atscaf cyclo 69 . Club FFCT n° 07061

 

 

 

 LA LETTRE n° 276

 

Lyon, le 18 Juin 2007

 

SORTIE MYTHIQUE ET SYMPATHIQUE  !

 

 

Christiane AUGAY, Bernadette AVOSCAN, Irène BERRY, Chrystel BERTRAND, Yann BRIZAIS, Florian CABAJ, Daniel CASTEAU, Christine et Raymond CHATENAY, Jean-Pierre et Viviane CHECCACCI, Françoise CHENAIS, Vincent DAUDONNET, Michel FEYX, Françoise et Pierre FOUILLANT, Jean-Pierre FROBERT, Gilbert LACHARME, Evelyne LEFRANCOIS, Bruno MAILLOL, Rodolphe MALESKI, Patrick MARIANI, Gérard MARTIN et Michèle, Monique MURILLON, Jean-Marc OVERBERGHE, Jean-Jacques PECH, Gilles PHILIPPON, Gilles ROCHER, Philippe ROURE, Alain et Odile SAVEY, Martine SILBERSTEIN, Eric TANIERE, Joël TROMBETTA, et votre serviteur sont venus faire du vélo ou accompagner les cyclotouristes lors de leur sortie alpine annuelle.

 

La réussite de la sortie mythique, outre le programme cyclo assez relevé, tient en bonne partie à la présence des randonneurs (des randonneuses surtout !) qui viennent une fois par an partager quelque chose avec nous. Saluons ainsi la présence de Jean-Claude DARTEVELLE, Françoise DOITRAND, Claire GASSIOT, Véronique GIRARD, Evelyne JACQUEMARD, Claudie KAMINSKI, Sylvie MARINIER, Corinne NOYER, Chantal RABEUX et Marie-Joëlle ROUSSET.

Leur présence est vécue comme un encouragement pour les cyclo-montagnards du jour. Elle permet également de créer, dans la bonne humeur, des liens entre nos deux sections de l’ATSCAF. Leur programme de marche a permis dès le samedi d’intégrer dans une saine activité physique les accompagnatrices qui avaient aucunement l’intention de pédaler. Enfin leur randonnée de dimanche spécialement conçue pour les cyclos a été très appréciée et a permis de voir la montagne sous un autre angle qu’à vélo. Pour toutes ces raisons nous remercions vivement nos ami(e)s.

 

 L’inquiétude est bien réelle car les participants quittent Lyon vendredi sous une pluie battante. Mais cette dernière cesse lors de notre arrivée au gîte « Le Chalet des Buissons » situé au dessus de Jausiers sur la route menant au Col de la Bonette. La route a été longue sauf pour Daniel qui vient pour une fois presque en voisin. .

Nous sommes accueillis par un gérant qui donne de l’air (1) à Jésus Christ en raison de sa barbe, de ses joues creuses et de ses cheveux longs. Les chambres sont réparties entre les 46 participants. Ce n’est pas un exercice facile pour tout concilier et intégrer les défections de dernière heure. Mais Evelyne L, notre organisatrice en chef, y parvient.

Après avoir pris possession de nos chambres, le club, sous l’amicale pression de certains de ses membres, offre l’apéritif qui était initialement prévu pour le samedi soir.

C’est ensuite l’exposé des modalités pratiques de la sortie par Evelyne, Florian, Bernard et Christiane. Chacun(e) monte à tour de rôle sur la chaise pour se faire entendre du groupe.

Autour d’un repas où, curieusement, il y a des pâtes, les échanges vont bon train sur le programme du lendemain. On en profite pour faire connaissance avec les randonneurs et avec ceux qui viennent pour la première fois. Ainsi Christine, la femme de Raymond et son amie Monique, sont très vite intégrées grâce à leur bonne humeur. Vincent est un jeune trentenaire qui vient de Paris et qui, pour la première fois, va cycler en montagne. Il chevauchera le vélo que Raymond BUCHALIN lui a gentiment prêté et que votre serviteur a apporté.

Après que chacun ait choisi son circuit du lendemain il faut se coucher car le réveil est donné à 6 H du moins pour ceux qui vont gravir 2 ou 3 cols.

 

Le glossaire lyonnais-français

 

 (1)   Donner de l’air  : Ressembler. Ce gone il donne franc de l’air à son pipa. Assez fréquent.

Variante : donner d’air.

