nous faut conquérir notre second col de la balade : la Croix de Montvieux (FR 42-0811). Il y a environ 8 km à grimper à des pourcentages raisonnables. Mais la fatigue se fait néanmoins sentir dans cette deuxième ascension. L’arrivée au sommet, à 811 m, a lieu dans une grisaille décourageante. Les palabres pour déterminer la route à prendre désormais aboutissent très rapidement. Il fait froid, il fait humide, il fait faim, il est tard : rentrons au plus vite ! Le groupe décide donc d’abandonner le circuit tracé et de descendre au plus droit sur le Rhône et de remonter par la RN 86. Tant pis pour les piémonts du Pilat, ce sera pour une autre fois ! A partir de ce moment tout va aller très vite. La descente sur Pélussin est un vrai plaisir. Gérard nous fait néanmoins peur car il descend comme à son ordinaire très vite, trop vite et manque rater un virage car le sol est glissant. Mais notre ancien coursier a gardé de sacrés réflexes : il contre-braque, se déporte sur la partie opposée de la chaussée (où il n’y a heureusement pas de voiture) pour changer de trajectoire. Ouf ! Mais le casque ne serait pas du luxe ! De Pélussin à Chavanay, la route est large et permet de descendre en toute sécurité sans presque utiliser les freins. Nous retrouvons un temps dégagé sur les bords du Rhône. La RN 86 n’est pas forcément une partie de plaisir vu la circulation, mais nous sommes pressés. Gérard se place donc devant nous, roule régulièrement à 28 km/h malgré le vent contraire. Il emmène ainsi dans son sillage le reste du peloton bien à l’abri dans sa roue et qui le remercie de son aide précieuse.

 

A l’arrivée à Ampuis nous retrouvons Rodolphe. Il a effectué le circuit des piémonts du Pilat mais l’a allongé en allant visiter le très beau village médiéval de Malleval qui était le but prévu pour le  groupe « Découverte ». Même seul il s’est dit heureux d’avoir bénéficié de ce circuit où il a pu rouler à son rythme sans trop solliciter son genou à essayer de suivre les copains.

Naturellement la discussion s’est achevée à la terrasse d’un café qui n’a pas été trop difficile à trouver dans cette commune. Nous avons finalement parcouru 79 km avec 1.250 m de dénivelée.

 

Le glossaire lyonnais-français

 

 (1)   Gin de (loc. adv) : Point de, pas de. 

 

 

Complément du récit par le groupe des « véloces » rédigé par Yann

 

« Le temps est maussade, ce samedi matin à Ampuis. Nous partons tous ensemble jusqu'à Chavanay, où Rodolphe crève. Bruno, Jean-Claude et moi n’attendons pas que la réparation soit effectuée et partons en direction de Pélussin. A Pélussin après quelques minutes d’arrêt, ne voyant personne arriver j’appelle Bernard qui m’annonce qu’ils ont eu des problèmes pour réparer et que Rodolphe a encore crevé. Ils sont donc toujours à Chavanay. Bruno, Jean-Claude et moi décidons alors de ne pas attendre et nous prenons la direction de la Croix du Collet. Chacun grimpe à son rythme. Le temps se gâte, nous grimpons dans les nuages et sous une pluie fine. Nous nous retrouvons à la Croix du Collet. Vu le temps nous décidons de faire le circuit de 85 km au lieu de faire un des circuits qui passent par le Crêt de l’Oeillon.
La descente dans les nuages et sous la bruine est effectuée pour ma part très prudemment, jusqu’à la scierie où la bonne visibilité et les lignes droites me permettent d’accélérer. Arrivé à un carrefour, il y a 2 directions pour La Terrasse sur Dorlay, je décide d’aller tout droit et après 3 km j’arrive à Saint-Just-en-Doizieux. Je ne suis pas sur le bon parcours et ne sachant pas où mes compagnons de route m’attendent, je fais demi-tour pour rejoindre le parcours. Peu avant la Terrasse sur Dorlay, au croisement avec la route de Saint-Just-en-Doizieux, je retrouve Bruno qui est au téléphone avec Bernard car il s’inquiète de mon retard. Bruno m’annonce que cela fait 15 minutes qu’il m’attend et Jean-Claude est parti devant. Nous entamons alors la montée vers le Col de la Croix Montvieux où nous attend Jean-Claude. Bruno regarde le parcours et décide de rejoindre Ampuis en passant par l’itinéraire le plus facile : Pélussin puis Chavanay.

