atscaf cyclo 69 . Club FFCT n° 07061

 

 

 

 LA LETTRE n° 233

 

Lyon, le 20  Août 2006

 

CONQUETE DU BUGEY PAR LA FACE OUEST !

 

 I/ SAMEDI DERNIER

 

Christophe BOURNAC, Yann BRIZAIS, Jean-Pierre CHECCACCI, Jacqueline et Marc GIRERD, Evelyne LEFRANCOIS, Gérard MARTIN et votre serviteur ont fait l’effort de venir jusqu’à Ambérieu en Bugey afin de participer à la sortie dite longue programmée depuis juin.

Ambérieu est certes situé à une bonne cinquantaine de km de Lyon mais il est vrai que par l’autoroute on s’y rend assez facilement.

Le départ a lieu à 8H 30 car aujourd’hui nous ne sommes pas pressés. Chacun a pris ses dispositions pour consacrer sa journée au vélo et découvrir le Bugey.

Cela vaut même pour Jacqueline qui a eu la gentillesse de se proposer pour conduire la voiture-assistance. Lançons une souscription pour qu’une statue lui soit érigée ! Grâce à cette voiture nous pouvons ainsi entasser les pique-niques et les vêtements de rechange car la météo n’annonce pas du beau. Nous verrons par la suite que le véhicule a également servi à secourir.

 

Nous partons donc du vaste parc de stationnement de la gare d’Ambérieu, fameuse ville cheminote. Le temps est magnifique. Afin de bénéficier d’un peu de plat avant les pentes qui nous attendent, Jean-Pierre nous emmène à Château-Gaillard et nous rejoignons par une route toute plate Ambronay, cité connue pour son festival de musique baroque et son très bel ensemble abbatial. Nous nous arrêtons d’ailleurs pour contempler la façade de l’église Sainte Marie. Puis nous démarrons doucement en longeant les murailles de l’abbaye. Jacqueline bénéficie de quelques instants supplémentaires pour se persuader de l’intérêt majeur de ce site. La montée commence dès la sortie du village. Elle est assez costaude, très irrégulière et en sous-bois. Nous traversons Merland et atteignons Salaport, petit village bugiste quasi abandonné. Nous sommes passés ainsi de 246 m à 500 m en 4 km. Nous reprenons notre souffle puis redescendons sur Abergement de Varey. La route est étroite et défoncée mais la vue est reposante sur la verdure du Bugey qui ne nous abandonnera pas de la journée. A Abergement où Jacqueline nous attend commence la côte qui dans la forêt nous conduit au col de Nivolet (602 m). Même si nous frouillons (1) un peu car en réalité le col est situé quelques mètres plus à droite au carrefour. Nous avons déjà 709 m de dénivelée positive accumulée. Jusqu’au village de Nivolet il n’y a pas de difficulté ce qui permet de se reposer. Mais la route poursuit ensuite son ascension jusqu’à Montgriffon. Les écarts se creusent entre les copains. Jean-Pierre souffre car il est rattrapé par son mal de dos qui l’avait laissé tranquille ces derniers temps. On s’attend au sommet tandis que Christophe et Yann partent faire un crochet afin de glaner, à quelques km de là, le col du Cendrier ( 793 m). Le groupe restant repart vers Aranc ( après Merland ça ne s’invente pas ! ). Aranc se mérite car il y a d’abord une rapide descente dans un creux de relief où règne un calme absolu. Une stèle est dressée à cet endroit qui fut un des hauts-lieux des maquis de l’Ain. D’ailleurs durant toute la balade nous verrons, au travers des monuments divers, le lourd tribut payé par les résistants du Bugey au combat pour la Liberté. A partir de Resinand il faut maintenant remonter pendant 6 km sur Aranc qui est le village de notre ami Alain SAVEY si mes souvenirs sont exacts. A l’arrivée les jambes sont fatiguées mais les yeux remplis de superbes, calmes et verdoyants  paysages. Christophe et Yann qui ont fini leur détour nous attendent depuis 20 minutes. Le crochet pour aller chercher le col n’offrait aucune difficulté tandis que le circuit officiel….. ! Tant pis c’était bien beau. Problème ! Toujours pas de Jean-Pierre. Jacqueline va le chercher en voiture. Heureusement car notre collègue a mis pied à terre à cause de ses douleurs. Désolé de nous quitter il se fait raccompagner par Jacqueline à Hauteville d’où il rentrera à Ambérieu à vélo. La route est en effet descendante ou plate à partir de cette ville.