 

I/ LA SORTIE CYCLO TOURISTE DU SAMEDI

 

A 7 H, après un petit déjeuner assez spartiate  c’est le départ. Est-ce que les esprits sont engourdis ou est-ce la formule consistant à prévoir 3 circuits différents qui est compliquée ? Toujours est-il qu’Evelyne doit expliquer patiemment à chacun les affaires (vêtements et ravitaillement)  à embarquer dans les voitures suiveuses. Notre logisticienne, elle, ne fera pas de vélo aujourd’hui car elle suivra ceux engagés sur le redoutable circuit des 3 cols, le clou de la journée, avec ses 3.450 m de dénivelé et ses 148 km.

 

Il y a 13 inscrits pour le circuit des 2 cols à savoir Allos (2.244 m) et la Cayolle (2.327 m) : Bernadette, Christiane, Chrystel, Daniel, Eric, Françoise, Gilles P, Jean-Jacques, Jean-Marc, Martine, Michel, Philippe, Raymond.

Sont recensés seulement 4 inscrits pour le circuit des 3 cols : Alain, Bruno, Florian et Yann. Au programme précédent il faut ajouter un troisième col à plus de 2.000m, celui des Champs à 2.093 m.

Faisant bande à part Gérard se singularise en allant grimper seul la Bonette.

 

Les 2 groupes partent ensemble. La descente sur Barcelonnette est plus que frisquette mais le ciel est d’un bleu intense et la vue sur les montagnes est d’une netteté absolue. Il ne faut quasiment pas pédaler pour arriver au pied du col d’Allos. On s’arrête pour déposer nos vêtements chauds dans la voiture que Jean-Pierre met à la disposition d’Evelyne. Votre serviteur qui doit conduire tout à l’heure le Toyota–assistance lors de la grimpée de la Cayolle se défoule en montant avec les copains le col d’Allos. Cette ascension dure 17 km. Dès Pont Rouge la route est étroite et s’élève au dessus des gorges du Bachelard. Après une première côte de 6 km à 7,2% un replat relatif nous permet de souffler. On surplombe une vallée profonde...et le parapet n’est pas bien haut. Certes on monte du côté de la paroi mais votre serviteur appréhende déjà la descente du côté du précipice ! Nous passons des torrents qui débitent un fort courant. Les pluies récentes produisent leur effet. Après un grand lacet ceinturant la vallée la station microscopique des Agneliers est traversée. Il reste encore 8,7 km à 6,6% avant d’atteindre le sommet. Le point de vue est splendide. Ah la montagne ça nous gagne ! On ne s’en lasse jamais. Nous sommes à quelques mètres de la source du Verdon.

Mais les « trois cols » n’ont pas le temps de trop admirer le paysage. Ils se vêtent et plongent dans la descente sur Colmars.

Pendant ce temps nous attendons l’arrivée au sommet de chacun. Il fait froid et nous enfilons les vêtements qu’Evelyne nous a laissés. Il y a bien sûr des écarts mais tout le monde arrive au col d’Allos à 10H maxi comme le prévoyait le programme. Naturellement des photos de notre victoire sont prises devant le panneau du col. Après tout ce n’est pas tous les jours qu’on franchit un 2.000 m. C’est même une première pour plusieurs d’entre nous.

 

Il faut maintenant redescendre le chemin parcouru pour retrouver à Pont Rouge les copains du groupe des « Un col ». Au moment où nous partons nous voyons arriver Jean-Pierre F qui s’est levé trop tard pour rouler avec nous. La descente doit être prudente car le précipice nous attend en cas de faute !  Et gare aux pierres et aux trous. Certains effectuent une descente les freins serrés pendant 17 km. De ce fait Christiane est complètement tétanisée à l’arrivée. Quant à Raymond nous ne le voyons pas arriver. Inquiétude ! La voiture d’Irène lancée à sa recherche revient vite : il a seulement crevé. Pour la première fois de la journée.

 

Nous retrouvons donc les « Un col » : Gilbert, Gilles R, Jean-Pierre C, Joël, Patrick, Pierre, Rodolphe et Vincent. Ce dernier a cassé sa selle et les copains lui ont rafistolé ce précieux élément avec du fil de fer et un écrou. Pas très esthétique mais ce bricolage tiendra toute la journée ! Il fait chaud dans la plaine et de nouveau nous ôtons des vêtements pour les poser dans le Toyota qui a été amené ici par Jean-Pierre C et qui, conduit désormais par Bernard, se transforme en voiture-assistance.