Jean-Claude et moi entamons la descente. Arrivés à Pélussin nous prenons la route en direction de Chuyer. C’est une succession de bosses et le vent de face est présent. Arrivés à Le Recru,  Jean-Claude me quitte et prend la direction de Vienne. Pour ma part, je prends la direction d’Ampuis. Dans la descente la vue sur la vallée du Rhône est magnifique.

Arrivé à Ampuis, je vois Rodolphe qui est arrivé depuis quelques minutes. Ne sachant pas où en est le groupe de Bernard je décide de rentrer sur Lyon.

Une superbe randonnée de 94 km et environ 1.800 m de dénivelé à refaire par beau temps »


Yann BRIZAIS joint à son récit le plan du circuit effectué par son groupe. Cf le lien suivant :

http://www.openrunner.com/index.php?id=21170

II/ LA SORTIE DU CLUB DE SAMEDI PROCHAIN

 

Ø Le Comité Directeur n’avait pas prévu de sortie pour samedi prochain compte tenu du nombre d’absents. Mais, il appert que Raymond BUCHALIN et Jean-Pierre CHECCACCI seront sur place. Ils se portent volontaires pour organiser la sortie. Elle aura donc lieu :

 

Samedi 18 Août 2007

à Crémieu (38)

RV pour partir à 8H précises.

 

Note pratique : On se retrouve sur le parc de stationnement  situé sur votre droite quand vous venez de Lyon,  face à la première porte fortifiée des remparts.

 

III/  LES POTINS DU PELOTON

 

Ø Martine SILBERSTEIN a trouvé un nouveau boulot. Elle travaille désormais au Conseil Général sur le quartier de Gerland. C’est bien mieux pour elle que ce qu’elle connaissait précédemment !

 

Ø Raymond BUCHALIN a séjourné en juillet à Obernai avec son association de cyclos des télécoms de différents pays européens. Il a effectué avec ses collègues deux sorties de 110 km avec 1.100 et 1.300 m de dénivelée. Il regrette que l’esprit cyclotouriste et convivial du début soit remplacé progressivement par l’esprit cyclosportif.

Il repart avec sa femme (et son vélo) pour un bref séjour à Langres, terre très propice au cyclotourisme.

 

Ø Gérard MARTIN a tourné les jambes jeudi dernier. Le matin 75 km à Parilly et l’après-midi 75 autres km sur la route. Une broutille pour lui.

 

Ø Christophe BOURNAC  a roulé comme à son habitude très tôt. En effet le samedi à 9H 57 il laissait le message suivant sur le forum.

« Une petite sortie ce matin de 100 km entre Genas et Vienne, retour par Lyon, le tout en 3h 45 ».

 

Ø Nous avons reçu des nouvelles de Bernard et Chantal LEVALLOIS. Voilà leur message in extenso. Nous leur souhaitons bonne chance dans leur nouvelle vie !

 

« Chers amis,

Nous n'avons pas donné de nouvelles depuis longtemps et le moment est venu de vous dire ce que nous devenons.  Par où commencer ?

Par Lyon d'abord que nous avons quitté définitivement le 24 juillet dernier avec deux camions de déménagement, destination Risoul où nous habitons désormais. Pour ceux qui connaissent le coin, je précise que nous ne sommes pas dans la station (à 1.850 m), mais au bout d'un hameau aux environs de 1.100 m, pas très loin de la mairie et de l'église, et pas loin non plus de Guillestre qui est notre point de repère pour les magasins, poste, etc.

Nous avons pratiquement passé tout notre temps depuis le 24 juillet à déballer nos affaires, remonter les meubles, installer les rideaux etc., etc. Nous commençons seulement à émerger, la preuve : je trouve enfin le temps de répondre à mes mails.