 

Nous continuons donc à 5.  Le relief a changé car nous sommes maintenant sur le haut plateau. Après Rougemont, Christophe et Yann font de nouveau un léger détour d’1 km pour atteindre le col de la Berche ( 864 m). Gérard leur emboîte le pas mais ne comprend pas pourquoi il faut sprinter pour un col quasiment plat et faire demi-tour. Il n’est pas chasseur de col !  La route se dirige désormais vers le nord. Le paysage rappelle maintenant le relief jurassien. L’habitat traditionnel aussi en se transformant en vastes bâtisses aptes à affronter les froids et les neiges. Nous passons le col du Cruchon ( 903 m ) sur une belle route déserte. Notre plaisir est accru par le fait qu’il n’y a quasiment pas de dénivelée. A Corcelles l’organisateur fait monter le groupe de nouveau reconstitué au col de Pisseloup ( 968 m). Il n’y a qu’1,5 km de montée mais on le sent dans les mollets car nous en sommes à 1.500 m de dénivelée. Il va vraiment être temps de faire la pause pique-nique ! Pour cela il faut redescendre sur Brénod par une belle route qui surplombe des prés inondés. C’est une bourgade qui compte dans le coin mais les commerces ne sont pas légion. Il y a juste une épicerie où Jacqueline a pu s’approvisionner en nous attendant mais qui est fermée au moment où Yann veut faire ses emplettes. Tant pis les copains lui fourniront de quoi ne pas mourir de faim au casse-croûte. Nous décidons de grimper encore un col, celui de la Cheminée (après le col du Cendrier, encore une fois cela ne s’invente pas !) avant la pause méridienne. Malgré les appréhensions ce col (à 925 m) se monte sans la moindre difficulté. Heureusement qu’il y a un petit panneau sinon nous ne le devinerions même pas. Le plus gros des difficultés étant franchi, on peut s’arrêter à 14 H dans un pré au soleil pour déjeuner. Jacqueline très organisée a même sorti la glacière. Le repas tiré du sac est bien agréable et est ponctué par les bons mots de Gérard et les blagues de Christophe.

Les cyclos qui passent sur la route nous saluent. On est bien ! Mais au bout d’une heure il faut penser à repartir car le temps commence à fraîchir et il vaut mieux se rapprocher avant la pluie annoncée pour la soirée.

 

C’est Yann qui part le premier car il décide de faire le grand circuit de 150 km. Il est tout seul dans ce cas car les autres copains n’ont guère envie de durcir un parcours qu’ils trouvent déjà suffisamment vallonné comme cela. Cela ne freine pas notre sémillant cyclo qui s’élance donc sur les contreforts du Valromey, sur une boucle qui augmentera de 520 m sa dénivelée de la journée.

 

La séance de l’après-midi commence par une belle descente sur le Petit Abergement. On est face au Grand Colombier, la vallée du Rhône se devine en bas, les Alpes se détachent au loin. On rentre dans le territoire du Valromey. Toujours aussi peu de voitures. Les cyclos manquent se perdre car Bernard, Evelyne et Marc prennent un raccourci et du coup arrivent au Grand Abergement avant les autres qui les cherchent sur la route principale. Et voilà comment, malgré une bonne côte, le trio arrive en tête au sommet de ce village au grand étonnement de Christophe. On sait qu’il ne reste qu’une difficulté avant Ambérieu : le col de la Rochette. Tout le monde l’appréhende car la carte indique 2 chevrons et un parcours difficile voire périlleux. On savoure donc en attendant la route qui nous entraîne à Hotonnes quasiment sans pédaler.