 

Les deux groupes attaquent alors l’ascension de la Cayolle. Le début est très faiblement montant. Nous sommes dans les gorges du Bachelard, fort torrent de montagne. Il fait humide. Au bout de 5 km la pente se relève régulièrement. Et la fraîcheur a disparu. Nous sommes maintenant en plein cagnard. Irène et Claudie se prélassent à la terrasse d’un café, un verre de bière à la main et encouragent les cyclotouristes passant devant elles en plein effort. Les langues pendent en les voyant ! Même si on est toujours dans la vallée du Bachelard la pente est à 5%. Un mini évènement a alors lieu : quelques millions d’euros nous doublent, quand la largeur de la route le permet. Il s’agit d’un rallye d’une quinzaine de Ferrari. Le calme revenu, après Bayasse le paysage change radicalement. La pente est  maintenant plus sévère. Les lacets se succèdent et permettent de franchir sur plusieurs ponts de magnifiques cascades. Ce passage est très beau. Raymond en profite pour crever une seconde fois. Après une longue ligne droite dominée par un pierrier on traverse une zone forestière. L’ascension finale s’effectue logiquement dans les pâturages d’altitude. Ouf ! nous sommes au sommet ! Comme dans tous les grands cols alpins quand il fait beau s’y succèdent sans fin motards et cyclos 

Nous sommes à la frontière des Alpes Maritimes. Sur le versant sud du col naît le Var.

Les écarts sont très conséquents entre les copains. Mais quelque soit le temps mis chacun a droit à son ovation au sommet. Mais qui voilà ? Gérard ! Après avoir grimpé seul la Bonette, il nous rejoint à la Cayolle. Entre deux arrivées les tifosi se blottissent dans un coin pour se mettre à l’abri du vent et manger le pique-nique préparé par le gîte. Le Toyota retourne chercher Rodolphe que son genou fait trop souffrir et qui ne peut continuer sauf à se faire tuer par son chirurgien.

 

Après le repas c’est l’heure de guetter l’arrivée des « Trois cols » qui viennent du sud, de Saint Martin d’Entraunes, c’est à dire par la face la plus raide. Evelyne arrive en nous racontant qu’elle n’en menait pas large au volant de la voiture de Jean-Pierre sur l’étroite et escarpée route du col des Champs. C’était parfois vertigineux mais splendide. Gilles R descend alors de 7 km à leur rencontre. Finalement nos 4 amis arrivent de manière échelonnée en milieu d’après midi. En voyant le temps mis par nos 4 cadors qui grimpent comme des avions, il était vraiment juste d’avoir attiré l’attention sur les difficultés du parcours. Certes Bernadette n’a pas apprécié d’être dissuadée d’accomplir ce parcours. Mais compte-tenu des délais nécessaires pour se retrouver ensemble au sommet, la chose était difficile à concevoir même si elle grimpe bien. Elle n’est d’ailleurs pas la seule dans ce cas. Plusieurs copains,  à commencer par votre serviteur, auraient aimé se tester sur les 3 cols. Ils y ont renoncé car la cohésion du groupe en aurait largement souffert.

 

Une fois tous les cyclos retrouvés c’est évidemment la re-descente sur Barcelonnette. A chaque km parcouru le froid se dissipe. Raymond crève pour la 3° fois de la journée. Il renonce à lutter contre la fatalité et monte dans le Toyota où il rejoint Christiane qui a eu trop mal aux cervicales dans la descente d’Allos. Après un arrêt à Pont Rouge où la voiture suiveuse fait le plein de vêtements chauds, le peloton fonce à Barcelonnette puis à Jausiers. Là, Bernadette partie en solitaire à l’avant, nous a trouvé une terrasse ensoleillée où nous nous payons une pause bien méritée. Pour célébrer nos exploits les cloches se mettent à sonner à la volée. Ah non, c’est pour un mariage qui sort de l’église en face de laquelle nous sommes installés.

Il n’y a plus que 3,5 km pour le retour au gîte. Oui, mais c’est une bonne montée ! Et les muscles se sont relâchés durant la pause–bière. Pourtant, chacun met son point d’honneur à rejoindre l’hébergement sur le vélo.

 

Après la douche, le club paye de nouveau l’apéro. Les cyclos peuvent alors narrer leurs exploits tandis que les marcheurs racontent la belle balade qu’ils ont accomplie et qui a ravi les accompagnatrices. 7 personnes arrivaient de Lyon ce matin avec Gilles R qui a rejoint le groupe sans passer par la case départ au gîte. Ils se sont donnés RV après Barcelonnette et ont fait une marche de 6H avec 700 m de dénivelée.