Ensuite, New York. J'y suis parti seul le 10 juin, un peu en catastrophe, j'ai eu tout juste le temps, deux jours avant, de faire un pot de départ à la Chambre des Comptes. Je ne vous raconte pas New York, vous connaissez déjà ou vous avez vu des photos, etc. Juste un mot pour dire que nous allons nous y plaire. Nous avons un quatre pièces dans un petit immeuble de 8 appartements sur 4 niveaux dont un est le fameux "basement" en dessous du niveau de la rue. Nous sommes au dernier étage sans ascenseur avec terrasses donnant sur des jardins intérieurs. Ce serait presque idyllique si les climatiseurs en dessous, à côté et en face ne faisaient un ronronnement puissant et n'ajoutaient à la chaleur du dehors : du coup on fait comme les autres, on s'enferme et on branche ses propres climatiseurs. J'espère tout de même que ces appareils se calmeront à l'intersaison et que nous pourrons enfin profiter de ces belles terrasses.


Je suis rentré de New York le 15 juillet pour le déménagement après quelques jours à Genève et Paris pour le boulot, et nous repartons le 3 septembre pour New York, Chantal et moi cette fois-là. Ce sera alors vraiment le début de notre séjour américain.

Et le vélo dans tout ça ? Pour le moment c'est la grande victime de tous ces changements à la fois de travail et de lieux de vie. Nous avons tout de même l'intention d'explorer les possibilités de faire du vélo à New York. Il paraît que c'est possible dans Central Park dont notre logement est très proche. Nous vous raconterons cela.

En attendant de nous  remettre nous-mêmes au vélo, nous admirons et envions vos propres exploits, et, par avance ceux de la bande des quatre qui vont se lancer dans le Paris-Brest-Paris. Nous  suivrons leur progression comme indiqué dans la Lettre. (En effet l'ADSL fonctionne y compris à Risoul, même si pour obtenir le branchement de notre ligne téléphonique Chantal, depuis Lyon, a dû utiliser toutes ses réserves d'énergie et si j'ai dû moi aussi, une fois arrivé sur place à Risoul, me battre à mon tour pour que l'ADSL demandé depuis début juin soit effectivement mise en service : évidemment notre compte avait été débité depuis fin juin pour un service qui n'a été effectif que début août !). Bref nous sommes en mesure que ce soit ici à Risoul, ou dans quelques semaines à New York, de rester en contact avec la vie du club et les prouesses de ses membres.

Amitiés à tous.»

 

IV/  LE COIN VELOCIO

 

Ø En août 2006 lors de la sortie longue du club dans le Bugey les atscafiens présents allaient de Montgriffon à Aranc en passant par Résinand. Ce faisant ils franchissaient sans le savoir le col des Pezieres (FR 01-0800). Nous l’avons découvert en fouillant le catalogue des cols routiers de France (Le Chauvot). Les collectionneurs peuvent ainsi compléter leur palmarès.

 

Ø Yves DUBOST, bien connu maintenant des atscafiens, revient d’un voyage au Danemark où il était guide-accompagnateur d’un circuit qu’il a conçu pour la FFCT. Il en a rédigé de très plaisantes notes de voyage. Elles peuvent vous être envoyées sur demande si votre boite aux lettres électroniques accepte des messages de 6 M.O. Eh oui les notes sont accompagnées de photos !  Voilà le courriel d’Yves pour vous mettre en rapport avec lui : yves.dubost@club-internet.fr

 

Ø Extrait de presse. « Samedi 9 juin des centaines de cyclistes ont manifesté nus sur leurs vélos dans plusieurs villes du monde, dont Paris (pour la première fois cette année à l'initiative de l'association Velorution), afin de protester contre les transports urbains motorisés. Dans la capitale, la Préfecture avait interdit la manifestation et cinq manifestants devront répondre "d'exhibition sexuelle".  
Le but était de mettre en évidence "la fragilité du cycliste dans le trafic urbain". Les manifestants avaient bariolé sur le ventre ou le dos "attention fragile".

