atscaf cyclo 69 . Club FFCT n° 07061

 

 

 

 LA LETTRE n° 277

 

Lyon, le 24 Juin 2007

 

BICHE,  OH MA BICHE  !

(air connu)

 

I/ LA SORTIE LONGUE DU CLUB SAMEDI DERNIER

 

Seuls Evelyne LEFRANCOIS, Bruno MAILLOL, Rodolphe MALESKI et votre serviteur se sont retrouvés à Nantua pour la sortie « longue » annuelle du club.

Gérard MARTIN est bien venu mais il n’a trouvé le lieu de RV avec 45 minutes de retard perdant ainsi tout espoir de retrouver ses copains qui l’avaient pourtant attendu 30 minutes. Le fait de ne pas posséder de téléphone portable ne facilite pas les choses. Le récit sa journée très spéciale figure dans la rubrique « les potins du peloton ».

5 ou 4,  le nombre de participants à cette sortie décidée pourtant collectivement par le Comité Directeur n’est pas terrible. Il faut donc en tirer les conséquences pour l’an prochain. Le lieu de RV était sans doute trop éloigné. Cela a pu décourager les atscafiens qui avaient déjà fait la semaine dernière le trajet vers Barcelonnette. Evidemment la présence de l’Ardéchoise ce jour nous a privés automatiquement. de la participation de certains. Mais le but était justement d’offrir une alternative à ceux qui ne voulaient ou ne pouvaient pas aller à Saint Félicien.

Enfin il faudra certainement soigner le programme en prévoyant par exemple un repas au restaurant pour clore une longue journée de vélo. Le Comité Directeur aura prochainement l’occasion de revoir sa copie.

 

Même s’ils étaient peu nombreux les participants ont profité d’une superbe sortie et de magnifiques paysages sur des routes qu’ils ne connaissaient pas. Ils ont même engrangé de nouveaux cols. Ils remercient donc Jean-Pierre FROBERT qui avait conçu des circuits à leur intention. Dommage que ce dernier n’ait pas pu venir avec nous pour arpenter ce Bugey qu’il aime tant. Il devait en effet conseiller et soutenir son fils Sami pour un tournoi de tennis.

 

Contrairement à ce qu’écrivait le rédacteur de la « Lettre », qui voulait que tout le monde arrive à l’heure, la route pour arriver à Nantua se parcourt en 60 minutes et non en 1H 30. Du coup votre serviteur arrivant avec 1 minute de retard est le dernier et se fait copieusement chamber par un Rodolphe qui a eu le temps de visiter sommairement la ville.

 

Après avoir attendu vainement Gérard nous allons nous garer en bordure du lac où les scouts préparent une compétition de radeaux. Au milieu du défilé et des flons-flons de la fête des écoles nous achetons des victuailles pour la route. La balade démarre par une petite portion de RN 84. Les immenses viaducs de l’A40, « l’autoroute des Titans », nous dominent du haut de leurs 77 mètres. Le savoir-faire des ingénieurs laisse pantois. Evelyne est en tête même si il n’y a pas de plat pour s’échauffer. Aux Neyrolles, au bout de 2,5 km nous attaquons immédiatement les pentes menant au col de Bérentin à 1.144 m. Ca monte sans interruption pendant 5 bons km. Nous nous élevons rapidement au dessus de la cluse, du lac de Sylans d’un vert profond et même finalement des viaducs. La température est fraîche mais en grimpant ce n’est pas un problème. Nous traversons un tunnel où Rodolphe manque se faire tailler un short par une voiture le serrant de trop près. Effrayé il continue donc à pied l’ouvrage d’art pourtant éclairé. Nous arrivons à un hameau coquet fort justement appelé le Replat. Pour renouer avec l’effort physique intense Bruno et Bernard poussent –dans la montée !- un véhicule en panne pour venir en aide à deux automobilistes en carafe. Puis c’est une nouvelle portion de côte à partir du Poizat. Nous croisons des cyclos qui nous crient des « bon courage » et « vous n’avez pas pris meilleure route ». A peine le temps de réaliser et nous nous trouvons englués dans un épais tapis de gravillons. Argh ! Le supplice durera jusqu’au sommet c’est à dire pendant 5 km. Heureusement personne ne crève ni ne tombe mais l’exercice est périlleux dans une côte à 6% et nous fait oublier les somptueuses forêts que nous traversons. Qui pourrait expliquer à l’Equipement qu’existent d’autres techniques de réfection des chaussées que le gravillonnage ?