Avant de passer à table a lieu un grand moment de démocratie directe où les participants décident du lieu de la sortie mythique de l’année suivante. C’est d’ailleurs en train de devenir une tradition chez nous.  Sept propositions sont formulées. Chacune d’elles est défendue par un avocat. Finalement, après débat et intervention de groupes de pression, le vote tranche en faveur de l’Iseran, le plus haut col routier de France par sa face Est avec un hébergement à Lanslebourg.

Après ce moment intense nous passons à table où nos hôtes nous ont préparé une excellente curiosité gastronomique : le Brie au génépi. Nous n’en laissons pas une miette. Nous ne laissons pas une goutte non plus de l’excellente liqueur de mélèze que Jésus nous offre.

 

II/ LA RANDO PEDESTRE DU DIMANCHE

 

La nuit n’est pas forcément reposante pour tous. Il y a en effet un mariage dans le bâtiment voisin. En outre des ronfleurs patentés font partie de la délégation cyclo obligeant Gilles R à quitter sa chambre.  Notre ami ne voulant déranger personne n’a pas voulu chercher un lit libre dans une autre chambre, il est donc allé dormir dans sa voiture. Dormir, le mot est sans doute trop fort car la banquette fait 1m 20 pour un gaillard d’1m 90..

 

Christiane a eu la gentillesse de préparer circuit pédestre bien plus facile que celui de la veille. Elle a tenu compte de la fatigue des cyclos et de, parfois, de leur manque d’expérience. Une caravane de voitures quitte le gîte en direction du Col de Larche vers la frontière italienne. On se demande bien comment ce col peut être conquis en toute légalité par les cyclotouristes car la signalisation routière interdit la circulation des vélos ! 

A Larche les voitures s’engouffrent sur le GR5 qui est goudronné jusqu’au parking du Pont Rouge. Tiens, c’est le même nom que la veille ! Ce passage est problématique car la route met à mal les suspensions et son étroitesse rend le croisement avec un autre véhicule fort hasardeux.

 

Le parking est lui bien aménagé. Les promeneurs se mettent en marche en remontant la vallée de l’Ubayette. C’est vrai que la montée est très progressive et qu’il n’y a pas de difficultés particulières. Malgré tout le spectacle est splendide. Le torrent fait une animation permanente. Une belle cascade l’alimente. Les sifflements des marmottes nous accompagnent. Ces charmantes bestioles sont légion. On a vraiment envie de les pitrogner (2). Faute de cela on les prend en photo. Certaines sont sauvages d’autres très cabots se laissent photographier à 2 mètres de distance. Le sentier qui longeait le ruisseau s’élève dans les rochers et nous permet d’atteindre le lac du Lauzanier. Nous sommes à 2.300 m Il faudrait vraiment être blasé pour ne pas apprécier ce point de vue au pied du Rocher des Trois Evêques (2.868 m). Mais il fait froid face au vent. Un groupe ne tient plus et fait demi-tour sans concertation alors que les derniers viennent juste d’arriver.  D’autres (dont Yann et Philipe R) partent un peu plus loin. Ils ont raison car le froid est très localisé en raison du vent. Ils atteignent même le lac de derrière la Croix (2.428m). Il semble même que des marcheurs aient atteint le Pas de la Cavale à la frontière italienne (2.671 m).

Le gros du bataillon a suivi les cyclos battant en retraite. Un coin herbeux est trouvé à l’abri du vent grâce aux rochers. Le pique-nique y est dévoré au soleil au dessus du torrent. Christine sort de son sac sa traditionnelle bouteille de chrob (orthographe non garantie). C’est une liqueur antillaise faite maison qui rencontre toujours un vif succès ! Martine de son côté fait également circuler une fiole d’eau de vie  de framboise artisanale. Très appréciée également. Puis une sieste collective a lieu au soleil sans que les blagues ne cessent de fuser. Certains cyclos sont là encore pressés de redescendre car ils songent à la route du retour. Une fois les marcheurs les plus valeureux rentrés au camp de base nous entamons la descente sans cesser de nous extasier devant le manège des marmottes. Le temps se met à virer brutalement et c’est une petite pluie –annoncée par la météo- qui nous accompagne aux voitures.

 

Une remarque personnelle : il est dommage que la balade se soit achevée en eau de boudin sans que nous ayons pu nous séparer en même temps par exemple en buvant un coup ensemble. C’est dommage pour Christiane qui a conçu cette belle balade. C’est aussi dommage pour les marcheurs qui sont venus ici pour nous accompagner et qui ont vu fuir les cyclos. Après tout ce n’est pas très fréquent que nous nous retrouvions ensemble, marcheurs et cyclistes. Certes nous étions loin de Lyon mais ce sont les participants 2006 qui ont décidé cette destination. Et la distance est la même pour les marcheurs comme pour les cyclos. Sans compter que les embouteillages se dissolvent en soirée. Mais gageons que l’an prochain ce problème n’existera pas puisque Lanslebourg est beaucoup plus accessible depuis Lyon.