Ø Un autre extrait de presse. « Forte de plus de 130.000 cyclistes et 480 km de pistes cyclables, Strasbourg a inauguré le plus grand parc à vélos gardé et couvert du pays, d'une capacité de 850 places. Pour marquer l'événement et célébrer la fête du vélo, le maire de Strasbourg Fabienne Keller et le président de la Communauté urbaine, Robert Grossmann, sont arrivés sur les lieux en pédalant sur un tandem ! Les 850 places du parc à vélos de la gare s'ajoutent aux 520 places de deux autres parcs proches, couverts et gardés, et à plus d'une centaine d'arceaux sur la place, soit une offre totale de 1.600 places à proximité de la gare. » 

Ø Lu dans la lettre électronique de Vélo’v : « "Véli'b", le cousin de Vélo'v, a été inauguré le 15 juillet à Paris (10 648 vélos répartis sur 750 stations pour un total de 20 600 vélos et 1 451 stations au 31 décembre 2007). Le Grand Lyon souhaite à Paris la "bienvenue au club" des villes en vélos partagés dont la 1ère réunion se tiendra à Lyon dans le cadre du Congrès des villes cyclables (800 collectivités, les 17, 18 & 19 octobre 2007). Ce club de travail réunira l'ensemble des villes qui ont décidé de se doter de vélos en libre service : Lyon, Paris, Marseille, Rennes, Mulhouse, Besançon, Orléans, Aix-en-Provence et Toulouse. A terme, ce réseau pourra s'étendre aux villes européennes et étrangères : Bruxelles, Barcelone, Séville, Genève, ainsi que Chicago et San Francisco qui préparent leur appel d'offres. L'objet de ce nouveau club sera de partager les expériences, les innovations et d'envisager la compatibilité des cartes d'abonnement. »

V/  LA VIE DU CLUB

 

Ø Lisez attentivement le message joint intitulé « le coin de la trésorière ». Vous y saurez tout sur le montant du chèque que vous allez recevoir prochainement. Si vous recevez une enveloppe des Impôts, ne la jetez pas rageusement ! Pour une fois elle peut contenir un chèque !

 

Ø J-7. C’est dimanche prochain que commence l’aventure du Paris-Brest-Paris pour Christophe, Chrystel, Florian et Yann. Ils sont fin prêts ! Nous leur souhaitons bonne chance et suivrons leurs exploits en direct selon la procédure indiquée dans la « Lettre » précédente. Leurs 2 accompagnateurs sont aussi impatients qu’eux. Jean-Jacques sera leur conseil et revivra ses propres souvenirs en les suivant et les soutenant. Il sera secondé par Rodolphe qui se fait également une fête d’être de la partie.

 

Ø Le grand jeu de l’été. Dans le dernier numéro (juillet-août) de « Cyclotourisme », la revue de la FFCT, on aperçoit  à plusieurs reprises des atscafiens.

Question : Combien sont-ils ? De qui s’agit-il ? Quelles pages ?

Réponse à faire parvenir par retour de courriel.

Le vainqueur se verra offert un abonnement gratuit à la « Lettre ».

 

Ø Gérard CHAVANNE est un collègue des impôts qui est parti à Strasbourg voilà quelques mois. Le club l’avait donc radié de sa liste de diffusion ne se doutant pas que nos informations pouvaient continuer à l’intéresser. Eh bien si ! Par l’intermédiaire de Jean-Claude JACQUET-FRANCILLON il a demandé de nouveau à la recevoir. C’est donc chose faite. Et avec nos excuses pour cette suspension intempestive d’envoi !  L’ATSCAF Rhône continue ainsi à tisser sa toile sur le territoire national !

 

Ø Evelyne JACQUEMARD, une randonneuse de l’ATSCAF rencontrée lors du week-end de Jausiers   souhaité recevoir la «Lettre ». Bienvenue à elle dans le club des lecteurs, beaucoup plus étoffé que celui des pratiquants. Mais des passerelles de l’un à l‘autre ne sont pas interdites !

 

Ø Une cyclote du nom de Corinne DAMERON nous a envoyé un message pour savoir ce que proposait notre club. Elle roule avec son mari et redoute les clubs à l’esprit cyclosportif. L’ATSCAF pourrait donc leur convenir. Nous leur avons écrit et invité à venir voir ce qu’étaient nos sorties. On les attend avec impatience.

Bernard CHAREYRON