 

Au sommet, Rodolphe qui souffre toujours beaucoup de son genou, décide sagement de faire le petit parcours. Nous lui laissons les clés du Toyota et le trio continue sa route. Celle-ci passe par un autre col, le col de Cuvéry (1.178m) atteint par un faux-plat insignifiant au milieu des grasses prairies du plateau de Retord. Comme c’est calme et reposant ! L’hiver le ski de fond est roi dans ses vastes espaces ! Après le col un panorama grandiose s’offre à nous au Catray. On voit Bellegarde en bas, la retenue du barrage de Génissiat, le sud de la chaîne des Monts du Jura en face, la trouée menant à Genève, le lac d’Annecy, la Savoie. Le ciel serait moins couvert nous verrions le Mont Blanc. C’est maintenant la descente sur Ochiaz. Nous suivons les flèches du BCMF du Bugey qui a lieu ce week-end mais dont nous ne croisons pas les participants partant d’Hauteville.

 

A Billiat Bruno décide de rouler à son allure pour aller grimper le Golet de la Biche (1.325 m) qui impressionne tant les cyclos ! Evelyne et Bernard déclinent l’invitation : ils se rabattent eux sur la montée du col de Richemont (1.036 m). Cela leur suffit car l’ascension fait 8,5 km et oscille entre 6 et 7% et lest usante. Le col de la Biche que Bruno grimpe sans problème est lui entre 8% et 10%. Le départ dans le village de Gignez affiche même 12%,  de quoi calmer les plus fougueux !

 

Nos trois amis, à des moments différents, rejoignent Hotonnes par une belle descente. La courte montée sur Ruffieu n’en apparaît que plus vicieuse. Dans ce village le couple s’attable à la terrasse d’un bar et engloutit ses provisions.

Les jambes sont lourdes ensuite pour remonter le Valromey par les lacets du Petit puis du Grand Habergement jusqu’à proximité du col de la Cheminée( (925m) que Bernard va honorer. On voit trois lamas paître dans un pré vers une auberge. La route qui suit est une vraie splendeur. A partir d’un autre col, le Gollet Géla ( 937m), elle est très étroite, mais en très bon état. Elle serpente entre les prés et les bois sans beaucoup monter. Dans une absolue sérénité bucolique elle permet d’atteindre le col de Belleroche (1.056 m) dont la pancarte est perdue dans les arbres.

Votre serviteur appréhende la suite car il a regardé la carte. Nous sommes en équilibre au dessus de la Cluse de Nantua. Comment allons-nous redescendre tout en bas en quelques kilomètres ?

Le ton est tout de suite donnée par une pancarte interdisant l’accès aux plus de 3,5 tonnes. C’est le col de Collard (979m). Puis une seconde pancarte indique que la route est fermée pour cause d’éboulements. On passe néanmoins en se disant qu’on continuera à pied s’il le faut. Mais la chaussée a été nettoyée. La route donne nettement l’impression de vouloir se décrocher de la paroi pour se jeter dans le vide. C’est même tout ce flanc de montagne qui semble vouloir se laisser aller. La pente est à 12%. Elle sollicite les freins en permanence. Il y a des trous, parfois mignons, parfois énormes. Des pierres jonchent la chaussée. Impossible de prendre de la vitesse. Finalement, très prudemment, lacet après lacet nous parvenons en bas sans problèmes autre que d’avoir bras et mains tétanisés. Nous rejoignons  Nantua et trouvons Rodolphe sur un banc en train de s’esclaffer en regardant les scouts tomber à l’eau à qui mieux mieux lors des essais de leurs radeaux.

 

En attendant Bruno nous nous installons alors au soleil, au bord du lac, à la terrasse d’un café , avec en toile de fond les falaises calcaires magnifiquement mises en lumière par le soleil de l’après midi. Bruno qui arrive narre ses exploits. Même pas dur la Biche trouve-t-il. C’est dire s’il est bon. Il a fait 103 km (avec plus de 2.000 m de dénivelé), le couple 89 km (et 1.710 m de dénivelée) et Rodolphe 63 km. Alors qu’on se rince la gargagnole (1) Rodolphe explique qu’il a gravi un col non prévu au programme, celui de Cuvillat (1.073 m). C’était pour faire un raccourci dit-il. Il y a parfois en montagne des raccourcis qu’il faut savoir éviter quand on souffre des genoux.