 

Cette nuance faite, chacun gardera de ce week-end un excellent souvenir..  et aura envie de réussir également l’édition 2008 ! Tous à l’Iseran !

 

Le glossaire lyonnais-français

 

 (2)   Pitrogner :  tripoter, tripatouiller, triturer, caresser, pétrir.

 

III/ LA SORTIE DU CLUB DE SAMEDI PROCHAIN

 

Ø  Jean-Pierre FROBERT nous a conçu une « sortie longue » dans le Bugey.

Précisons que le terme « sortie longue » utilisée par notre club vise une sortie se déroulant sur une bonne partie de la journée. Inutile de penser être rentré pour déjeuner ! On se déplace en voiture (ou en  train) pour se rendre à un lieu de rendez-vous plus éloigné que d’habitude. Cela permet de parcourir de nouvelles routes, de voir de nouveaux paysages.

Eventuellement, dégagé de la contrainte du temps, cela permet également d’accomplir un peu plus de km à vélo que d’ordinaire.

 

Samedi  23 Juin 2007

à NANTUA (01)

RV à 9H sur le parking de la sortie de l’A 404

 

Note pratique : On sort de Lyon par l’A42, l’autoroute de Bourg. Après Ambérieu emprunter l’A40, l’autoroute de Genève. Prendre ensuite la bifurcation pour l’A 404 direction Oyonnax. Là on sort à la sortie n°9 (celle de Montréal La Cluse-Nantua). Vous aurez environ 90 km au compteur. On s’attend sur le parking. Soyez à l’heure car on ne pourra pas y rester éternellement. Comptez 1H 30 maxi de voiture.

On n’a pas réservé de restaurant emportez donc ce qu’il vous faut pour vous alimenter. Ne comptez pas trop sur les épiceries qui sont rares sur le haut plateau bugiste !

Il y aura bien sûr une sortie pour le groupe découverte, un circuit de base de 80 km, une rallonge montagneuse pour les costauds et une possibilité de raccourcir couper le trajet.

 

IV/ L’ATSCAF A L’ARDECHOISE

 

Samedi a lieu l’Ardéchoise. Comme d’habitude le club sera représenté.

D’après nos informations Joëlle GACHE, Jean-Claude JACQUET- FRANCILLON, Gérard REVERDY, Philippe ROURE, Marie-Claude VALLA la feront en un jour, Martine SILBERSTEIN, Christophe BOURNAC  en 2 jours, Chrystel BERTRAND en 3 jours. Bon courage !

Pour que nos amis puissent plus facilement se retrouver il serait utile qu’ils portent la tenue de l’ATSCAF durant la journée de samedi. Nous attendons de leur part un petit compte-rendu.

 

V/ DIMANCHE PROCHAIN 

 

Vous ne pouvez pas rouler samedi ? La balade de samedi ne vous suffit pas ? Une solution : participez aux rallyes organisés par d’autres clubs le dimanche comme ce Brevet de Cyclo-Montagnard.

 

Ø Dimanche 24 Juin a lieu « Le Brevet du randonneur du Haut Bugey » organisé par le club FFCT « Cyclos du plateau d’Hauteville ».

Départ de 4h à 7H  de la salle des fêtes de Hauteville (01). Clôture de la randonnée à 20H.

Parcours de 204 km

Renseignements : Patrick PERRARD 04 74 36 04 26. Mel : mipelissier@orange.fr

Site : http://perso.orange.fr/feles.du.colombier

Tarif : 15€ pour les licenciés FFCT. 19 € pour les autres.

 

VI/  LA VIE DU CLUB

 

Ø Jean-Marc OVERBERGHE et Jean-Jacques PECH ont  pris des photos du week-end mythique. Elles seront envoyées à Christophe BOURNAC pour être installées sur le site du club.

 

Ø Le club a fait l’avance du paiement du gîte à Jausiers. Il convient maintenant aux participants de s’ acquitter de leur part. Pour ce faire ils voudront bien se référer à la pièce jointe intitulée « le coin de la trésorière ».

Merci d’envoyer les chèques le plus rapidement possible à Evelyne LEFRANCOIS et en tout état de cause avant la fin du mois. Cette dernière part en effet le 30 juin en vacance et ne pourra encaisser les chèques ce qui serait préjudiciable à la trésorerie du club.

Bernard CHAREYRON