 

A Ruffieu nous sommes au pied de la dernière ascension de la journée. Il y a 6 km à grimper. Va-t-on y arriver ? Chacun, démotivé et inquiet décourage son voisin. On s’y lance toutefois mais sans trop d’entrain. Le rythme de pédalage est rapidement trouvé. Chic le col est régulier, c’est un bon point. La vue n’est pas mal non plus. On avance, pas très vite, mais on avance. 1 km, 2 km, 3 km. Mais au fait où sont les 2 chevrons ? 4 km, 5 km. Mais où est la route périlleuse ? C’est presque un billard. Et voilà le sommet est atteint sans avoir rien compris. On a forcé bien sûr mais c’était beaucoup moins difficile que redouté. Joie car il n’y a aura plus l’ombre d’une côte jusqu’à Ambérieu. Même si échaudés par les prévisions antérieures de votre serviteur, Evelyne et Marc sont dubitatifs face à ses déclarations rassurantes.

 

Il fait bien frais maintenant et il faut se couvrir. C’est une belle descente qui nous mène à Hauteville. Gérard montre ses talents de descendeur à des cyclos du coin qui ont osé nous dépasser. La traversée de la ville se fait en quelques secondes puis de nouveau c’est la descente sur la Cluse des Hôpitaux. Que c’est agréable ! Il y a une vue formidable à droite sur 5 km sur les gorges de l’Albarine. Ces gorges commencent par la cascade de Charabotte. Nous ralentissons pour la contempler. A cet endroit précis  nous franchissons sans même nous en rendre compte un col dûment répertorié, le Golet de Thioux (740 m). D’accord c’est en descente mais ça compte quand même ! Sans presque avoir donné un coup de frein nous sommes redescendus du Bugey par la face sud jusqu’à Tenay.

 

Nous sommes désormais dans la vallée de l’Albarine assagie, bordée de chaque côté par des falaises calcaires. Mais nous sommes aussi sur la RN 504, un jour de retour de vacances et ça c’est moins drôle. La circulation automobile est intense et contraste avec le calme qui a entouré notre balade jusqu’à présent. En outre Saint Rambert en Bugey, gris et industriel, ne mérite certainement pas le label du plus beau village de France ! Courage, il n’y a que 20 km pour rejoindre Ambérieu. Pour nous donner le moral, la route est plate. Gérard et Christophe se relayent, mènent le train et veillent à ce que le peloton reste homogène malgré l’allure dépassant les 30 km/h  Pour éviter les voitures nous empruntons même un tronçon de l’ancienne nationale entre Argis et Torcieu. A 5 km d’Ambérieu la pluie commence à tomber faiblement. Aveuglés ( ?) par elle les hommes de tête ne voient pas la bifurcation qui mène à la gare et filent tout droit. Heureusement le portable les remet sur le bon chemin. Il faut dire à leur décharge que la signalisation était vacillante et qu’en outre la gare ne se trouvait pas le long de la voie ferrée qu’ils longeaient !

 

Après s’être séchés et changés les atscafiens se dirigent vers un établissement italien repéré par Jacqueline. Nous y buvons pour fêter nos exploits du jour. Le circuit de base comportait finalement 123 km et 2.110 m de dénivelée. Pas étonnant qu’une certaine fatigue soit ressentie. Et bravo pour Marc qui n’avait pas trop l’habitude du relief. Pour Yann qui nous rejoint finalement au bistrot, le parcours était de 150 km et 2.620 m de dénivelée. Châpeau !

Jean-Pierre nous appelle pour prendre de nos nouvelles et nous rassurer sur son cas. Il a bien pu rejoindre sa voiture. Il en profite pour nous conseiller des restaurants à Ambérieu où nous avions prévu de souper. Et c’est donc dans un autre établissement italien, les Marronniers, à Bettant que nous terminons agréablement la soirée.