Au bilan chacun a apprécié sa journée et pensé que les absents ont peut être eu tort tant nous avons vu de belles choses.

 

Le glossaire lyonnais-français

 

 (1)    Se rincer la gargagnole  :  Boire. La gargagnole est le gosier. On dit aussi l’avaloir.  

 

II/ L’ATSCAF A L’ARDECHOISE

 

Comme l’indiquait le précédent numéro de la « Lettre », Chrystel BERTRAND, Christophe BOURNAC, Joëlle GACHE, Jean-Claude JACQUET- FRANCILLON, Gérard REVERDY, Philippe ROURE, Martine SILBERSTEIN et Marie-Claude VALLA ont participé à l’Ardéchoise.

A l’heure où nous mettons sous presse, comme on dit dans les grands médias, nous avons deux compte-rendus qui émanent de Jean-Claude JACQUET-FRANCILLON et de Martine SILBERSTEIN. Nous vous les livrons donc et les remercions. Et invitons les autres à nous communiquer leurs impressions.

Dernière minute :  Christophe vient de déposer son compte-rendu dans le Forum. Il est reproduit sans mise en forme( vu les délais) dans un supplément à la « Lettre ».

 

 Ardéchoise 2007 d’après Jean-Claude.

 

Un petit « compte rendu » de ma 10ème participation consécutive à l’ARDECHOISE

La première en tant que licencié ATSCAF du RHONE, la première sur deux jours.

Las de faire les Boutières sur un jour à rechercher à améliorer, sans toujours y parvenir, la performance de l’année précédente, j’ai en effet cette année répondu à l’invitation de Gérard CHAVANNE de l’accompagner sur les SUCS en 2 jours .

C’est tout à fait ce que l’on en dit, 2 jours de découverte de ces magnifiques paysages qu’offre l’ARDECHE et quelques moments d’efforts intenses pour dompter les cols qui étaient nouveaux pour moi : col de MEZILHAC, VIALLARD, SAINT CLEMENT, ARDECHOISE.

Sur les 2 jours le temps a été idéal pour pratiquer le vélo, soleil parfois caché, température agréable, un peu de fraîcheur mais supportable et parfois du vent favorable et défavorable.

Un hébergement au VVF des ESTABLES, l’Ardéchoise s’invite en AUVERGNE, parfait, qui manquait toutefois de l’authenticité qu’avait connu Gérard lors de ces précédentes participations en étant hébergé chez l’habitant ; ce sera pour l’an prochain ?

Et l’ATSCAF dans tout ça ?

Et bien l’inconnu du club a trouvé dans le long Col de Mézilhac, Martine qui m’a dit être celle qui parle toujours en côte , et j’atteste c’est bien exact. Nous avons fait un bout de causette en route. Sa sortie dans les cols mythiques était parfaitement digérée et son allure en côte remarquable, une vraie championne !  Et tout au long de ce premier jour nous nous sommes retrouvés à plusieurs reprises au gré de nos arrêts.

Le second jour,  j’ai retrouvé Martine et aperçu un autre porteur du maillot rouge dans la longue montée vers SAINT AGREVE. Je l’ai salué au passage mais étant porteur du maillot de l’ARDECHOISE il n’a pas pu reconnaître un membre du club !

J’ai franchi la ligne d’arrivée à 15 H 25 avec le coupe-vent du club pour répondre à la demande du président, puis entre le repas sur le stade, la remise de la puce la récupération des bagages, nous ne nous sommes pas éternisés dans le village des sponsors si bien que je n’ai plus eu le loisir de retrouver d’autres membres du club. Je vais aller sur le site de l’organisation pour connaître la performance de Marie Claude VALLA si elle a participé ?

Voilà comme on y est invité par les gens des villages que l’on traverse ce sera à l’an prochain sur 2 ou 3 jours, la retraite permet de préparer ces sorties et découvrir toujours plus au SUD des routes connues mais pas forcément sur un vélo, c’est un challenge intéressant.

Je souhaite qu’un maximum de membres du club viennent ou reviennent sur ce rassemblement qui mérite toujours d’être connu . Cette année hélas un cyclo y a perdu la vie.

 

Ardéchoise 2007 d’après Martine.

Un petit mot pour vous parler de Mon ardéchoise !

J'ai pédalé à plusieurs reprises avec l'ancien directeur des services fiscaux de l’Ardèche, à la retraite aujourd'hui et qui habite Vienne. Un monsieur très sympa !

Vu aussi un tahitien de Tahiti.

Vu aussi l'hélicoptère posé dans la descente peu de temps avant l'arrivée de Saint Félicien : Les pompiers avaient coupé la route et ceux qui sont là pour faire un temps étaient en colère ! Homme ? Femme ? Accident ? Malaise ? Le vélo ne semblait pas abîmé... ça refroidit...

Ai dormi aux Estables, chalet du Mézenc, seule femme dans le dortoir, mecs très sympa. Bouffe bien adaptée au vélo : gâteau de semoule fait maison au p'tit dej ! Et apéro: kir à la liqueur de châtaigne. Ils savent recevoir.

III/ LA SORTIE DU CLUB DE SAMEDI PROCHAIN

 

Ø  Jean-Pierre CHACCACCI  a préparé les circuits de la sortie prochaine. Nous cherchons quelqu’un pour venir les chercher et les distribuer aux participants à cette balade.

 

Samedi 30 Juin 2007 à Montluel

RV pour partir à 8H précises.

 

Comment y aller ? Prendre l’A 42. Sortir à Saint Maurice de Beynost (portion gratuite). A Montluel aller jusqu’à la gare SNCF, tourner à gauche en direction du centre-ville. et se garer comme en février 2005  sur le parking derrière l’église en face d’un moderne hall des sports.

 

IV/ DIMANCHE PROCHAIN AVEC D’AUTRES CLUBS 

 

Vous ne pouvez pas rouler samedi ? La balade de samedi ne vous suffit pas ? Une solution : participez aux rallyes organisés par d’autres clubs le dimanche comme celui qui suit.

 

Ø Dimanche 1 Juillet a lieu « La Rando des Chevaliers» organisée par le club FFCT de « l’Union cycliste Rivoise ». Départ de 6h 30 à 12h  de la salle Saint Michel de Paladru (38). Clôture de la randonnée à 16H.

Tarif : 7€ pour les licenciés FFCT. 9€ pour les autres.

Parcours route de  30,60, 100 et 120 km.  Parcours VTT de 15, 35, 45, 60 et 80 km.

Prudent de se renseigner auprès de  Jean-Claude COUTAREL : 04 76 65 33 79.

Mel : jean-claude.coutarel@9online.fr

 

V/  LES POTINS DU PELOTON

 

Ø  Jacques GUILLAUD n’a pas pu participer à la sortie longue du Bugey. Il souffre en effet d’une grosse sciatique et il est bloqué chez lui. Il est interdit de vélo et de course à pied pendant 15 jours minimum. Espérons qu’il se remette rapidement.

 

Ø Françoise et Pierre FOUILLAND n’ont pas venir à Nantua. Françoise, s’est en effet fait mordre très sévèrement par un chien. Elle est blessée à plusieurs endroits mais n’a pas été hospitalisée. Nous lui présentons toutes nos amitiés et espérons qu’elle récupérera le plus vite possible.

 

Ø Les pérégrinations de Gérard MARTIN à Nantua. Gérard appelle la veille pour dire qu’il viendra. Le lieu de RV lui est confirmé. Il n’a pas envie de venir par l’autoroute mais consent à le faire pour que nous nous retrouvions facilement. Le jour J constatant qu’il arrivera trop tôt à Nantua, Gérard quitte l’autoroute et prend la nationale. Funeste décision ! A Nantua il essaye de rejoindre le parking de la sortie de l’autoroute où nous nous sommes donnés RV. Oui mais quelle sortie ? Il demande son chemin. On l’envoie vers une autre sortie. Il reprend donc l’autoroute pour aller là où on l’attend. Mais dans ce sens il ne peut y accéder. Il se retrouve à 20 km. Il revient finalement sur Nantua avec 45’ de retard. Nous avons quitté les lieux depuis 15’. Enervé, il  repart. A Lagnieu il décide de sortir son vélo et de monter le Calvaire de Porte. Dans la descente il crève. Il répare mais sa pompe à main refuse de gonfler à plus de 3 bars. Pour achever de vider son trop plein d’énergie Gérard monte encore deux fois le col de Porte. Arrête Gérard ! Tu sais bien que n’existe pas encore la « Confrérie des Crucifiés du Calvaire » comme existe celle des « Cinglés du Ventoux » ou celle des « Fêlés du Grand Colombier ». On pourrait sinon être « disciple » au bout de 3 ascensions, « apôtre » au bout de 6 et naturellement « seigneur » au bout de 12. L’idée est à creuser !  Tu vois Gérard tes mésaventures de samedi n’auront pas été inutiles !