 

Le glossaire lyonnais-français

 

 (1) Frouiller : Tricher au jeu. Puis par extension frauder. Terme très usuel.

 

II/ SEMAINE PROCHAINE

 

Personne ne s’est porté volontaire pour organiser la sortie de samedi prochain malgré l’appel lancé dans la « Lettre » n° 232. La faute bien sûr à la période estivale.  Votre serviteur ne peut s’en charger pour cause de mariage de son gone. En conséquence les copains qui voudront pédaler le week-end se rendront à la 4° randonnée du Confluent d’Anthon. A moins que d’ici là une bonne volonté ne se  manifeste.

 

Dimanche 27 août : «  randonnée du confluent d’Anthon» organisée par le club  FFCT «Cyclo Amicale d’Anthon ».  Accueil : Salle des fêtes d’Anthon (38).

Départ de  6H 30 à  9H 30. Clôture à 13 H.30

Circuits route de 35, 50, 75 et 100 km. Circuits VTT de 20 et 45  km.

Tarifs : 7 € réduit à 5 € pour les licenciés FFCT. Gratuit pour les moins de 18 ans.

Prudent de se renseigner auprès de Régis PETITJEAN. Tél : 07 72 46 32 23. Mel : regispetitjean@shell.com

 

III/  LES POTINS DU PELOTON

 

Ø  Bruno JACQUET  a bien terminé le triathlon d’Embrun le 15 août au bout de 16H 40 d’efforts. Bravo à notre champion. Un peu de repos peut être maintenant ?

 

Ø Yann BRIZAIS  a représenté le club atscaf au rallye de Villard les Dombes le 15 août annoncé par la « Lettre » n°231. Il s’est aligné sur le circuit de 95 km. Après la succession de balades escarpées de ces derniers temps il a été  surpris par la platitude du tracé. Et par la rapidité des participants.

 

Ø Plus question de voir Christophe BOURNAC prendre une bière à l’issue des balades à vélo. Il suit en effet un régime sévère depuis 3 semaines. Victoire : il vient de perdre un kg ! Courage, tu es sur la bonne voie !

 

Ø Pierre FOUILANT s’est fait remettre les vertèbres d’aplomb par un ostéopathe. Tout était déponté (2). Françoise s’y est également fait soigner. Espérons le couple tout requinqué et prêt à revenir pédaler avec le club.  Pierre pendant ses vacances est resté sur place et il a roulé plusieurs fois sur des circuits de 50 à 60 km sur ses terres de l’Est lyonnais.

 

Ø La « Lettre » avait annoncé qu’elle parvenait désormais à une nouvelle cyclote, Joëlle CATTELIN. Erreur, la liste de diffusion n’avait pas été annotée. C’est désormais chose faire et Joëlle peut nous lire. Et nous faire savoir par l’intermédiaire de Gérard REVERDY qu’ils reprennent l’entraînement en secret avant de rejoindre le club.

 

Ø Bernard CHAREYRON a entraîné Evelyne LEFRANCOIS dans la quête des deux derniers cols routiers du Rhône qui manquaient à son palmarès. Enfin routier c’est vite dit comme on le verra. Il s’agit du Col de la Croix de Chal (791 m) et du col de la Croix d’Ajoux (855 m). L’expédition a lieu pendant les congés le 24 juillet. Le premier col est grimpé à partir de Valsonne. Il fait une canicule éprouvante et la prudence oblige à s’arrêter parfois à l’ombre. Le col surplombe le col de la Croix de Thel par une petite route forestière en bien piteux état. Un virage est même gravi à pied à cause d’une bonne couche de gravillons où les roues patinent dans la montée. La côte est de 17% par moment. Heureusement elle n’est pas longue. Et au sommet c’est un cul de sac et on ne devine de la croix que son socle.