 

Ø Michel-Laurent CHAPAS repart pour un voyage à vélo vers le Nord. Vous trouverez son programme et son appel dans le document joint.

Ø  Plusieurs randonneuses ont dit leur satisfaction à notre club après le week-end de Jausiers. Un exemple suit. Merci à elles.

« Merci beaucoup aux cyclotouristes et à leurs accompagnateurs et trices ( notamment aux accompagnatrices qui se sont jointes parmi nous pour la randonnée de samedi. Non seulement elles se sont très bien intégrées au groupe dans une bonne ambiance mais en plus elles ont bien marché.

Merci à vous de nous avoir accompagnés à la rando de dimanche ( surtout après tous les efforts effectués la veille ).

Mille merci et bravo à tous les organisateurs et trices  pour ce week end très sympathique. Merci d'avoir pensé à envoyer aux randonneurs votre Lettre (..).

Ce fut mon premier week-end en votre compagnie et j'ai beaucoup apprécié ( et je ne suis pas la seule randonneuse à le penser ). Donc je serai très contente de renouveler l'expérience l'année prochaine à l'Iseran. Merci de n'avoir pas choisi le Col de la Croix St Robert / le Sancy, c'est ma région, je l'aime, mais j'ai envie de découvrir d'autres endroits et puis je ne sais pas si on peut le considérer comme une course mythique bien que le Tour de France y soit passé plusieurs fois. Sauf erreur de ma part, j'ai le souvenir de Stephen Roche dans le brouillard avec une arrivée à Charlannes au dessus de La Bourboule, à confirmer.

Bonne chance à tous les cyclotouristes qui vont participer à d'autres « courses » ( notamment ceux qui vont faire Paris-Brest-Paris ).  Au plaisir de vous revoir l'année prochaine à l'Iseran. »

VI/  LE COIN VELOCIO

 

Ø Jean-Pierre FROBERT nous a préparés les circuits de la sortie longue de samedi à partir du « Guide de l’Ain à vélo ». Ce document élaboré par le Comité départemental du tourisme de l’Ain en collaboration avec la FFCT est chaudement recommandé à tous ceux qui veulent cycler dans ce département voisin et si divers.  D’un format pratique il comporte 27 circuits avec indication des difficultés, du temps moyen, du kilométrage, du profil, des cartes et un rapide descriptif.

Vous pouvez le commander au prix de 7€ auprès du comité départemental « www-tourisme.com ». tél : 04 74 32 31 30. Télécopie : 04 74 21 45 69.

 

VII/  LA VIE DU CLUB

 

Ø Evelyne LEFRANCOIS, notre trésorière, attend encore quelques règlements du week-end à Jausiers. Sans vouloir mettre la pression le temps presse car elle part en vacance à la fin de cette semaine. Merci donc de lui envoyer votre règlement par voie postale.

A son retour de vacances, si ce compte est bouclé, elle informe qu’elle procédera au remboursement d’une partie des frais exposés par les adhérents lors de certaines manifestations. Conformément à ce qui a été décidé en Comité Directeur, il s’agit de l’audax de Suze la Rousse, du BCMF du Vercors, de l’Ardéchoise.

Elle procédera également au reversement pour le week-end familial à Vassieux et la sortie mythique à Jausiers dès lors que le club aura reçu la subvention du CNDS.

 

Ø Les sorties hebdomadaires du club sont maintenues cet été même avec des effectifs réduits
Rappel des sorties de juillet :

 

 7 Juillet : Départ à 8H de la place de l’Eglise à Marennes (38).  Chrystel BERTRAND organise.

14 juillet : Participation au rallye la « Villlardoise ». RV à 7H place de l’Eglise de Villars les Dombes.

21 juillet : Départ à 8H de la place centrale de Fontaines Saint Martin. Florian CABAJ organise.

28 juillet : Départ à 8H de la place derrière l’église à Chaponost. Florian CABAJ organise.

 

Ø La « Lettre » suspend sa parution en juillet pour cause de vacance de son rédacteur. Continuez à lui envoyer tous vos messages, infos, compte-rendus de sorties estivales ici ou  sous d’autres cieux. Ils paraîtront dès août. Bonnes vacances à tous !