Une fois la voiture laissée au Col des Echarmeaux, le second col, celui de la Croix d’Ajoux se négocie à partir de Proprières. La route forestière là aussi affiche par moment 17%. Elle monte pendant 2,5 km et est assez agréable grâce à la forêt. Mais c’est du costaud. Au sommet la petite route permet de rejoindre le col du Patoux. Ce que nous faisons. Là encore la progression est interrompue par une couche de gravillons qui rend impossible la descente sur Chénelette.

Peu importe le carton est plein : les 57 cols routiers du Rhône ont été conquis par votre serviteur.

 

Le glossaire lyonnais-français

 

 (2) Déponté  (adj.): détraqué, déglingué.

 

IV/  LE COIN VELOCIO

 

Ø Savez-vous que les vélos sont admis sur le réseau TCL?

Sur la ficelle (3) et la ligne C du métro sans restriction d’horaire.

Sur les autres lignes du métro les vélos sont admis les dimanches et fêtes à titre d’essai pour une période d’un an.

Sur les lignes de tram les vélos sont admis sans restriction d’horaire les dimanches et fêtes. En semaine ils sont admis jusqu’à 7H. Puis de 9H à 12H. Puis de 14H à 16H 30. Puis  à partir de 19H 30.

 

Ø La « Lettre » n° 232 indiquait que, selon le décompte effectué par le Grand Lyon,  il est passé quotidiennement en avril 1.244 vélos sur la piste cyclable de la Part-Dieu et  837 pour la piste du quai Pierre Scize. En juin ce chiffre est passé respectivement à 1.968 et 1.490.

 

Le glossaire lyonnais-français

 

 (3) Ficelle (n.f) : Funiculaire. Ce terme est très largement répandu à Lyon.

 

V/  LA VIE DU CLUB  

 

Ø Les samedis 2 et 9 septembre votre serviteur ne sera pas sur Lyon pour organiser les sorties du club. Il pédalera, en compagnie de Clément BONITEAU, Jean-Pierre FROBERT, Gilbert LACHARME  (et Evelyne LEFRANCOIS  dans la voiture suiveuse) sur les routes reliant Valence à Valencia. Il est donc demandé à des volontaires de se charger d’organiser ces sorties. Merci à eux de se faire connaître par retour de courriel. Ou par téléphone.

Notons toutefois que pour le 2 septembre a lieu la Randonnée Jonageoise et qu’un certain nombre souhaitent y participer. Pour le 9 a lieu également la « Randonnée du Pilat ». Cela pourrait constituer des solutions alternatives. Qu’en pensez-vous ?

 

Ø Jean-Paul PETIT, le cyclo lyonnais -et du Minefi- croisé au sommet de l’Agnel le 14 août par Evelyne et Bernard a répondu chaleureusement au fait de recevoir la « Lettre ». Il fait désormais suivre ce bulletin à trois de ses collègues pédalant à la DRIRE. On a hâte de le voir, de les voir, pédaler avec nous ! Au fait notre nouveau lecteur qui est également un randonneur sait-il qu’il y a un club de marche à l’ATSCAF du Rhône ? Et que nous entretenons les meilleures relations avec cette section ?

 

Ø Florian CABAJ a envoyé au club le récit complet de ses sorties cyclo-estivales dans les Alpes. La « Lettre » a déjà publié deux de ces journées. Nous poursuivons aujourd’hui par la parution en annexe de la grimpée du Col du Glandon. Désormais la parution se fera –enfin- dans un ordre chronologique.

 

Ø Rappel : L’ATSCAF Rhône vient d’envoyer l’appel de cotisation 2007 (la saison 2006/2007). Le chèque ainsi que le bulletin d’adhésion (ou de ré-adhésion) joint à la présente doivent être envoyés directement à la trésorière du club cyclotouriste, Evelyne LEFRANCOIS. Son adresse : Recette Elargie Lyon Sud. 165 rue Garibaldi.  BP 3158. 69421 Lyon Cedex 03

 

 

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Bernard CHAREYRON 06 08 40 52 25